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Les diffamations d’un fouille-merde sur AgoraVox

Pangloss est un défenseur inconditionnel de Poutine. C’est son droit et AgoraVox est conçu pour qu’il soit possible d’en discuter. Seulement, il n’y a pas chez lui la volonté de discuter.

Tout a commencé à la suite de la publication de mon article « La vérité sur les promesses de non-extension de l’OTAN ». Pangloss était alors impliqué avec un comparse nommé Pierre-Marie Baty. Ce dernier avait commencé par fanfaronner en expliquant qu’il était le meilleur des débatteurs et qu’il n’allait faire qu’une bouchée de moi. Depuis, il a eu la bonne idée de ne plus s’adresser à moi et de disparaître d’AgoraVox un mois plus tard. Je lui souhaite un bon rétablissement.

Il est généralement acquis maintenant qu’il n’y a jamais eu de promesses de non-extension de l’OTAN. Poutine n’en a parlé qu’à partir de 2007 en évoquant vaguement des promesses orales sans témoin et sans procès-verbal. J’ai apporté des preuves qu’il entretenait d’excellents rapports avec l’OTAN au moins jusqu’au sommet de Rome de 2002, soit trois ans après que la Pologne, la Hongrie et la Tchécoslovaquie aient rejoint officiellement l’OTAN (12 mars 1999). J’ai rappelé cela dans un article intitulé « En 2002, Vladimir Poutine n’était nullement inquiet de voir l’OTAN s’élargir à l’Est ». Nous en connaissons les raisons. L’impérialisme US n’avait de cesse que de voir la restauration du capitalisme dans l’ex-URSS et il a donc soutenu successivement Gorbatchev, Eltsine et Poutine qui étaient d’accord avec cette perspective. Personne, dans ce camp parfaitement uni, ne voulait que l’OTAN fasse obstacle à cette restauration en provoquant l’aile traditionnelle de la bureaucratie stalinienne. A la suite du coup d’Etat raté de 1991, les gros-staliniens sont devenus inoffensifs. Au moment où il n’y avait plus rien à craindre à ce sujet (au cours des « années noires ») l’extension de l’OTAN était acceptée par les « restaurationnistes » qui envisageaient d’aller jusqu’à y intégrer la Russie. Mais, la perspective de construire une grande Europe capitaliste allant de l’Atlantique à l‘Oural n’a jamais été dans les plans de l’impérialisme US.

Poutine a commencé à émettre des critiques quand il a vu l’ancien « empire russe » partir en lambeaux en s’effondrant sur lui-même. Il a voulu néanmoins trouver des coupables dans une puissance étrangère. D’anciens pays de l’URSS, notamment les pays Baltes, voulaient rompre radicalement leurs liens avec la Russie qu’ils jugeaient trop impérialiste à leur égard. Ils voulaient prendre une totale indépendance. Pour cela, ils ont demandé leur adhésion à l’OTAN.

Ce fut une période de changement de la situation internationale avec notamment, du côté de l’impérialisme US, le début de la « global war » consécutive au 11 septembre 2001 qui venait s’ajouter à la restauration du capitalisme dans l’ancien bloc de l’Est. Une politique commune à la Russie et l’Amérique s’est alors mise en place avec la prétendue lutte contre le terrorisme qui a permis aux uns et aux autres de massacrer en Tchétchénie, en Irak, en Lybie, en Afghanistan, en Syrie…Mais, revenons à notre sujet.

Si on se replace à l’époque où j’ai publié mon article intitulé « La vérité sur les promesses de non-extension de l’OTAN », il faut se souvenir que les poutinolâtres tenaient sur cette question le haut du pavé sur AgoraVox et ils n’étaient pas question pour eux de laisser passer une contestation de leur héros. Je rappelle l’abominable manipulation d’Olivier Berruyer qui publiait une vidéo d’une interview de Dumas en plaçant, dans des gros titres et des commentaires, des affirmations contraires à ce que dit Dumas dans la vidéo (Voir à ce sujet ce que j’explique au début de la version de mon article sur Médiapart).

C’est à ce moment que Pierre-Marie Baty et Pangloss sont intervenus dans la discussion de l’article avec la ferme intention de ne pas me laisser contredire Poutine. Avant de se dévoiler comme fouille-merde, Pangloss a commencé par intervenir avec des démarches de faux-cul cherchant à me provoquer ou à me piéger en évoquant d’autres sujets.

Il n’a jamais expliqué depuis pourquoi il s’est mis à parler d’autre chose que ces supposées promesses. Il a voulu discuter de la scission entre la CGT et FO puis d’un article sur Trotsky écrit par un type d’extrême-droite et publié sur le site de Berruyer. C’est tout dire ! Il semble s’étonner du fait que je n’ai pas avalé son hameçon. Il revient cependant épisodiquement expliquer que je n’ai rien compris à la scission entre la CGT et FO. Il remet ça notamment dans son commentaire du 28 février 2023 à 17h10. J’ai simplement refusé de tomber dans son piège tant il était évident pour moi qu’il voulait en venir à la classique question du financement par la CIA. Voici ce que lui-même explique (29 septembre 18h 20) : « A la base l’affaire était très simple, je vous avais posé une question sur l’origine du schisme entre CGT et FO et vous avez botté en touche, d’où ma curiosité initiale ». Ai-je tort ou raison de parler d’une démarche de faux-cul quand on se souvient sur quoi portait l’article ? J’ai effectivement « botté en touche ».

C’est seulement après cela que Pangloss a commencé son activité de « fouille-merde ». Il a écrit le 29 septembre à 17h 39mn : « Quant au travail de « fouille merde » je le revendique ». Il s’agit de faire tout le contraire de ce qui est prévu sur AgoraVox. Il ne s’agit pas du tout pour le fouille-merde de discuter de l’article. Il n’est nullement dans ses objectifs de mener un débat d’idée. Sa préoccupation est de lancer des attaques personnelles contre l’auteur. Pour cela, il cherche tous les moyens possibles et imaginables pour ramener des renseignements sur l’auteur quelles que soient la nature de ces renseignements et quels que soient les moyens utilisés pour les recueillir. Il se réjouirait assurément de pouvoir faire les déclarations les plus dégueulasses possibles sur la vie privée de l’auteur. Voilà l’unique objectif d’un fouille-merde ! C’est l’objectif clairement revendiqué par Pangloss.

Voyons en quoi à consister chez Pangloss ce fastidieux et répugnant travail de fouille-merde dont il se vante d’être un spécialiste. Il recopie tous mes articles et mes commentaires pour faire d’énormes fichiers et il lance ses machines à fouiller la merde pour voir où je parle de ceci ou de cela. Il fait d’invraisemblables recherches sur le web sur mes activités privées ou professionnelles. Il cherche partout où pourrait figurer mon nom. Il crie victoire dès qu’il le voit et tente d’exploiter l’affaire. C’est ainsi qu’il tombe, à partir de recherches sur « Dugenêt », sur le nom de « Victorri ». Il relance immédiatement son activité de fouille-merde avec ce nouveau nom et il crie à nouveau victoire. A partir de quelques brides de renseignements, il imagine des scénarios avec lesquels il tente de me salir. Voilà toute l’activité de ce fouille-merde dont on voit d’ailleurs, autre face de la médaille, tout le soin qu’il prend pour préserver son anonymat. Non seulement, sur son compte actuel son premier commentaire est récent (22 juillet 2022 à 14h 40), mais chacun peut voir qu’il ne parle jamais de ses activités passées, qu’il n’a pas d’appartenance politique, qu’il n’a aucun trait caractéristique…. Bref ! C’est le parfait faux cul qui joue les saintes nitouches et qui a fait le ménage sur AgoraVox pour qu’il n’y ait rien aucun renseignement le concernant. Rien sur lui avant son compte actuel ! Tel un cambrioleur qui protège mieux que quiconque son butin, il craint l’apparition d’éventuels fouilles-merdes qui s’intéresseraient à son cas.

Voyons donc maintenant sur quoi il a choisi de me critiquer à partir de ses maigres récoltes de fouille-merde. Il nous envoie des liens sur le site de Bookelis qui distribue mes livres. Il affirme qu’on y trouve mon CV alors que chacun peut constater que ce n’est pas un CV. Il prouve, une fois de plus, qu’il ne cherche nullement à exposer la vérité. Pour que ce soit bien clair je recopie le texte intégral :

  • « Jean Dugenêt est instituteur retraité. Il a été enseignant à l’université. Il est en effet docteur en informatique. Il a pour cela suivi un parcours atypique et tumultueux puisque l’éducation nationale a été condamnée deux fois par le tribunal administratif de Caen à lui verser des indemnités. Il a été contraint d’abandonner ses recherches en traitement automatique des langues alors que leur intérêt était pourtant reconnu par la communauté scientifique. Tous les postes de chercheur et d’enseignant-chercheur qu’il aurait dû obtenir lui ont été refusés. Son directeur de thèse, Bernard Victorri, Directeur Adjoint du CNRS, offrait tous les postes gagnés par le travail de ses thésards aux personnes de son entourage : à un fils à papa, à sa bru putative, à sa maîtresse putassière, à celle qu’il avait dans le collimateur et qu’il voulait contraindre et asservir, à la copine de sa maîtresse… »

Je n’avais nullement l’intention de parler de cela sur AgoraVox. Contrairement à beaucoup d’autres, parler de moi est loin d’être mon sujet préféré ! J’avais par contre déjà eu l’occasion de parler de Victorri en écrivant ceci :

  • « Regardez-donc à l’université comment sont choisis les maîtres de conférences ou au CNRS comment sont choisis les ingénieurs de recherche. Les femmes, les maîtresses, les enfants, les gendres et les brus des « gens en place » ont une priorité absolue et ce n’est pas pour quelques mois que sont ainsi recrutés des incapables. C’est pour toute une vie que sont ainsi payées des personnes pour faire de la recherche alors qu’elles n’en feront jamais. Pour faire néanmoins avancer la recherche ces « gens en place », tel que Bernard Victorri qui fut directeur adjoint du CNRS et s’est particulièrement illustré dans ce domaine, font marner des thésards qu’ils sacrifient comme de la chair à canon »

Je signale cela parce que Pangloss est particulièrement fier d’être tombé là-dessus en faisant tourner sa machine à fouiller la merde. Cependant, la révélation apportée par Pangloss qui fit le plus de bruit dans le landerneau des poutinolâtres d’AgoraVox fut celle-ci : « Il est en effet docteur en informatique ». Aussitôt quelques-uns me demandèrent d’en apporter la preuve.

Je souligne qu’à partir d’une révélation apportée, contre mon gré, par Pangloss quelques individus mal-embouchés jugent utiles de me demander de prouver ce qu’il a découvert. Je me demande encore s’ils sont sains d’esprit. Quel est donc ce problème qui les chatouille et qui n’est pas le mien ? J’oubliais que dans le club des poutinolâtres tout le monde est très attaché aux notions de médailles, de diplômes et de titres divers. C’est un critère de réussite imposé par la société bourgeoise. Ce n’est pas du tout un critère de réussite pour moi. Je ne sais pas quels étaient les diplômes de Marx, Engels, Lénine, Trotsky et cela ne m’intéresse pas. L’homme politique français de la deuxième moitié du XXème siècle que je respecte le plus (je n’admire personne) s’appelait Stéphane Just et il n’avait pour diplôme que le certificat d’études primaires. Je n’étais pas le seul à le respecter. Il donnait des leçons à Lionel Jospin, Jean-Jacques Marie, Jean-Christophe Cambadélis, Benjamin Stora…

Il est donc évident que si j’ai été amené à parler de mes compétences et de mes diplômes dans diverses disciplines, ce n’est pas moi qui en ai pris l’initiative mais bien le fameux fouille-merde.

Je dois constater cependant que dans le club des défenseurs de Poutine quelques individus bien malheureux sont chagrinés par les diplômes et les compétences de leurs adversaires même quand cela est sans aucun rapport avec le débat politique. Mais c’est ainsi que fonctionne l’idéologie dominante dans la société bourgeoise. La compétence de leurs adversaires, quel qu’en soit le domaine, semble leur faire de l’ombre. Alors, tant mieux si ça les emmerde !

Passons à une autre trouvaille du fouille-merde.

Il m’a accusé, sans l’ombre d’une preuve, d’avoir plagié Jean-Jacques Marie dans un extrait d’un article intitulé : « L’extrême-gauche européiste et les révolutionnaires qui votent Macron ».

Là encore, puisqu’il convient d’être précis, je cite le passage complet :

  • « Je précise que je n’ai aucun doute sur la probité de Michel Broué qui était un mathématicien reconnu avant de se mêler de politique et je n’imagine pas un moment que Pierre Broué (note ajoutée : Pierre Broué, historien et le père de Michel Broué) ait usé de son influence pour pistonner son fils. Vu les mœurs qui se pratiquent dans les procédures de recrutement à l’université cela mérite d’être souligné. J’ai par contre quelques questionnements en ce qui concerne le parcours politique de Michel Broué. Je me souviens avoir participé à un meeting de soutien à Léonid Pliouchtch qui se tenait à la mutualité. Michel Broué était à la tribune puisqu’il était à l’initiative de sa libération. J’ai beaucoup de respect pour son action à ce sujet au sein du « Comité des Mathématiciens ». Il y avait eu des actes de violences dans la salle. Je n’avais pas vu précisément ce qui s’était passé mais j’ai appris par la suite que des sympathisants de Balazs Nagy s’étaient fait tabasser par le service d’ordre de l’OCI pour leur interdire de s’exprimer. Je m’étais fait accompagner par un groupe d’instituteurs et, en bon militant de l’OCI, je m’étais senti obligé de leur justifier cette violence en la mettant sur le dos d’inévitables staliniens qui ne pouvaient pas supporter que ce meeting remette en question la politique répressive de l’URSS. J’ai eu tort. La responsabilité de cette violence incombait à Lambert. Je me suis fait son complice. Michel Broué était obligatoirement lui aussi plus ou moins complice et probablement plus que moi. »

Pourquoi Pangloss m’accuse-t-il ici d’avoir plagié Jean-Jacques Marie ? Tenez-vous bien ! Il le fait seulement parce qu’il a remarqué que Jean-Jacques Marie a lui aussi écrit à propos de cet évènement. Celui-ci a en effet écrit avec Tania Mathon tout un dossier intitulé « L’affaire Pliouchtch » (Le Seuil, 1976). Pourquoi faudrait-il si deux personnes évoquent un même sujet que l’une plagie l’autre ? Il faut sans doute que j’enfonce le clou car ce Pangloss ne veut pas comprendre. Ce n’est pas parce que deux personnes parlent d’un même match de foot que l’une a plagié l’autre. Pour qu’il y ait plagiat il faut une identité de forme prouvant que le coupable de plagiat a recopié ce que le plagié a écrit quitte à ne modifier que des détails. Or, Pangloss ne fait aucune citation de mon texte en comparaison avec ce qu’a écrit Jean-Jacques Marie. De plus, sur le fond de l’affaire, ce que j’explique ici est nettement différent de tout ce que peut dire Jean-Jacques Marie. J’accuse en effet, dans ce texte, Lambert d’avoir été le responsable des violences commises lors du meeting alors que Jean-Jacques Marie a toujours défendu et défend encore Lambert. Nous avions cependant en commun d’avoir participé à la mobilisation pour la libération de Léonid Pliouchtch, mathématicien et opposant politique ukrainien.

Pangloss est un ignoble diffamateur qui fait semblant de ne rien comprendre aux quelques explications que je donne. Il persiste en effet dans la diffamation en la répétant à satiété.

Voici par exemple ce qu’il a encore écrit le 28 février 2023 à 17h 08. (Voir l’encadré ci-dessous. Je précise que j’ai fait un document graphique et qu’en conséquence les liens hypertextes ont disparus.) Il se contente d’affirmer : « c’est du Jean-Jacques tout craché, d’où mon accusation de plagiat » et il s’étonne ensuite que j’ose parler de diffamation. Il dit : « qu’il a eu (eut) l’audace de retourner en diffamation, un comble. Vous voyez jusqu’où va ce copycat (sic) dans l’audace et la mystification ». Il a aussi le culot de dire : « dans ce dossier les évènements sont relatés exactement comme Dugenêt les relate. »

Remarquons que Pangloss appelle Jean-Jacques Marie trois fois par son prénom. C’est une fourberie supplémentaire. Voudrait-il nous faire croire qu’il est copain avec lui ? Jean-Jacques Marie a combattu le stalinisme toute sa vie. Il connait leurs pratiques et leurs méthodes. C’est avec ces méthodes que des trotskystes ont été assassinés au maquis pendant la guerre. C’est avec ces méthodes qu’à la libération les staliniens isolaient les trotskystes, et les supposés trotskystes, dans les entreprises. Ceux-ci étaient harcelés tous les jours avec des calomnies, des insultes, des agressions physiques, des diffamations, des attaques personnelles touchant de préférence à leur vie privée… Chaque « bon militant du PCF » devait apporter la preuve, dans sa cellule, qu’il avait été à ce sujet particulièrement zélé. Faire du zèle, c’était accepté les pires ignominies. Jean-Jacques Marie déteste assurément les individus du genre de Pangloss qui pratique à l’envi ces méthodes staliniennes : fouille-merde qui joue les saintes-nitouches, adepte des pires techniques de faux-culs, harceleur, diffamateur, fanfaron qui cherche à impressionner… Par respect pour les innombrables victimes du stalinisme, Jean-Jacques Marie, pas davantage que moi, n’a l’intention de défendre les méthodes de ce Pangloss. Ce sont celles des procès de Moscou.

Que chacun juge en toute impartialité. Il faut bien constater qu’il n’y a aucun plagiat dans mon texte. Cette accusation n’est que de la pure diffamation. Puisqu’il faut mettre les points sur les « i », je précise ce qu’est une diffamation : « La diffamation est l’allégation ou l’imputation d’un fait non avéré qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération d’une personne. »

Mais, ce fouille-merde insiste pour me faire passer pour un plagieur en réitérant son accusation avec un autre fait. Il m’accuse en effet aussi d’avoir plagié une traduction ce qui est doublement faux. Les deux traductions sont en effet différentes mais, de plus, une traduction ne peut pas être un plagiat car c’est un travail technique. L’accusation devient saugrenue et loufoque. Il cherche tous les moyens possibles et imaginables pour travestir la vérité. Il faut donc une fois de plus mettre les points sur les « i ». Un plagiat est l’« acte de quelqu’un qui, dans le domaine artistique ou littéraire, donne pour sien ce qu’il a pris à l’œuvre d’un autre. » (définition du Larousse).

Quand j’ai écrit l’article : « En 1991, l’OTAN a refusé l’adhésion des pays d’Europe de l’Est qui en faisaient la demande », j’ai décidé de donner une nouvelle présentation au fameux rapport qui apporte une preuve nette que l’OTAN a refusé ces adhésions. Cela remettait en question ce qui avait été dit jusqu’alors par les poutinolâtres. J’ai décidé de donner une nouvelle présentation matérielle du rapport avec un fichier image.

J’ai aussi décidé de faire ma propre traduction car celle de Pierre-Marie Baty n’était pas pleinement satisfaisante. Pour apporter la preuve que les deux traductions sont différentes j’ai recherché les différences dans, approximativement, le premier tiers de l’article. La traduction de Baty se trouve dans les commentaires de l’article « La vérité sur les promesses de non-extension de l’OTAN » et ma traduction se trouve vers le milieu de l’article « En 1991, l’OTAN a refusé d’intégrer des pays d’Europe de l’Est »    

La diffamation est une fois de plus prouvée. Or, se complaire dans l’activité de fouille-merde et la pratiquer avec délectation est déjà suffisamment caractéristique d’un grand degré de perversité. J’y ai ajouté les preuves, qu’à partir de cette activité, il ne lance que des diffamations pour tenter de salir ses adversaires. A propos de la traduction, il a d’ailleurs avancé une diffamation supplémentaire en affirmant que ne sais pas traduire un texte en anglais. Il a écrit (26 septembre à 11h 35) : « Vous étiez incapable de traduire ce document dans le débat avec Mr. Baty, il a fallu qu’on vous le traduise vous semblez l’oublier. »

Il a commis une quantité d’autres diffamations. Il explique que je bannis beaucoup d’intervenants autrement dit que j’interdis, à de nombreux intervenants, de venir commenter mes articles. Il explique aussi que je refuse énormément d’article en modération. Mais, il va plus loin puisqu’il se permet d’être plus précis. Il s’agit alors une fois de plus de diffamation. Il écrit (29 septembre 18h 30) : « A ce que je crois savoir vous avez le record de bannissement sur AV ». C’est évidemment faux. Il est d’ailleurs facile de savoir combien sont « bannis » à tout moment pour mes articles. Il suffit de me la demander et j’en donne la liste. Il écrit aussi (26 septembre 11h 35) : « Que des gens comme vous qui refusent systématiquement plus de 80% des articles en modération se servent de ce pouvoir de validation comme d’un tribunal politique est inadmissible et est fortement préjudiciable au média citoyen dans sa pluralité. » Chacun peut regarder le « tableau de bord » des rédacteurs d’AgoraVox. Voici le mien à la date du 13 mars 2023.

Il est évident que je n’ai jamais refusé 80% des articles proposés en modération. J’ai d’ailleurs cessé récemment de refuser systématiquement ceux de « Patrice Bravo » qui n’a rien de commun avec un journaliste citoyen et qui jouit d’un statut particulier sur AgoraVox. Il est donc inutile de refuser ou d’accepter ses articles.

Ajoutons encore d’autres diffamations. Il laisse entendre que j’ai plusieurs comptes sur AgoraVox. Il écrit (26 septembre 11h 34) : « Vous avez sans doute plusieurs comptes sur AV, n’est-ce pas « Cher ami ». Vous remarquerez que je dis bien sans doute car contrairement à vous sans preuve absolue je ne peux que supposer, mais s’il prenait l’idée à la modération de le vérifier ça pourrait être salvateur. » Laisser entendre quand on ne sait rien est une diffamation. Celui qui ne sait pas doit se taire. Et ce n’est pas fini. Il écrit le 25 sept à 16h20 : « Vous m’avez accusé de changer d’avatar ». Même si ça n’a pas une grande importance, c’est du pur délire et de la diffamation.

Il cumule encore d’autres diffamations à propos de ce qu’il appelle des « magouilles en modération ». Je me demande ce qu’il veut dire exactement avec ce terme de « magouilles ». Je rappelle que les modérateurs ont essentiellement comme rôle de « voter » pour chaque article proposé en l’acceptant ou en le refusant. Il m’accuse le (29 septembre 18h 20) de faire des « magouilles en modération pour passer vos articles ». Il écrit encore (28 septembre 15h 23) : « les magouilles en modération dans lesquels Dugenêt notamment est passé maître par l’intimidation et la menace pour forcer ses articles. ». Il ne précise nullement de quoi il s’agit. Il m’arrive de solliciter des modérateurs pour leur demander d’approuver certains de mes articles. Cela est parfaitement légitime. Je n’ai rien fait d’illégal ou d’immoral. Son accusation où il est question de magouilles, intimidation et menaces est une énorme diffamation supplémentaire. Il continue (26 septembre 2022) : « On pourrait aussi parler de vos magouilles concernant la modération des articles. Il cite une phrase de VP alors que manifestement il n’a rien compris. La voici : « j’ai vu qu’en modération des règlements de comptes m’étaient destinés » (C’est VP qui a écrit cela). En fait VP avait lu un de mes articles que je proposais en modération dans lequel je parlais de lui et il a voulu me dissuader de tenter de le publier. Cela n’a absolument aucun rapport avec des « magouilles concernant la modération des articles ». Il reprend cette diffamation le 27 septembre à 13h 36. En parlant de moi, il écrit : « un individu qui (…) menace en modération pour la parution de ses articles ». On se demande s’il est bien sain d’esprit mais, ni les troubles psychiques ni la déficience intellectuelle ne peuvent justifier la diffamation. Nous voyons le lien entre son activité de fouille-merde et ces diffamations. En fait, il cherche dans tous mes commentaires les passages où j’ai des échanges critiques avec d’autre intervenants. Il veut alors y voir des conflits et prendre systématiquement parti pour ceux qu’ils considèrent comme mes adversaires. Cependant, la plupart du temps il ne comprends rien aux désaccords qui ont pu apparaître. En voici une illustration supplémentaire. Il écrit le (27 septembre 13h2 9) : « Après avoir banni un intervenant est-il correct de corriger son commentaire et de lui poser une question à laquelle il ne pourra bien entendu pas répondre : « Maintenant pouvez-vous s’il vous plaît répondre à la question corrigée ? » ». Il est évidemment impossible de corriger le commentaire d’un intervenant et je n’ai jamais posé cette question à Baty. C’est l’inverse. C’est lui qui me l’a posée (31juillet 22h 25). Il avait écrit : « Je vous remercie d’avoir répondu si adroitement à la question et d’avoir fait avancer le problème, en me faisant réaliser cette erreur de traduction ».

J’ai répondu à son commentaire (22 août 1014) en écrivant :

  • Il serait convenable de vous excuser. Vous préférez d’emblée avancer une exigence supplémentaire : « Maintenant, pouvez-vous s’il vous plaît répondre à la question corrigée ? »

Baty a fait une grossière erreur. Il en convient et au lieu de s’excuser, il manifeste une exigence supplémentaire en exigeant que je réponde à sa question reformulée. Je lui ai seulement fait remarquer qu’il serait convenable qu’il s’excuse. C’est donc bien une diffamation supplémentaire de ce Pangloss car je n’ai jamais posé à Baty la question :  « Maintenant pouvez-vous s’il vous plaît répondre à la question corrigée ?». C’est lui qui m’a posé cette question et Pangloss n’a rien compris.

Après avoir le tour de ces quelques diffamations, j’ajouterai seulement maintenant que c’est en plus un fanfaron.

Confronté à tous ses échecs, Pangloss se sent obligé de fanfaronner pour avoir l’air gagnant. Il voulait m’interdire de prouver qu’il n’y a jamais eu de promesses de non-extension de l’OTAN. C’est maintenant prouvé plusieurs fois et reconnu. Alors, il s’énerve… Il brasse de l’air.

Après les discussions sur mon article « La vérité sur les promesses de non-extension de l’OTAN », il est reparti la queue basse. C’est regrettable. Il en fut ainsi puisqu’avec son comparse Pierre-Marie Baty, ils ont commencé par fanfaronner. Ils sont venus discuter en claironnant qu’ils allaient gagner. Une telle conception de la discussion sur AgoraVox est malsaine. Pourquoi faudrait-il qu’il y ait un gagnant et un perdant ? Une saine discussion doit enrichir tous les participants.

En fin de discussion, ils ont réagi chacun à leur manière. Pierre-Marie Baty a disparu et Pangloss a voulu expliquer que j’avais triché dans ma manière de modérer la discussion, justifiant ainsi ce qu’il considérait comme un échec. C’était encore là le résultat de cette conception malsaine de la discussion. Si j’avais « gagné » c’est que j’avais « triché ». J’ai déjà répondu à tout cela et ce qu’il dit est évidemment faux car il est impossible de passer outre les règles définies sur AgoraVox. C’est donc une diffamation supplémentaire. Il m’accuse de « trafiquer les débats » (29 septembre 19h 32). Je trouve aussi l’expression « trafique les commentaires » (27 sept 13h 36). Il est permis d’utiliser toutes les règles qui existent et j’ai largement expliqué ce qu’est ma conception de la modération. Sur chaque forum, les règles sont différentes. Il est possible, par exemple, d’interdire toute discussion sur les blogs de Médiapart et les auteurs ont la possibilité de modifier leurs articles à tout moment. Ce n’est pas le cas sur AgoraVox. Chaque forum a donc aussi ses avantages et ses inconvénients. Il faut les accepter. J’ai pleinement respecté toutes les règles d’AgoraVox.

Pangloss répète chacune de ses diffamations en claironnant sans arrêt : C’est prouvé ! C’est sourcé ! Mais, évidemment il ne donne aucune source et aucune preuve.

Il fanfaronne aussi à propos de ses récoltes de fouille-merde. Il ramène bien peu de chose mais dès qu’il a trouvé le moindre renseignement me concernant, de près ou de loin, il l’exhibe en donnant l’impression qu’il a fait une découverte extraordinaire et qu’il est maintenant en mesure de faire des révélations sensationnelles. Il a ainsi trouvé que, Victorri, mon directeur de thèse, a eu des démêlées avec la justice quand, dans sa période de maoïste, il faisait exploser des pétards. En quoi cela me concerne-t-il ? Il a aussi mis un lien sur un correctif pertinent que j’ai donné sur la page de la Wikipédia concernant Claude Chisserey. Cela est flatteur ! Il montre qu’il m’arrive de faire prévaloir la vérité quand la Wikipédia exhibe d’énormes erreurs. Elle indique notamment que Claude Chisserey est mort le 13 février 1981 après s’être suicidé en 1979. Quelle longue agonie ! C’est avec cela que Pangloss prétend faire des révélations qui pourraient ternir ma réputation.

Il trouve aussi à redire à propos de l’AGIMO, en épluchant son site web. Lisez, regardez autant que vous le voulez ce site… C’est de la bonne lecture.

Pangloss est un grand pervers. J’ai exposé ses méthodes et ses objectifs. Il se complet dans l’abjection et les ignominies avec une absence complète de culpabilité et même une satisfaction personnelle. Plus il peut être ignoble, plus il est content de lui. Il pensait pouvoir diffamer impunément. Il se délecte dans son activité de fouille-merde, qu’il trouve normale, mais il lui manquait d’avoir plongé la tête dedans. Je l’ai un peu aidé en écrivant quelques articles et ça ne lui a pas plus. Il s’est mis alors à fanfaronner encore plus qu’à l’accoutumée. Il devait saisir immédiatement des avocats, lancer des plaintes, me traîner devant des tribunaux… Ce serait amusant que le pilleur de banque porte plainte contre le banquier.

Je fais appel à la responsabilité individuel de ceux qui interviennent sur AgoraVox et sont témoins de ce qui s’y passe. Leur responsabilité morale est  engagée. Pour illustrer cela, j’exhibe ci-dessous le message qui m’a été transmis par Pauline pas Bismutée.

  • « Ne serais sans doute pas d’accord avec vous sur pas mal de points (de fond). Mais ce site devient très malsain, et je n’aime pas les chasses à courre. De plus, vous avez parfaitement le droit de vous défendre dans un espace public. Étaler ses manquements élémentaires au respect de la différence devient un sport Agoravoxien, j’ai moi-même été prévenue, de quelqu’un venu « débarrasser les gens comme moi » du site…un peu vague, mais qu’attendre de moins niais ? Je vous autorise à publier mon commentaire, à condition que ce soit en entier. »

Je lui sais gré de cette prise de position qui l’honore. Par-delà nos divergences, elle a tenu à faire savoir qu’elle est solidaire dans la lutte contre les pratiques crapuleuses de Pangloss et d’autres intervenants.

Je crois que tous ceux qui comprennent ce qui se passe sur AgoraVox doivent aussi se démarquer des agissements crapuleux de cet individu et sans doute de quelques autres.

Pour l’instant, en tant qu’auteur, je suis à l’abri des agissements des diffamateurs puisqu’ils sont bloqués pour la discussion sur mes articles et, à la moindre tentative de diffamation, il en sera de même pour ceux qui essaieront. Mais, je dois pouvoir aussi intervenir comme commentateur sur les fils de discussion des autres articles sans être immédiatement assailli par des trolls qui viennent, en toute impunité, lancer leurs diffamations. Or Pangloss et quelques autres chassent en meute dès qu’ils voient un « adversaire » intervenir.

Un autre point doit être précisé. Je condamne la politique de Poutine dans la guerre en Ukraine alors que les trolls comme Pangloss la défendent. Nous connaissons d’ailleurs les défenseurs de Poutine

Il est normal que le point de vue de Poutine puisse s’exprimer sur AgoraVox. Cependant, il n’est pas normal qu’une fondation reconnue d’intérêt public, puisqu’elle permet l’expression du journalisme citoyen, servent de tribune à des défenseurs appointés de Poutine. Cela n’a plus rien de commun avec le journalisme citoyen. De ce point de vue, l’exclusion de Christelle Néant était pleinement justifiée mais il faut aller plus loin. Les trolls qui se livrent à la diffamation pour défendre Poutine doivent aussi être éliminés puisque la discussion argumentée n’est pas leur méthode. Ils ne se livrent qu’à des attaques personnelles et la diffamation est leur arme favorite.

AgoraVox accepte les pratiques perverses de Pangloss que j’ai expliquées ici. Elles portent assurément préjudice au site. Mais, pire que cela, j’ai aussi exhibé les preuves de ses diffamations. Maintenant c’est AgoraVox qui est coupable de diffamation. C’est sur le site d’AgoraVox que figurent ses diffamations.

 

Dans un prochain article nous verrons qu’après la défection de Pierre-Marie Baty, Pangloss s’est trouvé un nouveau complice…