Benyamin Nétanyahou Coupable et Responsable
Benyamin Nétanyahou Coupable et Responsable
« Nous espérons que le gouvernement a déployé autant d’efforts pour ramener les otages que pour mettre fin à la grève ». Selon Peter Lerner du syndicat israélien Histadrout, à l’origine de la grève générale, la découverte des six morts dimanche a été le signe qu’il fallait « secouer les choses » pour redonner la priorité aux otages.
Nétanyahou, avec sa politique déclenche la polio à Gaza une certitude ?
La poliomyélite est une maladie qui a pu être éradiquée en Belgique grâce à la vaccination obligatoire de tous les enfants depuis 1967. La population est aujourd’hui protégée grâce à une couverture vaccinale qui s’élève à 98% pour la 3ème dose. Les vaccins contenant le vaccin antipoliomyélitique inactivé (VPI) confèrent une immunité contre les trois types de poliovirus chez plus de 95 % des sujets vaccinés après trois doses, et chez près de 100 % des vaccinés après l’administration d’une dose de rappel. Le vaccin contre la polio protège contre les formes graves de la maladie, mais les personnes vaccinées qui contractent une souche circulante du virus peuvent toujours la transmettre à celles qui ne sont pas vaccinées. Bien que les cas de polio soient faibles dans les hôpitaux, le virus continue d’être détecté dans les eaux usées des grandes villes, ce qui rend nécessaire une protection renforcée.
Il n’existe pas de traitement curatif de la poliomyélite. La prévention est la seule solution. Le vaccin antipoliomyélitique, administré à plusieurs reprises, peut protéger un enfant à vie. Deux vaccins sont disponibles : le vaccin antipoliomyélitique oral et le vaccin antipoliomyélitique inactivé.
Pendant que le monde entier Israël y compris se réjouissent des Jeux paralympiques qui suivent les Jeux olympiques de Paris 2024. Des enfants, adultes etc. Vivants à Gaza seront marqués à vie s’ils survivent. Les séquelles de ce virus est un destructeur imparable et vous n’êtes pas censé l’ignorer. Le peuple d’Israël ne veut plus de vous et votre gouvernement d’extrême droite qui vous fait rester au pouvoir, jusqu’à quand ?
L’exécution de six otages israéliens par le Hamas à Gaza a poussé des centaines de milliers d’Israéliens à descendre dans les rues, en signe de deuil et de colère. Un rare appel à la grève générale en Israël pour protester contre le non-retour des otages détenus à Gaza a entraîné des fermetures et autres perturbations dans tout le pays lundi, y compris dans son principal aéroport international. Les familles des victimes et une grande partie de l’opinion publique accusent le Premier ministre Benyamin Nétanyahou d’être indirectement responsable de ces assassinats, et affirment que les otages auraient pu être rendus vivants dans le cadre d’un accord avec le Hamas visant à mettre fin à la guerre qui dure depuis plus de onze mois.
Faisant écho à ces protestations, le président américain Joe Biden a estimé que Nétanyahou n’en faisait pas assez pour parvenir à un accord en vue de la libération des otages israéliens détenus par le Hamas dans la bande de Gaza, mais que cet accord était « proche ». On aimerait partager son optimisme, mais le blocage n’est pas seulement le résultat de l’intransigeance du Premier ministre israélien : il reflète l’intérêt commun des deux ennemis en confrontation, Nétanyahou et le chef du Hamas, Yahya Sinwar, de prolonger le plus possible l’immobilisme meurtrier qui leur va si bien.
Un accord de cessez-le-feu signifierait l’impossible face-à-face avec la population palestinienne sur les conséquences du massacre qu’il a déclenché le 7 octobre 2023. Pour Nétanyahou, la fin des représailles d’Israël à Gaza signifierait la fin de vie de son « cabinet de guerre » et le retour à ses procès pour corruption. Pour la population civile, cet accord tacite entre les deux faux ennemis ne peut que mener à la continuation du désastre qui a déjà tué plus de 40 mille Palestiniens. Pour les leaders occidentaux, dont Joe Biden est le seul à exercer une influence sur Israël, ces pourparlers sans fin ont pour mérite de contenir la guerre et d’éviter l’embrasement régional que les marchés redoutent. C’est bien cela qu’ont compris les Israéliens, et c’est aussi contre ce calcul cynique qu’ils descendent dans les rues.
Attention les guerres chimiques existent et étant donné certaines attitudes vous mettez non seulement votre peuple dans le cycle d’une guerre sans fin et du risque d’une pandémie qui risquerait de faire renaître de ses cendres une maladie qui n’est pas proche d’être à 100% éradiquée. Une alarme pas gratuite, un fait est indéniable « Le but de la victoire la votre risque d’avoir plus de séquelles que vous ne le pensez »
Le Panda
Patrick Juan