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Rentrée 2024 Savoir et Vivre

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Rentrée 2024 Savoir et Vivre

Que de beaux souvenirs dans les parfums du passé et ceux que nous ont laissé les jeux olympiques en France et ceux à venir. Comme une envie de redonnez les joies de la vie au quotidien, le moral s’accompagne avec des odeurs que nous retrouvons au moment ou l’hiver sonne à la porte de notre vie.

Entre les odeurs des crayons neufs de la rentrée, des cartables, du changement d’école, les nouveaux copains sans oublier ceux qui nous restent des années précédentes. Tout cela semble changer avec les affres que la politique crée contre bien souvent les attentes au quotidien.

Il y a des manques à tous les stades, sauf dans les clichés de nos enfances là ou le monde semblait si merveilleux et les espoirs se lisaient sur nos visages le matin devant nos bols de petits-déjeuners prit en famille.

A présent tout semble sujet à contestations, pratiquement les réussites ne se partagent plus en cellules familiales, ni entre amis, mais dans la majorité des cas dans le monde financier celui dont enfants nous n’avons pas tout à fait conscience. Il en va de même pour les services d’urgences l’état attend que la liste des murs de la honte pullule dans nos villes en plus de desserts médicaux. Les actions de valeurs ne partagent que vivant, âgées un pas de départ sans souvenir « êtres malades et finir sur un brancard face à des blouses blanches impuissantes » manque de lits et de personnel. Constats de toutes saisons, prendre conscience que sans « Les Vieux » les rentrées scolaires et autres n’auraient aucune existence.

Il ne va plus rester qu’une solution espérons que non, c’est de construire de nouvelles salles communes comme dans le temps. Certains y pensent déjà par manque de compétences et nous revenons à la longueur des couloirs sans fin, avec des numéros au pied du lit.

Les Ehpads ont laissé la place au fait de vieillir en famille entourés des siens, tout comme les Centres récents de remise en forme, les uns comme les autres forment un vide des plus difficiles à comprendre, que l’on y vive, un mois ou des années le vide est aussi énorme que les ex-détenus rencontrent des difficultés à s’intégrer dans le monde de la vie moderne.

Le manque d’empathie de savoir, de vouloir simplement écouter l’autre, ce sont des vides plus que difficiles à vivre, avec le sentiment de survivre encore, ou encore un jour de plus simplement. Une évidence se dégage les pathologies sont de plus en plus complexes et les praticiens parfois de pacotille non formée à ce monde ou le partage prend autant de place que certains médicaments.

Il y aura 1 500 internes en moins à la rentrée dans les hôpitaux et les cabinets médicaux. Une situation causée par les effets non prévus d’une réforme des études de médecine. Ce n’est pas avec des praticiens en C.D.D. bien au contraire c’est de ces faits que naissent et perdurent le malaise. L’unité de toute entité médicale ne peut se faire que par l’accoutumances de travailler ensemble et de pouvoir consulter les dossiers ensemble, ce qui est loin d’être le cas pour la majorité des patients qui arrivent aux urgences, la raison est simple « manque de praticiens, de personnel, donc affectation de lit. Dans un tel contexte personne ne peut être « Juge et Parties ». Or vous essayez de faire comprendre le contraire. S’en tenir aux faits prouvés et rien d’autres.

Le vide important de praticiens médicaux, d’enseignants du primaire aux universités, les lieux de sports gratuits, ceux de rencontres conviviales et la liste est loin d’être exhaustive, nous font constater que le boum ou les personnes vivaient plus de temps, va sur une pente descendante qui verra les personnes partir comme à l’époque d’il n’y pas si longtemps.

Nous reviendrons à quitter le sol terre vers 65 à 70 ans, masse de facteurs rentrent en ligne de compte, mais combien sont ceux qui s’en rendent compte ? Le présent nous fait constater ces lacunes dont lesquelles nous plongeant à bras raccourcis.

Des Appels ?

Les familles sont en plein déclin, les enfants bien souvent vivent leurs vies, oubliant les personnes qui les ont autant aimés, le revers de la médaille est plus que difficile à comprendre alors que ce sont les racines et les puissances de toutes formes d’existences. Certains enfants oublient volontairement qu’ils ont eus « Mère et Père » ce sont les fruits d’une vie trop moderne ou la majorité s’éteint sans vouloir savoir comment ils sont arrivés.

Une raison courante pour laquelle un enfant adulte peut s’éloigner de ses parents est le sentiment qu’il n’est pas assez bien. Cette perception peut se développer à partir de schémas de critiques ou d’attentes irréalistes de la part du parent, conduisant l’enfant à se sentir sous-évalué et inadéquat.

Les enfants qui subissent le rejet de leurs parents peuvent éprouver des sentiments de tristesse, de colère, de confusion et de honte. A long terme, ces sentiments peuvent affecter leur estime de soi, leur capacité à établir des relations saines avec les autres, ainsi que leur santé mentale en général.

« Cette réaction est normale ? Non. L’enfant cherche à retourner à un moment de sa vie où les choses étaient plus faciles. » C’est un moyen de se sentir en sécurité. Certains enfants peuvent aussi devenir plus agressifs et colériques parce qu’ils ne savent pas comment exprimer leurs émotions.

Durant la préadolescence et le début de l’adolescence, les enfants développent et mûrissent leur propre identité. Ils cherchent naturellement à se séparer de leurs parents. Pour certains enfants, cette quête d’indépendance se produit plus tôt (et de manière plus agressive) que pour d’autres.

Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles un enfant peut rejeter un parent et résister à passer du temps avec lui ou refuser de le faire. Ce rejet peut être une conséquence naturelle d’expériences telles qu’un conflit parental avant ou après la séparation, la violence familiale, des facteurs de personnalité ou une mauvaise éducation parentale.

Cela peut être parce que l’on en veut trop à son père ou sa mère, ne plus le/la voir serait en quelque sorte le moyen de lui faire comprendre que l’on souffre de la décision qui a été prise. A l’adolescence, cela peut aussi faire partie de notre processus d’autonomisation.

Les souffrances affectives sont-elles les plus importantes, comme les rejets et autres attributions de mêmes échos ? Ne pas se rendre compte des affres de la société c’est peut-être s’ignorer soi-même ? Ou ne pas avoir eu conscience à un moment que personne n’est conçue pour vivre seul, isolé des réalités et cela quel que soit l’âge. Quel que soit la cause des parents ou des enfants qui s’ignorent ne pourront jamais vivre sereins. Plus qu’une évidence, le souffle de la vie.

Ne pas prendre juste un peu voire plus de ces, nos marasmes, c’est contester les réalités de la vie et le sens de sa propre existence mais surtout s’isoler davantage des autres alors à chacun de tenter de savoir accepter les autres tels qu’ils sont, en tentant dans certains cas de renouer ou d’instruire.

Le Panda

Patrick Juan 

Une réflexion sur “Rentrée 2024 Savoir et Vivre

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