LA SANTE

La Mort de l’Hôpital Public, et Suite essayons de Comprendre ce qui nous Attend

Temps de lecture : 5 minutes

La Mort de l’Hôpital Public, et Suite essayons de Comprendre ce qui nous Attend

Extrait

Sans l’hôpital public, il est indéniable qu’aucun établissement « Privé » n’existerait en France puis dans la quasi-majorité de l’Europe. La première preuve sur 27 pays, 19 seulement utilisent l’euro. Pourquoi ? Pour des raisons d’acceptations de certains contrats.

Ne pas perdre de vue un point plus qu’important pour former une infirmière il faut de 3 à 5 ans, quant à un médecin il faut compter entre 8 et 10 ans et parfois selon la spécialité bien rajouter de 4 à 6 années. Tous les gouvernements ou presque sans exception ont procédé de façon tout à fait contraire. Créant de la sorte des déserts médicaux et d’avantage en milieux rural.

Tous les praticiens sans exception, passent par l’hôpital public avant de créer ou entrer dans un « Espace Privé »

Il est impossible de traiter un tel sujet d’un seul jet, d’où le motif essentiel de le publier sous forme de « livre électronique » Message envoyé afin que tous les candidats à la magistrature suprême en prennent connaissance. Ce n’est que la face visible de l’iceberg ; le reste va venir. Sommes-nous dans une position « Régalienne » ? A priori cela ne fait point l’ombre d’un doute. Bien souvent utilisée peu ou prou appliquée. Lorsqu’on veut nuancer une idée ou ne pas être trop affirmatif dans ses propos, on peut utiliser l’expression « peu ou prou », l’équivalent de « plus ou moins ». Le mot « prou », qui daterait du XIIIe siècle et signifie « beaucoup » ou « assez », viendrait du latin «prode», qui veut dire «avantage», «profit».

Où vont s’arrêter les vendeurs de morts de même que les Acheteurs ?

36 000 faux pass sanitaire dans le viseur de l’Assurance maladie

Face visible de l’iceberg, tout comme la mort de l’hôpital public

Les élections présidentielles sont à nos portes, les candidats qui ne placeraient pas l’état de la santé en 1ere position prennent la liberté d’être éliminé d’office par leur ignorance.

Ce qui est le plus cher à chacun de nous est indubitablement « La santé ».

Clef de tous les pouvoirs et des besoins tels :

« Le pouvoir d’achat, l’augmentation des versements aux retraités, le maintien à domicile, la baisse des taxes, l’emploi, les égalités sociales, l’immigration, l’éducation, la valeur de notre République dans sa globalité, etc. »

Nous sommes indéniablement dans un chaos indéniable, il est temps de nous remettre nous-mêmes sur les justes rails par nos propres moyens, en nous restructurant.

Dans le cadre contraire, il serait utile de nous expliquer comment vivre avec 500 à 600 euros par mois. Le constat renvoie à des chiffres cités sur LCI, par l’éditorialiste André Bercoff. « Finalement, beaucoup d’éleveurs touchent l’équivalent d’un RSA par mois » Au 1er avril 2021, le montant forfaitaire mensuel du revenu de solidarité active (RSA) est revalorisé de 0,1% par rapport à 2020. Il est de 565,34 € pour une personne seule vivant en métropole et dans les Dom (559,74 € en 2020)

Evoquant la situation des agriculteurs français, il lui a opposé celle des « migrants »

Sa déclaration : « Un migrant en France ou un demandeur d’asile peut donc toucher au maximum 14,20 € par jour soit 440,20 €. Bien entendu, il faut plusieurs semaines pour constituer un dossier et toucher l’allocation pour se nourrir, se loger et s’habiller. La majorité utilise de plus une carte bleue offrant 40 euros par jour délivrée aux demandeurs d’asile/jour et par personne »

Il faut savoir que ceux qui n’ont jamais cotisé pour leur retraite, puisqu’on parle de retraite, et qui arrivent en France, sans jamais avoir cotisé et travaillé en France reçoivent aujourd’hui, « 875 euros par mois, et en couple 1 100 euros par mois ».

« Il faut savoir de qui on s’occupe en priorité. »

Le prix moyen d’une chambre particulière en milieu hospitalier de rééducation après intervention chirurgicale ne coûte pas moins de 95 euros, simplement car le numéro FINESS commençant par 6300105 (numéro incomplet volontairement) et ensuite créer des pompes à fric, au détriment d’une modeste et sereine fin de vie. Dix millions de personnes vivent seules 1 en France. Leur part dans l’ensemble de la population est passée de 6 à 16 % entre 1962 et 2016, selon l’Insee. Si l’on ne considère que les 15 ans et plus, cette proportion a augmenté de 13 % en 1990 à presque 20 % en 2016.

Aucune mutuelle digne de ce nom ne revient à son adhérent en dessous de 1200 euros minimums/an, et lorsque l’on est bien assuré votre organisme ne rembourse au maximum que 50 euros par jour.

Puisque « le problème de la surpopulation carcérale en France ne sera sans doute pas réglé dans les prochaines années et le nombre de personnes écrouées et condamnées continue d’augmenter », le député LR des Alpes-Maritimes Eric Pauget, a eu une idée.

Selon lui, il serait légitime de « faire participer les détenus aux coûts engendrés par leur détention ». Outre la dimension dissuasive de la mesure, il explique que cela permettrait de financer partiellement le coût de la détention. Celle-ci, souligne l’élu, s’élèverait pour l’Etat à 100 euros par jour et par personne incarcérée. Un chiffre dont on peut vérifier la véracité, mais qui cache d’importantes disparités.

Il serait judicieux peut-être d’aménager ces lieux et d’en transformer une partie en maison de retraite pour les anciens, puis cela ne toucherait en rien une suppression d’emplois, car les gardes pénitenciers seraient remplacés par du personnel médicalement formé, les autres frais seraient pleinement identiques.

Aucun risque de mutineries, ni de trafics de drogues ou de corruptions

Puis au bout du chemin, les financiers ont créé des Ehpad pour remplacer une prison mouroir, puis bien souvent sans considération, vous déboursez sans aucun avantage un minimum mensuel de 2800 euros par mois, puis à Paris vous payez 4000 euros/mois.

L’apocalypse qui nous vit se doit de cesser il en va de notre survie et celle de nos générations à venir, en nous protégeant nous sécuriserons le climat de notre planète.

Sommaire

  1. Les dépenses augmentent de 5,5 % en 2020 après +2,6 % en 2019
  2. Les recettes diminuent de 5,0 % après une progression de +1,1 % en 2019
  3. Le déficit de l’État et des administrations de sécurité sociale se creuse très fortement en 2020
  4. La dette au sens de Maastricht augmente de 270,6 Md€ et s’établit à 115,7 % du PIB

Le déficit public pour 2020 s’établit à 211,5 milliards d’euros, soit 9,2 % du produit intérieur brut (PIB), après 3,1 % en 2019.

Les recettes diminuent de 63,1 Md€, soit −5,0 %.

Leur baisse est un peu moins prononcée que celle du PIB en valeur (−6,1 %).

Ainsi, en proportion du PIB elles augmentent de 0,6 point, de 52,3 % en 2019 à 52,9 % en 2020.

Le taux de prélèvements obligatoires augmente de 0,9 point et s’établit à 44,7 % du PIB.

Les dépenses progressent de 73,6 Md€, et atteignent 62,1 % du PIB, après 55,4 % en 2019.

La dette des administrations publiques au sens de Maastricht atteint 115,7 % du PIB à fin 2020.

Les dépenses augmentent de 5,5% en 2020 après +2,6% en 2019

Voir détails dans P.D.F.

Les dépenses augmentent de 5.pdf

Les causes de l’abandon des praticiens du public via le privé

Crise de confiance de l’hôpital, accroissement continu des tâches administratives, manque de moyens et contraintes budgétaires, gardes à répétition, recherche d’une meilleure rémunération, etc. : autant de raisons qui peuvent expliquer qu’un médecin décide de délaisser l’hôpital public pour le secteur privé.

Le Panda

Patrick Juan

2 réflexions sur “La Mort de l’Hôpital Public, et Suite essayons de Comprendre ce qui nous Attend

  • Bonjour,

    les informations qui circulent dans la majorité des cas sur les réseaux sociaux ou certains sites, blocs, ou autres sont des vendeurs de morts

    Il existe parfois des informateurs qui mériteraient d’êtres condamnés car il font courrir bien plus de risques que d’apporter une sécurité minime à quiconque

    dans la mesure ou vous ayez le moindre doute renseignez-vous auprès de votre médecin référent éviter toutes entraves aux législations en vigeur

    Ne faites confaince qu’à des professionnels de santé, car parfois dans le cas contraire cela peut provoquer la mort de la personne bravant les interdits avec un seul but pour le faux ou vrai conseiller un profit mercantil 

    Le Panda

    Patrick Juan

  • Je vais vous livrer quelques exemples qui démontrent sans failles que la législations sur les vaccins et la réelle médecine n’a pas de place à des diseurs de bonne aventure

    Le Panda

    Patrick Juan

Laisser un commentaire