Violences depuis la France

Paris surendetté exode des migrants de la capitale via la Province loin d’être une demande S.D.F. des étrangers en attente de régularisation. Il est plus que honteux de voir la ville de Tour Eiffel vouloir donner un coup de peinture en chassant manu militari les personnes que l’on souhaite cacher à la face du monde. L’exode urbain désigne le déplacement durable de populations quittant les zones urbaines pour aller s’implanter dans des zones rurales, par opposition à l’exode rural.

Une déclaration de guerre à tous les racistes de toutes origines. Lutter, aider à ne pas renier nos racines. Pour ne pas abondonner nos terroirs en allant ailleurs. L’antisémitisme sous toutes formes. Sans oublier les parents qui déposent des mineurs en France sans papier, à qui profitent ces crimes ? Tous les Français ou presque surendettés.

Faut-il un nouveau Charles Martel, remettre en place l’époque des « Croisades » l’obligation de demander au Conseil de l’Europe l’autorisation de ne plus accepter « les migrants » et autoriser les diverses nations de faire une sélection pour résider sur leur sols. Cas contraire la « laïcité » et la République s’écroule tel un château de cartes. Le reflet qui se passe à Nice, le proviseur à qui l’on conseille sa retraite par anticipation. Question où se trouve « le racisme, la haine, etc. ? »

Réellement à l’image du déficit de la France ils soulèvent les tapis et pensent se débarrasser de ceux qui dérangent, mais comment faire avaler cela à pas loin de 70 millions de français ? C’est ainsi que l’on prend les mêmes dirigeants ou d’autres et l’histoire va leur donner pleinement tort.

Ce qui reste encore ce que l’histoire ne manquera pas renvoyer en pleine face, sans parler des conséquences de tous ordres que ces situations créeront ; plus qu’une certitude d’évidences en procédant de la sorte ils ne font que déplacer les problèmes et créer « Des ghettos » cela sera les reflets de la lumière de ce que vous faites depuis plus de 60 années.

C’est ainsi que vous avez ni plus ni moins que fait des foyers de violences, des repères de drogues et tout ce qui peut avoir pour conséquences la haine que certains manifestent à la Nation qui est censée avoir écrit « noir sur blanc les droits de l’homme ».

Pourtant sauf erreurs la France s’étend sans distinction de Dunkerque jusqu’à la limite de frontière Italienne sans contourner Paris et toute la ceinture Ile de France. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 parfois abrégée en DDHC est un texte fondamental de la Révolution française qui énonce un ensemble de droits naturels individuels et communs, ainsi que les conditions de leur mise en œuvre. Ses derniers articles sont adoptés le 26 août 1789. La Déclaration est un des trois textes visés par le préambule de la Constitution française du 4 octobre 1958. Sa valeur constitutionnelle est reconnue par le Conseil constitutionnel depuis 1971. Ses dispositions font donc partie du droit positif français, et se placent au plus haut niveau de la hiérarchie des normes en France.

C’est Charles de Gaulle met dans la Constitution française en 1958 et reconnue par le Conseil constitutionnel en 1971, ce sont que des mots alignés ou faut-il modifier les frontons de 36 mille communes de l’hexagone sans oublier évidemment les départements d’Outre-Mer. Nous savons combien « Les ghettos » ont laissés de séquelles, cela perdure de 60 années à la suite de « La cour des Miracles » les repères là, où l’école tente de faire régner « le savoir vivre ensemble ».

Le terme « Ghetto » désigne originellement un quartier imposé aux Juifs par les autorités politiques de l’État, où ils doivent vivre séparés de la population non juive. Ce dispositif de séparation va de pair avec l’autorisation qui leur est donnée par les autorités de l’État de pratiquer le judaïsme et de s’organiser pour leurs affaires internes, toujours sous le contrôle de l’État. Si l’institution du ghetto permet le maintien des spécificités culturelles des Juifs, il ne signifie en aucun cas une situation d’autonomie. À partir de la définition de ghetto, il est possible pour Loïc Wacquant de distinguer trois confusions courantes. La 1^ere erreur associer systématiquement la pauvreté aux ghettos. C’est, en effet, une caractéristique très fréquente mais pas toujours vérifiée. La deuxième erreur serait d’affirmer que toutes les zones ségréguées sont des ghettos. Par exemple, les résidences fermées sont parfois ironiquement surnommées « ghettos de riches ».

Ce sont bien des lieux ethniquement et socialement homogènes mais leur ségrégation n’est pas imposée, elle est au contraire même élective. En France, les première et deuxièmes conditions ne sont pas factuellement remplies, et les deux autres de façon très inégale et toujours partielle. Si la proportion d’étrangers, et surtout de personnes d’origine non-métropolitaines : ce qui inclut les naturalisés, les Français d’origine étrangère et les Français originaires d’outre-mer, est souvent élevée, elle ne l’est pas toujours davantage que dans certains quartiers anciens et dégradés des centres-villes : la Goutte-d ‘Or à Paris, le Panier à Marseille, des anciennes banlieues ouvrières : les Macreux à Aubervilliers, voire des copropriétés appropriées par un groupe : le « triangle asiatique » de Choisy à Paris. Ou en déshérence : les Bosquets à Montfermeil, des lotissements pavillonnaires médiocres : les Portugais de Champigny-sur-Marne, les Maghrébins du quartier des Minguettes de Vénissieux. C’est d’ailleurs à Vénissieux qu’est née l’association No Ghetto, association promouvant la mixité sociale et d’origine dans les collèges. Enfin, la troisième confusion aurait lieu entre les quartiers ethniques et les ghettos. Leurs fonctionnements sont mêmes opposés si l’on considère leurs objectifs. Les premiers ont comme but de former des ponts vers l’assimilation avec le groupe extérieur, tandis que les seconds ont une fonction d’isolement, de coupure.

L’emploi du terme ghetto est historiquement et sociologiquement incorrect, le fait même qu’il ait été si souvent employé par les pouvoirs publics et par les médias qu’il soit devenu d’usage courant est significatif d’un « report du discrédit qui touche le territoire sur la population qui l’occupe ». Une partie de la population de ces quartiers rejette cette image de ghetto tandis qu’une autre partie la revendique. Lorsqu’elle emploie ce terme, c’est presque autant pour définir une situation d’isolement, un urbanisme jugé concentrationnaire, que pour faire référence à la proportion d’étrangers, à la violence ambiante ou à la faible proportion d’autochtones.

En tant que lieu, le ghetto est généralement identifié par sa densité de population et la présence de nombreuses habitations surpeuplées et dégradées. Le terme « ghetto » renvoie dans l’imaginaire collectif à un espace marginal, enclavé et en rupture avec le reste de la société. Depuis une dizaine d’années, le « ghetto » est associé aux « banlieues » françaises ou aux « quartiers défavorisés » dans les usages médiatiques, scientifiques et publics.

En 2023 : Les 20 quartiers les plus dangereux de France, la 1ère est à éviter à tout prix. Top 20, le quartier du nœud-off à Strasbourg, top 19, le quartier Barbès à Paris, top 18, la zube, de la Berthe à la seine-sur-mer, top 17, le quartier Mont clare à Avignon. Certaines places du palmarès ont de quoi étonner. Si on s’intéresse donc aux faits délictuels commis l’an passé, la ville la plus dangereuse de France serait ainsi Lille (Nord), devant Saint-​Denis (Seine-​Saint-​Denis) et Paris.

Moralité le constat s’impose et se voit l’Etat tente de masquer ses erreurs passées et présentes à créer des plans dans les campagnes de la France profonde, au point que tel un cancer, les « poulpes » extradaient en ces lieux implantent leurs tentacules et rendent à regret « Le vivre ensemble par le savoir quasiment impossible »

Classement des villes françaises les plus dangereuses : Lille -Saint-Denis- Paris- Lyon- Orly- Bordeaux- Grenoble- Cannes- Rouen- Marseille- Nice. L’une des clés pour y arriver serait plus de science et une démocratisation des connaissances pour asseoir les décisions politiques et favoriser la compréhension des enjeux par la population.

Pour cela, un plus grand nombre de scientifiques, savantes et savants devraient s’avancer dans l’espace public. Davantage d’intellectuels dans les cités.

Dans les dernières années, l’enchaînement pandémie, catastrophes naturelles, conflits armés et crise du coût de la vie a été déstabilisant et a miné le moral des citoyens et des citoyennes.

Ces événements ont notamment contribué à polariser le débat public et à faire émerger des courants antidémocratiques favorisant la désinformation.

Ils nous ont aussi mis devant l’évidence, jusque dans notre quotidien. Le prix des aliments, l’engorgement des urgences, la disponibilité de matériaux, même le ton de nos débats sont influencés par des causes extérieures qui nous échappent et sur lesquelles nous semblons n’avoir aucun contrôle.

Nous sommes confrontés à des problèmes qui sont complexes et globaux.

Ils font appel à différentes connaissances multidisciplinarité et différents gouvernements multilatéralité. Principale cause qui se voit au quotidien, les violences inadmissibles des lieux d’enseignements. Cela est plus que facile à comprendre, sauf pour les gens bornés ainsi que ceux qui veulent rejeter « La République » car les secondes cités ne connaissent que leurs lois et conditions il en demeure donc « Dégage, crève, ou accepte nos conditions »

Ce fléau représente la mort à plus ou moins courts termes les dégradations avant la mort d’une civilisation dont les gouvernants portent la grande part de responsabilités par inactions. Mais tout dépend des tarifs.

Le Panda

Patrick Juan