LIBERTE

Nous vivons ou survivons

Temps de lecture : 6 minutes

(1ere partie)

Après la Grande-Bretagne, l’alerte est donnée à Paris où de jeunes enfants ont été hospitalisés en réanimation dans un état grave. Ils présentent des symptômes inflammatoires, proches de la maladie de Kawasaki, qui inquiètent le milieu médical à l’approche du déconfinement. L’alerte est d’abord venue du Royaume-Uni. Le National Health Service (NHS) a fait état d’une douzaine d’enfants hospitalisés dans un état grave. Pour la plupart positifs au Covid-19, ces jeunes patients présentent une forte fièvre et des inflammations des artères. Lien

Les raisons qui font réagir à chaud les parlementaires : Il semble indéniable que n’est pas Clémenceau ou Charles de Gaulle le premier venu. Cette phrase a été répétée par de multiples intervenants. Il paraît qu’utile qu’Emmanuelle Macron prenne conscience, écoute ses réelles responsabilités. En cet après-midi les températures ont montés de divers degrés en fonction des intervenants.

Y compris dans le camp du président le visage est marqué. Le déconfinement un cruel paradoxe alors que face à la demande de confiance semble pas du tout ancré dans les propos des intervenants. Il est à retenir que la vie, la santé de la population des enfants reste indéniablement plus importe que de sauver en premier certaines multinationales. 17 députés se sont succédé.

Sans le corps médical que la France possède prit au saut du lit, le flou était total. Le champ de l’hexagone serait « Le Titanic » qui couvrirait non les mers, mais les sols de millions de morts à qui l’on ne peut pas même dire « au revoir et pour les proches adieu » La perdition étant en l’instant le sabrage pour renvoyer comme des paravents par le pouvoir en place, sur les maires tels des butoirs des erreurs depuis trois années. Ce dont ils sont totalement à la même dimension que le citoyen lambda. Ayant suivi, vécu une guerre et deux révolutions sous l’Etat de France, je n’avais jamais suivi un débat aussi prenant. Les stratèges financiers dans l’ombre comptés les dividendes.

Sortir d’un incendie, n’est pas s’en sortir sans séquelles. Les carences sont pleinement béantes et masse de doutes planent et la confiance se meurt. La confiance telle les mensonges s’est envolée comme les masques. Au départ de Nicolas Sarkozy il y avait « Un milliard deux cent mille masques ». Monsieur Hollande vous en avez quoi ? Oui vous vous en êtes débarrassé à la demande de La Cour des Comptes. Pour un besoin particulièrement politique, peut-être une moto pour sortir le soir de L’Elysée à des fins personnelles.

 

La Pandémie du virus 2019- coronavirus plus connu sous le nom de : Covid-19 issu de Chine fait circuler sur les réseaux sociaux de très nombreuses rumeurs, et même des inventions grossières. Il était encore quasiment inconnu. Détrompez-vous totalement, je suis-je pars, je reviens.

Désormais le monde entier connaît mon nom: 2019-Coronavirus. Ce coronavirus est à l’origine d’une épidémie de pneumonie qui a démarré en Chine à la mi-décembre, non bien des siècles avant. Alors que de multiples zones d’ombre subsistent (source animale de l’infection, évolution du virus, degré de contagiosité), de fausses informations ont envahi les réseaux sociaux ces derniers mois.

Allant de vidéo fallacieuse d’une personne mangeant une chauve-souris, des bilans exagérés, ou sous-estimés, de prétendus remèdes miracles. Autant de «fake news» qui ne servent qu’à alimenter les craintes. Les informations qui courent dans les rédactions sont folles.

Les virus coronavirus sont imprenables à plus de deux, même dans le cadre de réceptions. Sauf pour ceux qui atteints en sont morts et qui ne pourront jamais plus en parler. Ce n’est nullement une question d’âges.

Ils s’amusent comme des fous, comme dans la grande bouffe, pour fomenter le fait de pouvoir donner le sentiment de se sentir seuls, enfin ce sont les bruits qui circulent.

Ils se connaissent depuis bien des lustres, avant tous conflits sur la terre et ailleurs, mais jamais quiconque n’a pu nous prendre en flagrants délits afin de nous achever en créant un vaccin, cela n’existera jamais. La ferme d’alimentation n’a jamais eu aucun problèmes financiers, puis tout d’un coup pour raisons « X » ou « Y » rien ne serait plus aussi mystérieux.

Que la Cour comprenne que cela a un prix alors nous ne prenons à priori pas de gants, que les plus anciens laissent quelques traces sur des plus jeunes, pour bien marquer que nous sommes imprenables, nous nous chargerons des soldes.

Les raisons sont bien compliquées que la majorité peut le laisser supposer et là nous continuons, à nous demander si nous n’allons pas prendre quelques temps de vacances, afin de ne pas prendre les risques de nous faire piéger.

En ces moments de jubilations, nous faisons payer cash, les chiffres qui sont communiqués aux oreilles qui trainent et nous constituons un pactole de mieux nantis.

Les clichés que vous pouvez voir, vous disent que les atteints ne vont pas bien, et nous envisageons de monter une grosse affaire.

A l’image de courir après Dreyfus et c’est Mesrine que vous avez abattus, erreurs de stratégies ou risques de fausses routes, tant les chemins sont divers.

A présent nous manquons non pas d’oxygène mais de fonds pour les empêcher de construire à produire. Nous sommes souvent appelés et l’on tente de nous offrir des pots de vins. Dans ce sens la corruption chez nous n’existe pas. Quoi qu’il ne faut pas croire tout ce que les gouvernants vous disent. Quant aux médias, nous les adorons puisque nous sommes bien dans leurs petits papiers.

Avez-vous compris depuis combien de temps nous sommes sur les terrains, nous formons des milliards qui mettent les plus grands organismes presque plus qu’à genoux, même ceux qui volent.

La raison est plus que simple mais excessivement complexes, nous sommes pour ceux qui nous cherchent des inconnus, les organismes financiers ne peuvent résister à nos appels. Dans le cas contraire ils sombrent dans le vide, sans savoir d’où nous venons mais surtout où ils veulent aller.

Le côté du patriotisme un hélant qui justement ne trouve aucun écho, sauf les réels coupables informateurs qui pour l’instant se tassent, pour pouvoir dirent ou écrivent : « Qu’à la tassée, l’on s’entasse et que bien tassée soit la tasse ».

Pour le moment les cloches de toutes confessions plient les échines, et dans notre coin en ces siècles passés nous, vous connaissez parfaitement les auteurs. Il est évident que certains s’en sont sortis en disant : « Nous sommes coupables, mais vous n’arriverez jamais à prouver que nous sommes responsables »

La puissance est tellement phénoménale, qu’ils restent les brides de savoir que dans le monde de nos jours, nous devons nous multiplier ou mourir. Nous avons acceptés de porter tous les torts, tous les propos que l’on porte à notre sujet sont profondément entrés dans les produits, y compris sur vos murs, là, ou vous les attendiez le moins.

Certains penseront que ce sont des plaisanteries de bon, ou mauvais goûts, mais il faut bien se nourrir, au fait de penser nous sommes comme diverses « Sectes ». Il faut qu’au moment de votre mort, ou de l’espoir de nous vaincre, vous connaissiez nos valeurs.

Dans le cas contraire, cela serait injustes de glisser des informations dans les « Paradis fiscaux » sous des appellations où nous demeureront toujours ces fameux inconnus ou les rotatives crachent de leurs encres à diverses couleurs, sans arriver à nous donner un nom pour leur servir de cibles.

Plus qu’une évidence, bravo, mais à qui ? Nous ne venons pas juste d’arriver, mais les catastrophes que vous vivez nous en profitons. Ne cherchez pas les coupables vous les avez eu devant vous et les successions se perpétuent.

A ces fins il y a des « Régions que nous avons en apparence laissé souffler. Il semble que le soleil se lève à l’est et se couche à l’ouest, enfin c’est ce que l’histoire vous rapporte, mais nous restons des inconnus, jamais vous n’avez pu nous cerner pour mener un combat à armes égales.

Le virus se répand en France

Les quatre points cardinaux de l’hexagone en sont remplis. Ces dernières semaines, diverses publications relayées sur multiples réseaux sociaux ont fait état de nouveaux malades dans des villes françaises. Informations erronées, systématiquement démenties par les autorités sanitaires ou les structures hospitalières. C’est le cas d’un centre hospitalier, celui d’Argenteuil qui, dans un tweet publié le 27 janvier, a rappelé «qu’aucun patient suspecté d’être porteur du coronavirus n’a été pris en charge par les services de l’hôpital».

Comme le souligne l’AFP, il s’agit de captures d’écran modifiées. L’agence de presse rappelle que les captures d’écran sont «très facilement manipulables» et qu’elles ne constituent «jamais une preuve suffisante pour établir la véracité d’une information».

 

Le virus a été créé en laboratoire et libéré volontairement. C’est la théorie du complot par excellence. Plusieurs publications circulant sur les réseaux sociaux affirment que le nouveau coronavirus aurait été créé par les États-Unis – est notamment citée l’agence fédérale américaine de santé publique – dans le but de profiter de la vente d’un hypothétique vaccin. À l’appui, la photo d’un document supposé être le brevet du virus. Mais, comme l’indiquent Les Décodeurs du Monde, «ce brevet concerne en fait le coronavirus responsable du SRAS dès 2002», et non le coronavirus à l’origine de l’épidémie qui sévit actuellement. D’ailleurs, il n’existe aucun vaccin disponible à court terme pour ce virus qui était jusque-là inconnu.

Coronavirus: des vaccins en cours d’élaboration Des colis en provenance de Chine peuvent être contaminés. De nombreux internautes s’inquiètent du risque de contamination par le nouveau coronavirus en ouvrant un colis en provenance de Chine. Une rumeur à laquelle le ministère de la Santé a rapidement mis fin. «Le risque d’être infecté par le nCoV en touchant un objet importé de Chine est considéré comme extrêmement faible», lit-on dans un communiqué publié. Aucune transmission via des objets n’a d’ailleurs été rapportée à ce jour. En utilisant le lien ci-dessus, vous aurez masse d’informations fortes utiles.

A suivre (Qui sont les véritables coupables et responsables, que faut-il faire ?)

29 réflexions sur “Nous vivons ou survivons

  • Que l’on parle d’un gouvernement d’Union Nationale « vaste fumisterie ». Nous avons à la tête de l’Etat ce que la correction m’empêche d’écrire.

    Après la Grande-Bretagne, l’alerte est donnée à Paris où de jeunes enfants ont été hospitalisés en réanimation dans un état grave. Ils présentent des symptômes inflammatoires, proches de la maladie de Kawasaki, qui inquiètent le milieu médical à l’approche du déconfinement. L’alerte est d’abord venue du Royaume-Uni. Le National Health Service (NHS) a fait état d’une douzaine d’enfants hospitalisés dans un état grave. Pour la plupart positifs au Covid-19, ces jeunes patients présentent une forte fièvre et des inflammations des artères.

  • Après la Grande-Bretagne, l’alerte est donnée à Paris où de jeunes enfants ont été hospitalisés en réanimation dans un état grave. Ils présentent des symptômes inflammatoires, proches de la maladie de Kawasaki, qui inquiètent le milieu médical à l’approche du déconfinement.

    L’alerte est d’abord venue du Royaume-Uni. Le National Health Service (NHS) a fait état d’une douzaine d’enfants hospitalisés dans un état grave. Pour la plupart positifs au Covid-19, ces jeunes patients présentent une forte fièvre et des inflammations des artères.

    « Ce syndrome inflammatoire implique le coeur, les poumons ou l’appareil digestif », explique le docteur Damien Bonnet, coordonnateur du réseau M3C Necker à Paris. « L’état clinique de certains patients rappelle la maladie de Kawasaki » ajoute-t-il. Cette maladie infantile rare se caractérise également par une inflammation des parois des vaisseaux sanguins.

  • Le centre M3C Necker alerte le monde médical

    Après l’Angleterre, l’équipe du Centre de référence malformations cardiaques congénitales complexes Necker à Paris (M3C Necker) tire donc à son tour la sonnette d’alarme. Le docteur Damien Bonnet, chef de service cardiologie congénitale et pédiatrique, a écrit à ses collègues pour partager ses constatations.

    « Un nombre croissant d’enfants de tous âges a été hospitalisé dans un contexte d’inflammation multi-systémique associant fréquemment une défaillance circulatoire avec des éléments en faveur d’une myocardite ».

    25 cas en région parisienne, 10 à Necker

    Vingt-cinq cas ont été hospitalisés en réanimation en région parisienne ces trois dernières semaines et une dizaine dans ce centre spécialisé de l’hôpital Necker. « La présentation clinique est pléomorphe et peut en imposer pour une forme incomplète de la maladie de Kawasaki, ce d’autant que certains ont des dilatations coronaires. »

  • Alors que la stratégie nationale de déconfinement a été présentée ce mardi après-midi par Edouard Philippe, l’équipe du M3C Necker s’inquiète de « cet afflux de jeunes patients » en décalage avec la « pandémie en Ile-de-France ».

    Joint par téléphone, le Dr Damien Bonnet est surpris de la temporalité : « L’épidémie a démarré il y a cinq semaines en Ile-de-France et ces jeunes enfants affluent depuis 15 jours. Il y a eu une hausse depuis vendredi. C’est un phénomène qui nous ennuie. La bonne nouvelle c’est qu’ils s’améliorent très vite. Ils sont en péril quelques heures. »

    10 cas en Belgique

    Le Dr Bonnet a contacté différents services médicaux en Europe. « Le contact pris avec nos collègues londoniens, espagnols et belges confirme ce problème émergent ». Il y a ainsi eu dix cas en Belgique.

    Selon Reuters, dans le nord de l’Italie, l’une des régions les plus durement touchées par la pandémie en cours, des médecins ont fait état d’un nombre anormalement élevé de cas sévères d’une pathologie ressemblant à la maladie de Kawasaki, chez des enfants de moins de neuf ans.

  • Cette affection dont la cause est inconnue, survenant chez de jeunes enfants et plus fréquente en Asie, se manifeste dans ses formes graves par une inflammation des artères, notamment coronaires, susceptible d’aboutir à un infarctus du myocarde. Pour autant, aucun cas mortel n’a été recensé. Pas même en Angleterre contrairement à ce qui avait été annoncé précédemment à la suite d’une interview du ministre de la Santé Matt Hancock.

    Informer les équipes médicales pour recenser les cas

    Pour l’équipe du M3C Necker, il est urgent que les équipes médicales soient informées et se concertent pour étudier d’éventuels nouveaux cas. « Il nous paraît d’une importance sanitaire majeure que tous les cas soient recensés même s’ils sont douteux puisque le cadre nosologique est imprécis. »

    « Les sociétés savantes de pédiatrie et de réanimation ont été informées », explique-t-il encore. « Ces enfants doivent nécessairement voir un cardiologue. »

  • La plupart du temps, ces mutations sont mineures et n’apportent pas de changement dans la biologie ou les fonctions du virus. Jusqu’ici, on pensait que c’était le cas pour le SARS-CoV-2. Des chercheurs chinois de l’université de Zhejiang en Chine viennent pourtant de découvrir que, non seulement le virus a une propension importante à muter, mais que certaines mutations induisent une dangerosité bien plus élevée. « Le SARS-CoV-2 a acquis des mutations capables de modifier substantiellement sa pathogénicité », résument les chercheurs dans leur article en pré-publication sur le site medRxiv.org. Certaines souches seraient ainsi 270 fois plus virulentes que d’autres.

  • Onze souches de virus ont été isolées chez des patients de la province du Zhejiang. Au total, les chercheurs ont identifié 33 mutations dans le génome, dont 19 encore inconnues. Surtout, certaines de ces mutations portent sur la partie codant la structure des protéines de surface du virus, celles qui lui servent à pénétrer dans la cellule. Afin de vérifier l’effet de ces mutations, les chercheurs ont infecté des cellules avec les différentes variantes du virus, et constaté que certaines souches produisent 270 fois plus de charge virale que d’autres, tuant ainsi la cellule beaucoup plus vite.

  • Les variantes européennes sont les plus dangereuses
    Les chercheurs ont ensuite retracé différentes souches en circulation dans le monde pour retrouver celles correspondant aux séquences analysées. Les souches circulant en Europe et à New York seraient ainsi les plus virulentes, les plus modérées concernant à l’inverse le reste des États-Unis. Une précédente étude de l’université Northeastern avait déjà montré que le virus à New York avait été importé d’Europe, probablement d’Italie, où il s’est avéré particulièrement meurtrier. Les scientifiques suspectent depuis longtemps que les différentes formes du virus pourraient expliquer les étonnantes disparités de mortalité selon les pays et les régions. La France enregistre, par exemple, quatre fois plus de morts que l’Allemagne, alors qu’elle compte 20 millions d’habitants de moins. Cette étude est la première à confirmer un lien de cause à effet.

  • es mutations passées sous le radar ?
    L’étude ayant été menée sur un échantillon très restreint, « il est très probable que la capacité du virus à muter a été largement sous-estimée », jugent les chercheurs. D’autant plus que les séquençages sont sujets à caution. Selon le Centre national de Bioinformation chinois, plus de 11.300 génomes de SARS-CoV-2 ont été séquencés dans le monde, contenant pas moins de 4.855 mutations. Le problème, c’est que la plupart de ces analyses résultent d’un séquençage simple, où chaque gène n’est lu qu’une seule fois, ce qui induit un taux d’erreurs important. Pour son étude, l’équipe chinoise a utilisé un système de séquençage sophistiqué, où chaque séquence est lue plus de 100 fois, ce qui a notamment permis d’identifier les nouvelles mutations.

    Il reste toutefois difficile d’appréhender les effets de telle ou telle mutation sur la dangerosité du virus, car l’évolution de la maladie dépend en grande partie d’autres facteurs, comme l’âge du patient, les comorbidités, la génétique ou même le groupe sanguin. Ce que redoutent le plus les scientifiques, c’est que le virus accumule suffisamment de mutations pour compromettre la mise au point d’un vaccin. Pour le moment, aucune preuve d’un changement dans la biologie intrinsèque du virus n’a été apportée. Mais jusqu’à quand ?

  • Une équipe de chercheurs chinois a identifié deux types principaux de coronavirus Sars-CoV-2, responsables du Covid-19. La deuxième variante, mieux adaptée à la population humaine, serait plus contagieuse et plus virulente. Pas de quoi inquiéter les scientifiques cependant, qui travaillent toujours sur un vaccin.

    Chaque année, le virus de la grippe est différent, ce qui oblige à développer un nouveau vaccin pour tenir compte des mutations subies par le virus. Faut-il craindre un tel scénario pour le Sars-CoV-2, responsable du Covid-19, alors que la course est engagée par les chercheurs du monde entier pour mettre au point un vaccin ? Nous n’en sommes pas encore là, mais des chercheurs chinois viennent de publier une étude montrant que deux types principaux de coronavirus circulent, ce qui expliquerait pourquoi certains cas sont beaucoup plus graves.

  • La souche d’origine supplantée par une souche plus virulente
    Selon l’équipe de chercheurs, qui a publié ses travaux le 3 mars dans la revue National Science Review, le coronavirus se partage en deux types, L et S, qui se distinguent par leurs récepteurs de surface, par lesquels les virus s’arriment et pénètrent dans les cellules humaines. Le type S, à l’origine de l’épidémie, aurait peu à peu été supplanté par le type L, qui se serait adapté à l’espèce humaine en devenant plus virulent et plus contagieux. Ce dernier aurait pris le dessus sur le type S depuis janvier 2020, au fur et à mesure que la pression sélective augmentait sur le type S. À l’heure actuelle, le type L représente 70 % des cas contre 30 % pour la souche S. Cette dernière serait pourtant en résurgence, car provoquant des symptômes moins sévères, elle est moins bien repérée.

  • Un virus qui mute en permanence
    Rien de bien étonnant à tout cela : les virus mutent en permanence pour s’adapter à leur hôte et à l’environnement. C’est ce que l’on appelle le « polymorphisme nucléotidique » (ou SNP pour Single Nucleotide Polymorphism), une mutation qui diffère par un seul nucléotide sur une paire de base. Et comme le Sars-Cov-2 est un virus à ARN, il a tendance à muter facilement. Les chercheurs chinois ont d’ailleurs identifié 149 variantes mineures parmi les 103 génomes analysés. Ces différences peuvent expliquer en partie pourquoi certaines personnes sont plus atteintes que d’autres. Des chercheurs italiens avaient déjà remarqué que la version italienne du virus était différente de la version chinoise. Ces mutations restent pour l’instant largement insuffisantes pour parler de l’apparition d’un nouveau virus, qui serait insensible contre un futur vaccin contre le Sars-CoV-2.

  • Le virus a-t-il muté en Iran ?
    Certains soupçonnent cependant des mutations de plus grande ampleur. C’est par exemple le cas en Iran, où le taux de mortalité semble particulièrement élevé (5,5 % contre 2 à 3 % dans la population générale). Un pneumologue iranien, cité par L’Express, se dit ainsi « interloqué » par le caractère agressif de la maladie. « J’ai l’impression qu’en plus du coronavirus, les patients sont touchés par une sorte de myocardite [inflammation du muscle cardiaque] virale, car l’attaque contre le cœur paraît particulièrement forte et rapide », relate le médecin. D’autres professionnels confirment que le virus paraît ici plus virulent. Mais est-ce parce qu’il a muté, où à cause de l’impréparation des autorités sanitaires ? Dans le doute, l’OMS a envoyé une équipe en Iran, qui devrait être sur place la semaine prochaine.

  • Coronavirus : trois questions sur la carte des départements « rouges » et « verts » qui va conditionner le déconfinement
    Edouard Philippe a annoncé que les mesures sanitaires seraient plus strictes dans les départements où le virus circule encore activement.

  • Ce sera dès jeudi l’un des éléments les plus scrutés de la conférence de presse quotidienne de Jérôme Salomon sur le coronavirus. A partir de cette date, le directeur général de la santé présentera chaque jour une carte de la France colorée par départements, censée indiquer les territoires dans lesquels le déconfinement doit être accompagné de mesures plus strictes. Une sorte de « météo » départementale du coronavirus marquée par un code couleur simple : rouge ou vert, en fonction du degré de déconfinement à appliquer à cette zone.

    « Tous les territoires n’ont pas été touchés de la même manière par l’épidémie. Et nous espérons tous que le 11 mai, si le virus continue à circuler dans certains départements, sa présence sera très faible, voire nulle, dans d’autres », a expliqué Edouard Philippe, mardi 28 avril, en présentant son plan de déconfinement devant l’Assemblée nationale. Le Premier ministre entend ainsi « proposer un cadre de déconfinement adapté aux réalités locales de l’Hexagone comme de l’outre-mer ».

  • A quoi va servir cette carte ?
    Mise à jour quotidiennement, cette carte doit permettre de visualiser les départements dans lesquels le virus continue de circuler – et qui met donc le système de santé sous tension – et quels sont ceux qui, au contraire, se trouvent dans une situation plus favorable face à l’épidémie.

    Une première version de la carte devrait être présentée jeudi par la direction générale de la santé. Celle qui sera affichée une semaine plus tard, le 7 mai, sera déterminante car elle aura des conséquences sur les mesures de déconfinement applicables dans chaque département. A partir du 11 mai, le déconfinement sera donc différencié entre les départements colorés en vert, où il sera appliqué largement, et ceux colorés en rouge, où il prendra une forme plus stricte. Cette carte continuera ensuite à être mise à jour quotidiennement, permettant ainsi d’ajuster les mesures de restriction, en fonction de la couleur du département.

  • Quels critères vont déterminer la couleur d’un département ?
    « La direction générale de la santé et Santé publique France ont établi trois ensembles de critères permettant d’identifier les départements où le déconfinement doit prendre une forme plus stricte », a indiqué Edouard Philippe.

    Premier critère pris en compte : « Le taux de cas nouveaux dans la population sur une période de sept jours. » Si celui-ci reste élevé, le département concerné sera alors considéré comme une zone de transmission active. Deuxième critère : la tension des « capacités hospitalières régionales en réanimation ». Troisième critère : le degré de préparation du « système local de tests et de détection des cas contacts ».

    Interrogées par franceinfo, la direction générale de la santé et Santé publique France n’ont pas été en mesure de préciser quels seraient les seuils chiffrés retenus pour apprécier ces critères, ni s’ils étaient cumulatifs. La formulation utilisée par le Premier ministre laisse toutefois penser que pour passer en « vert », un département devra rentrer « dans les clous » de ces trois critères. Si un seul d’entre eux n’était pas respecté, alors le département en question restera coloré en rouge.

  • Quelles seront les règles dans les départements rouges et verts ?
    « Cette carte guidera chaque département dans la préparation du 11 mai », a indiqué Edouard Philippe. Dans les départements en rouge, le déconfinement devra « prendre une forme plus stricte », a-t-il prévenu, sans détailler les restrictions en question.

    Le Premier ministre a toutefois donné deux exemples de mesures qui pourraient être décidées en fonction de cette carte. Si la réouverture des écoles primaires et élémentaires est fixée au 11 mai pour tout le territoire national sur la base du volontariat, celle des collèges pourrait se faire différemment. « A compter du 18 mai, mais seulement dans les départements où la circulation du virus est très faible, nous pourrons envisager d’ouvrir les collèges, en commençant par la 6e et la 5e », a indiqué Edouard Philippe. Dans les villes, les parcs et jardins ne pourront eux rouvrir que « dans les départements où le virus ne circule pas de façon active ».

  • Déconfinement : les principales mesures du plan présenté par Edouard Philippe pour le 11 mai

    Le Premier ministre Edouard Philippe a présenté ce mardi 28 avril la stratégie de déconfinement de la France à l’Assemblée nationale.

    UN GOUVERNEMENT PAS ASSEZ « MATERIALISTE » ?
    Joignez votre signature à celles d’Arnaud Montebourg, de Jean-Louis Borloo ou d’Henri Guaino pour réclamer la nationalisation de l’usine Luxfer de Gerzat, en Auvergne, où étaient produites des bouteilles d’oxygène médical.

    « Protéger, tester, isoler. » Voilà les trois principes de la stratégie de déconfinement. Edouard Philippe a cependant averti qu’en fonction de l’évolution de l’épidémie, celui-ci pourrait être repoussé. La reprise de l’activité économique sera une priorité. Il assure que les masques seront prêts et qu’on disposera de 700.000 tests par semaine afin de poursuivre l’isolement des personnes positives. Quant à l’application stop-Covid, elle n’a jamais aussi bien portée son nom puisqu’elle est à l’arrêt.

    L’application stop-Covid ne sera donc pas prête pour le 11 mai, et Cédric O n’a pas fini de vivre des bas, lui qui, avec Mahjoubi et Guerini, fait tout pour que ce projet voie le jour. Volonté d’écouter les épidémiologues qui le prônent ou busines avec les grands groupes ? La question se pose, surtout quand on sait que le projet était déjà bien avancé quand on clamait que ce n’était qu’une ébauche et qu’il pourrait pousser à certaines dérives dans le secteur de l’assurance. Le débat embarrasse certains parlementaires et même l’exécutif. Le « tracking » risque de laisser des traces.

    A Madrid, les clients de Carrefour peuvent acheter des masques depuis le 25 avril. Les Français auront cette possibilité le 4 mai seulement. Ils étaient jusque-là réquisitionnés par l’Etat pour le personnel soignant. Concernant les autres enseignes de la grande distribution, aucune date de mise en vente n’est fixée. Le patron de Système U assure pour sa part qu’ils seront vendus dans ses magasins entre 2 et 3 euros. Les Français pourront donc enfin choisir entre Système U et système D.

    Activement poussé par un petit cercle de macronistes proches du milieu de la tech, le projet StopCovid est balloté entre débats éthiques et embûches techniques….

    Où en est la grande distribution dans sa préparation de l’après confinement ? Certaines grandes enseignes préparent actuellement le dispositif de vente de…

  • « C’est une alerte que nous prenons très au sérieux en France, nous lançons un signal, il faut être vigilants », expliquait aussi le professeur Alexandre Belot, rhumatologue et pédiatre à l’hôpital femme mère enfant à Lyon, à notre consoeur de la Dépêche du Midi.

    Si tous les enfants pris en charge ne sont pas positifs au Covid-19, il est fort probable que ces cas soient directement liés à la pandémie actuelle. Les équipes de réanimateurs de cette unité spécialisée de Necker ont averti Santé publique France.

    Le ministre de la Santé britannique Matt Hancock partage ce constat. Cité par Reuters, il explique : « Nous ne sommes pas sûrs à 100 % parce que certaines des personnes qui l’ont contractée n’avaient pas été diagnostiquées (comme contaminées par le SARS-CoV-2-NDLR). Nous faisons donc actuellement beaucoup de recherches, mais c’est quelque chose qui nous inquiète », a-t-il poursuivi.

    Pour l’heure, le nombre d’enfants pris en charge avec ces symptômes demeure faible.
    Ce fut la même chose pour le Covid-19 adulte assez de mensonges.

  • Ce ne sont que quelques cas, mais ils donnent des sueurs froides à certains parents. Des médecins de plusieurs pays, dont la France, le Royaume-Uni, l’Espagne ou l’Italie, ont signalé ces derniers jours l’apparition de cas d’enfants présentant des pathologies graves pouvant aller jusqu’à la défaillance cardiaque. En France, on en compte « une quinzaine » en région parisienne, a affirmé le ministre de la Santé, Olivier Véran, mercredi 29 avril sur franceinfo, affirmant prendre ces signalements « très au sérieux » et appelant à recueillir « le maximum de données possible ».

  • Coronavirus : retrouvez les dernières informations dans notre direct

    Les symptômes suggèrent une forme atypique d’une pathologie infantile rare mais connue : la maladie de Kawasaki. Certains de ces enfants ont toutefois été testés positifs au Covid-19 et l’apparition de ces cas en pleine épidémie interroge sur un possible lien entre les symptômes et le coronavirus. Un lien qui n’est cependant pas confirmé, comme de nombreux autres éléments concernant ces enfants malades.

  • Pourquoi parle-t-on soudainement d’une nouvelle maladie frappant des enfants ?
    Le sujet émerge depuis quelques jours, après des alertes simultanées dans plusieurs pays. Au Royaume-Uni, la Société de soins intensifs pédiatriques a révélé (PDF en anglais), lundi, avoir reçu une alerte des services de santé concernant « une légère hausse du nombre d’enfants malades dans un état critique » présentant « un tableau clinique inhabituel », qui mêle des signes d’un syndrome de choc toxique, d’une forme « atypique » de la maladie de Kawasaki et du Covid-19. Le ministre de la Santé britannique, Matt Hancock, s’est dit « très inquiet » et a assuré que les autorités sanitaires se penchaient sur la question.

  • Ce même jour, l’Association pédiatrique espagnole (en espagnol) a informé les pédiatres du pays de l’apparition de cas de « chocs » et de nouveaux types de symptômes chez des enfants, depuis deux semaines. En Italie, une lettre a également été envoyée aux pédiatres, affirme le Corriere della sera (en italien). Un pédiatre urgentiste de Bergame, dans la région la plus touchée par l’épidémie, explique avoir identifié des cas dans son hôpital, le premier étant arrivé le 21 avril. Des cas ont également été rapportés aux Etats-Unis, et des soupçons existent en Belgique et en Australie.

  • En France, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé mercredi avoir reçu une alerte « de la part d’équipes parisiennes » au sujet de symptômes similaires à ceux évoqués outre-Manche. « Je mobilise la communauté soignante, la communauté scientifique en France et à l’international pour avoir le maximum de données possible », a-t-il affirmé. La veille, la professeure Isabelle Koné-Paut, responsable du réseau national de surveillance de la maladie de Kawasaki, confirmait à La Dépêche du Midi et au Point l’existence de cas en France : « Depuis un mois, on reçoit régulièrement des appels de réanimateurs pour des enfants qui présentent un tableau de myocardite sévère et qui ont, en plus, des signes de la maladie de Kawasaki, certains d’entre eux ont été testés positifs au Covid-19 », affirmait-elle au quotidien régional.

  • Cela concerne-t-il beaucoup d’enfants ?
    Non, le nombre de cas signalés est très faible. En France, Olivier Véran a déclaré être informé d’une « quinzaine d’enfants » présentant ces symptômes, et a assuré qu’aucun n’était mort, « à [sa] connaissance ». Isabelle Koné-Paut évoquait, selon La Dépêche du Midi, une vingtaine de cas en Ile-de-France, chez « des enfants qui ont entre 2 et 10 ans, qui n’ont pas d’antécédent notable, et pas de maladie chronique. »

    Au Royaume-Uni, Matt Hancock affirme n’avoir pas non plus connaissance de décès d’enfant liés à ce type de symptômes et assure, sans plus de précision que « le nombre de cas est faible ». L’Association espagnole de pédiatrie assure que « très peu de cas ont été signalés » et appelle les parents « au calme ». En Italie, les autorités n’ont pas présenté de décompte, mais le pédiatre de Bergame interrogé par le Corriere della sera fait état de vingt cas dans son hôpital, et un homologue de Gênes dit en traiter cinq autres.

    Ce faible décompte dépasse cependant largement le nombre habituel de cas de la maladie de Kawasaki : à Bergame, l’hôpital Jean-XXIII dit en avoir reçu en un mois autant qu’il en reçoit habituellement en trois ans. En France, moins de 500 cas sont signalés chaque année, explique Le Point.

  • Quels sont les symptômes de cette maladie ?
    Les enfants atteints en France « présentent des symptômes de fièvre, digestifs et un syndrome inflammatoire vasculaire assez général qui peut provoquer une défaillance cardiaque », a résumé Olivier Véran. La Société britannique de soins intensifs pédiatriques décrit sensiblement le même tableau, auquel elle ajoute les « douleurs abdominales ». Les symptômes constatés, explique-t-elle, mêlent des signes du Covid-19, d’un choc toxique lié à une infection, et de la maladie de Kawasaki.

    Cette dernière se manifeste habituellement par des fièvres, des éruptions cutanées, le gonflement des ganglions et, dans les cas sévères, une inflammation des artères qui mènent au cœur. La maladie de Kawasaki est rare et encore mal connue. Ses causes ne sont pas établies avec certitude, explique à La Dépêche du Midi Alexandre Belot, chercheur à l’Inserm : « Elle pourrait être génétique, mais elle pourrait venir du déclenchement d’une stimulation par un virus. »

    Les malades signalés récemment en France ne correspondent par ailleurs pas complètement au profil habituel. « La tranche d’âge concernée par la maladie de Kawasaki, ce sont les moins de 5 ans, ici, les enfants sont un peu plus âgés », explique Isabelle Koné-Paut au Point. Elle note également que cette pathologie provoque normalement « une dilatation des artères coronaires, mais plus rarement une atteinte du muscle cardiaque ». C’est pourtant ce qu’on constate chez certains enfants hospitalisés ces dernières semaines, qui ont dû être admis en réanimation. On ignore, enfin, quels sont les antécédents médicaux des enfants touchés : « Nous aurons les résultats rapidement sur ces enfants, sur leur dossier médical, pour pouvoir explorer » des solutions, a affirmé Olivier Véran.

  • Quel est le rapport avec l’épidémie de coronavirus ?
    L’apparition de ces cas en pleine pandémie pose question. En France, des enfants présentant ces symptômes « se sont révélés porteurs du coronavirus », a expliqué Olivier Véran. Au Royaume-Uni, c’est également le cas, mais certains ont également été testés négatifs, note la Société britannique de soins intensifs pédiatriques. On ignore, pour l’heure, s’il s’agit d’une erreur de test, ou s’ils ont pu développer la maladie de Kawasaki sans être touchés par le Covid-19. Par ailleurs, le fait d’être également porteur du virus ne suffit pas à pouvoir affirmer qu’il est responsable de cette pathologie. Les premiers cas apparaissent alors que l’épidémie dure depuis des mois, et aucun signalement similaire n’a été fait dans des pays très touchés comme la Chine.

    En revanche, les symptômes décrits peuvent faire penser aux manifestations des orages de cytokine, ces emballements dangereux du système immunitaire, soupçonnés de jouer un rôle dans l’aggravation de l’état de certains malades du Covid-19. Ce ne serait pas incohérent avec les hypothèses liant le déclenchement de la maladie de Kawasaki à l’infection par des virus. Certains scientifiques ont même, par le passé, soupçonné certains coronavirus. La Société britannique de soins intensifs pédiatriques relève également que les enfants touchés présentent des « paramètres sanguins correspondant à une forme sévère du Covid-19 ».

  • Existe-t-il un traitement ?
    On sait soigner la maladie de Kawasaki, à l’aide d’anticorps, les immunoglobulines. Il n’est toutefois pas certain que ce traitement suffise aux enfants atteints ces dernières semaines : Isabelle Koné-Paut explique qu’il « ne semble pas suffisant pour éviter l’emballement inflammatoire dans les cas signalés. Donc, il faut traiter les symptômes de la défaillance cardiaque. »

    Reste qu’aucun mort n’a été signalé jusqu’ici dans les pays concernés. Au Royaume-Uni, la Société de soins intensifs pédiatriques demande certes à ses membres de faire remonter les cas, mais n’a pas modifié ses consignes aux parents, à qui elle rappelle qu’il reste « très rare » que des enfants développent des complications importantes liées au Covid-19.

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