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« Il y a masse de responsables et coupables »

Temps de lecture : 7 minutes

« Il y a masse de responsables et coupables »

Avant d’aborder ce qui fait les hontes de la France, de l’Europe, du Monde essayons de comprendre pour celles et ceux qui ne sont pas des lâches. Nous sommes dans un monde en folies mais pour combien de temps encore ? Un article ne suffirait pas à l’écrire. Pratiquement depuis l’affaire « du sang contaminé » de « la covid » le milieu de l’enseignement, familial, médical, donnent envie plus que de vomir.

A l’image du « Titanic » qui coula mais restera-il des vivants cette fois pour raconter les réalités de nos débâcles.

Ayant connu à ce jour 40 années des deux côtés de la barrière dans le cadre médical et patient, il nous semble que nous savons parfaitement ou presque de quoi nous parlons dans nos écrits. Il ne s’agit pas du tout d’une affaire similaire « à L’affaire Outreau» qui fit réagir Jacques Chirac mais de bien pire qui permet en cause toutes les valeurs de nos institutions. Le procès Le Scouarnec se tiendra à huis clos « pour la sérénité des débats » ce sont des faux problèmes pour couvrir les responsables pseudos innocents. Vous attendez qu’un film soit réalisé après la fin du procès pour servir si possible de « Prévention » à laquelle vous êtes obligés ? » pour éviter que de tels faits se produisent par le « silence de se sentir coupable » Comme le prouve et le démontre « Les Fossoyeurs » Les scandales et les hontes dont certains souffrent car les institutions légales n’interviennent pas sont bien plus nombreuses que ce que vous classez en faits divers. Scandale pédophile à Notre-Dame-de-Bétharram saurons-nous les vérités ? vidéo.

« L’affaire de Joël Le Souarnec »

C’est une maison toute simple dans le centre-ville de Jonzac, une maison dont la façade en crépi gris percée d’étroites fenêtres a des allures de muraille. Une avocate le décrit vidéo à regarder avec explications. Il nous semble que nous ne pouvions passer cela sous silence.

Une brève synthèse incroyable vidéo

« l’affaire Le Scouarnec », par cette perquisition de l’autre côté de la muraille, par la découverte d’un monde criminel enfoui.

Les enquêteurs qui ont sonné à la porte du septuagénaire, du fait que sa voisine de 6 ans l’accusait d’abus sexuels, par un dépôt de plainte des parents aux services de gendarmerie. Ne se doutant pas qu’ils allaient mettre au jour ce qui est désormais la plus grande affaire de pédophilie française. L’ex-chirurgien dans plusieurs hôpitaux est soupçonné d’avoir, entre 1986 et 2017, fait 299 victimes (158 garçons et 141 filles), dont la plupart étaient âgées de moins de 15 ans. Il aurait profité de la vulnérabilité de ses jeunes patients.

Joël Le Scouarnec, accusé de 300 viols et agressions sexuelles, est jugé à Vannes à compter du 24 février 2025. Qui est cet ex-chirurgien soupçonné d’être le pire pédocriminel de l’histoire française, et comment a-t-il pu continuer à exercer pendant des décennies malgré les nombreuses alertes ?

L’homme de 74 ans est accusé de 300 viols et agressions sexuelles, commis pendant des décennies, essentiellement sur des mineurs, alors qu’il exerçait dans des hôpitaux d’Indre-et-Loire, de Bretagne, de Loire-Atlantique, de Vendée et de Charente-Maritime. Il purge déjà une peine de 15 ans de réclusion criminelle pour des viols et agressions sexuelles sur quatre mineures. L’âge moyen des victimes est de 11 ans. C’est grâce à une petite fille de 6 ans qu’il a été interpellé en 2017, et que ses carnets secrets ont été découverts. Qui est Joël Le Scouarnec, et comment a-t-il pu passer entre les mailles du filet pendant 26 ans ?

Un parcours professionnel sous les radars

Joël Le Scouarnec s’installe en 1983 avec sa femme à Loches, en Touraine, et prend un poste de chirurgien viscéral. À cette époque, à 25 ans, il dit ressentir ses premières « pulsions » pédocriminelles, avec sa petite nièce. Il l’écrit dans un journal intime qu’il tient scrupuleusement, et que la Cellule investigation de Radio France a consulté en 2020. En 1994, le médecin est recruté à la polyclinique du Sacré-Cœur à Vannes. Dans la période, il fait aussi des remplacements à Quimperlé, Morlaix, Saint-Brieuc, Malestroit, Lorient, Pontivy, Ancenis et Les Sables-d’Olonne. C’est dans le Morbihan que vivent, aujourd’hui encore, une majorité de ses victimes.

Après un passage à l’hôpital de Lorient en 2004, Joël Le Scouarnec est titularisé à Quimperlé. La même année, le FBI transmet son nom à la police française car le médecin a utilisé sa carte bleue sur un site pédopornographique russe basé aux États-Unis. Il est placé en garde à vue, et est condamné l’année suivante par le tribunal de Vannes à quatre mois d’emprisonnement avec sursis, sans obligation de soin ni restriction. Sa femme prend ses distances.

En 2006, un psychiatre de Quimperlé signale Joël Le Scouarnec à la direction de l’hôpital de Quimperlé, qui prévient l’Ordre des médecins du Finistère. Le conseil reçoit quatre mois plus tard l’extrait de casier judiciaire du médecin. Pourtant, il continue d’exercer.

Témoignage exclusif du psychiatre qui a tenté d’arrêter Joël Le Scouarnec

En 2008, le chirurgien est embauché à l’hôpital de Jonzac, en Charente-Maritime. Il fait aussi des remplacements ponctuels au centre hospitalier d’Ancenis en Loire-Atlantique. Malgré sa condamnation pour détention d’images pédopornographiques, la directrice de l’hôpital de Jonzac a expliqué aux enquêteurs l’avoir tout de même recruté, puisqu' »il n’y avait pas eu d’agression physique », a découvert la Cellule investigation de Radio France dans un PV d’audition qu’elle a pu consulter.

Il emménage seul. Les enquêteurs retrouveront par la suite des photos et vidéos de Joël Le Scouarnec où il se met en scène avec ses poupées, nu dans son jardin ou portant des perruques, des sous-vêtements d’enfants ou même des couches.

Dénoncé par une petite fille

C’est justement en 2017 que sa voisine porte plainte. D’après elle, Joël Le Scouarnec s’en est pris à sa fille de 6 ans au travers du grillage qui sépare les deux jardins. Les perquisitions mettent au jour des fichiers informatiques décrivant des centaines de viols et d’agressions sexuelles. Sont également saisies trois cent mille photos et vidéos pédopornographiques.

Dans ces fichiers, on retrouve les noms et prénoms de jeunes filles et garçons mineurs, avec la narration précise de faits les concernant, souvent des attouchements ou des pénétrations digitales pendant ou après une anesthésie. Le 10 avril 2004, il écrit :« Tout en fumant ma cigarette du matin, j’ai réfléchi au fait que je suis un grand pervers… Et j’en suis très heureux » Au fil des pages, on découvre le récit de 30 ans d’agressions d’enfants qu’il appelle ma chère petite, à qui il dit je t’aime. Le jour de son anniversaire, chaque année, il inscrit son âge et cette mention, en majuscule : « Je suis pédophile »

Dans ses journaux, il décrit un mode opératoire bien rôdé, que la Cellule investigation de Radio France a décrypté à partir des centaines d’agressions détaillées. Première étape : il raconte qu’il met en confiance les parents des enfants qu’il va opérer, les rassure, et s’arrange pour que certaines victimes restent plus longtemps que prévu à l’hôpital. Une fois les jeunes patients hospitalisés, Joël Le Scouarnec fait en sorte, selon ses écrits, d’être seul avec eux dans les chambres. C’est là que la grande majorité des actes qu’il décrit se seraient déroulés. Il raconte : « Il faut savoir être patient et compter sur sa chance » Le chirurgien écrit prétexter des gestes médicaux pour justifier ses actes. Il raconte effectuer des attouchements, des pénétrations digitales et rectales, voire plus.

« Très discret pour ses collègues, un pervers d’après les expertises psy »

Lors de la longue enquête, des centaines de personnes ont été entendues, dont les anciens collègues de Joël Le Scouarnec. D’après l’ordonnance de mise en accusation consultée, le chirurgien est décrit par ses pairs comme un homme très discret, un bon chirurgien, solitaire, et qui inspirait la confiance. La plupart disaient ne pas être au courant de la condamnation pour détention d’images pédopornographiques. Seuls deux professionnels ont fait part de doutes sérieux sur le comportement de Joël Le Scouarnec : le psychiatre de Quimperlé qui l’a signalé à la direction de l’hôpital de Quimperlé, et un autre collègue qui a raconté avoir constaté des gestes déplacés du chirurgien envers sa fille alors qu’il était invité à diner.

Les nombreuses expertises psychiatriques et psychologiques réalisées entre 2017 et aujourd’hui montrent l’absence de pathologie psychiatrique. Elles mettent en revanche en lumière une absence d’empathie et de compassion pour les victimes, qu’il voit comme un moyen de satisfaire ses besoins. Elles font aussi état de traits obsessionnels, d’un rapport aux interdits et à la transgression altérée. Plusieurs le qualifient de pervers prédateur ou de pervers narcissique.

Ce sont les silences successifs de tous qui ont fabriqué cette série de crimes, et non un criminel hors norme érigé au statut de monstre, a écrit la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) dans un communiqué. La commission chargée de conseiller le gouvernement sur les politiques de lutte contre la pédocriminalité appelle à des changements culturels considérables. À chaque témoin et a fortiori à chaque professionnel en responsabilité au sein d’une institution sanitaire, administrative ou judiciaire qu’il revient d’agir, alerte-t-elle. Les actes pédocriminels sont souvent sériels : ils ne s’arrêtent pas d’eux-mêmes. Il est donc primordial de les interrompre dès la première alerte. Comme souvent, « c’est un inceste qui ouvre à une série innombrable de crimes ».

Les A.R.S. départementales ainsi que les Conseils de l’Ordre recevant des dépôts de plainte, les victimes dans plus de 90% ne reçoivent aucune suite, même avec relances. Enfants, adultes, handicapés, etc. Cela signifie que la majorité des institutions à certains produits de tous ordres préfèrent le silence à la honte. C’est bien le sens certains documents et preuves en mains que l’Omerta ne doit plus avoir droit de vie ou de mort. N’oublions pas que cela nous concerne tous, sans exception de genres ou de religions.

A suivre…/….

Le Panda

Patrick Juan

11 réflexions sur “« Il y a masse de responsables et coupables »

  • Il est de ces procès labellisés « hors norme» par le ministère de la Justice où le flot de victimes ou d’accusés vient bouleverser la géographie ordinaire de l’audience (comme celui des attentats de Charlie Hebdo, de Paris, de Nice ou encore celui dit des «viols de Mazan »…) Pour juger aussi grand, aussi grave, les dispositifs existants ne suffisent plus, il faut construire des salles avec des écrans, des bancs, des canaux de retransmission. Il faut pousser les murs pour que puissent entrer les nombreux avocats et leurs clients. Les magistrats de la cour d’appel en charge d’organiser le procès de Joël Le Scouarnec à Vannes, devant la cour criminelle départementale du Morbihan, ont été confrontés à un casse-tête. Comment accueillir dans ce petit palais de justice la plus grande affaire de pédophilie française avec 299 victimes pour un seul accusé ? Et ce pendant soixante-quinze jours d’audience. Coût de la mise en place 3 millions d’euros pour recevoir les victimes, « Ce prédateur hors normes mérite de finir sa vie en prison »

  • Joël Le Scouarnec : cet autre procès hors normes qui s’ouvre en France, trois mois après l’affaire Mazan

    299 victimes ont été violées ou agressées sexuellement pendant ou après des opérations médicales du chirurgien, qui consignait chaque agression dans ses carnets.

  • Après l’affaire des viols de Mazan en 2024, l’année 2025 risque de battre un certain temps au rythme des agissements passés de Joël Le Scouarnec. Ce lundi 24 février s’ouvre l’affaire Le Scouarnec devant la justice, du nom de ce spécialiste de la chirurgie digestive accusé d’avoir violé et agressé sexuellement 299 patients durant des décennies de pratique médicale dans divers hôpitaux de l’Hexagone. Avant d’être finalement stoppé par une plainte.

  • Au procès Joël Le Scouarnec, ses carnets "au cœur des débats"

    Un dossier où, comme dans l’affaire traitée à Avignon quelques mois plus tôt, la question de l’absence de consentement provoquée par la sédation totale des victimes va encore être au cœur des débats devant la cour criminelle du Morbihan. Sauf que cette fois, la victime n’est pas isolée. Les victimes se comptent même par centaines, pour la plupart mineures au moment des agissements de Joël Le Scouarnec, considéré comme l’un des − si ce n’est le − pire pédocriminel de l’histoire française.

  • Décortiquer l’impensable

    Dans ce dossier, impossible de ne pas évoquer un premier fait majeur et d’ailleurs commun avec celui de l’affaire des viols de Mazan : la minutie avec laquelle les deux hommes consignaient leurs agissements. Dans des vidéos stockées dans un ordinateur pour le mari de Gisèle Pelicot. Dans des carnets intimes pour l’homme jugé par la justice à partir de lundi. Des éléments clés qui ont, dans les deux cas, permis à l’enquête d’identifier les victimes ou les agresseurs.

    Dans le cas de Joël Le Scouarnec, les faits sont hors normes. Sur les 299 victimes identifiées dans le cadre de ce procès, presque toutes ont été victimes du chirurgien lorsqu’elles étaient endormies lors d’opérations. Ou juste après, pendant la phase de réveil.

  • L’âge moyen des victimes ? 11 ans, même si les actes de l’accusé impliquent un viol sur un bébé d’un an ou une agression sexuelle sur un patient septuagénaire. Quant aux faits récoltés par la justice, ils concernent des violences sexuelles commises entre 1989 et 2014, lorsque Joël Le Scouarnec exerçait dans des établissements médicaux de huit départements de l’ouest de la France. « Assez globalement, Joël Le Scouarnec a reconnu son implication dans nombre des faits en cause », indique à l’AFP le procureur de Lorient, Stéphane Kellenberger, qui mène l’accusation au procès.

  • Du FBI aux détails des « carnets noirs »

    Vu l’ampleur de l’affaire, c’est donc un travail de fourmi que les enquêteurs ont mené pour constituer ce dossier. Où tout a réellement débuté par un signalement du FBI en 2004 : sa carte bancaire ayant laissé des traces sur un site pédopornographique russe. Fin 2005, Joël Le Scouarnec est condamné à 4 mois de prison avec sursis pour détention d’images pédopornographiques, sans obligation de soin, ni interdiction d’exercer. Malgré des signalements de professionnels et des lettres adressées à ses hiérarchies, le chirurgien ne sera véritablement inquiété qu’une décennie plus tard.

    Une de ses voisines dépose plainte contre lui en 2017 pour exhibition sexuelle devant sa fille de 6 ans. Interrogée, la fillette relatera un viol digital, confirmé par une expertise gynécologique. Lors de son interpellation, la police retrouvera 300 000 images pédopornographiques et les fameux « carnets noirs » relatant jour par jour ses agressions sexuelles. Devant le juge, il fera même remonter le souvenir de ses premiers « attouchements » aux années 1985-1986.

  • Les recherches et auditions sur la base des écrits du chirurgien permettront d’ailleurs de révéler les faits à de nombreuses victimes, en « état d’endormissement » et donc incapables de garder des souvenirs des faits. Les noms de ses victimes étaient soigneusement consignés dans ses carnets et chaque fois associés à des descriptions sexuelles. De quoi établir un nombre de 312 victimes de viols et agressions sexuelles. Après quatre ans d’instruction à la suite d’un premier procès en 2020, c’est en septembre 2024 que Joël Le Scouarnec est finalement renvoyé devant les tribunaux pour un total de 111 viols aggravés et 189 agressions sexuelles aggravées sur presque autant de femmes que d’hommes, au nombre de 299 victimes retenues.

  • Un seul accusé, 300 victimes

    À l’instar de l’affaire Mazan, ce procès prévu pour durer quatre mois sera scruté de près. L’ampleur médiatique anticipée pour cette nouvelle affaire démontrant encore les similitudes avec l’impact du dossier Dominique Pelicot sur la société française. À Vannes, 264 journalistes de 62 médias seront accrédités pour suivre cette nouvelle affaire au résonnement international. Même si les avis divergent encore sur la manière dont s’orchestrera cette fois l’écho médiatique. « Dans le dossier de Mazan (…) il y a une seule victime et une cinquantaine d’accusés. Là, la proportion est inversée : un seul accusé et 300 victimes », souligne Cécile de Oliveira, avocate de victimes.

    Là où la focale était sur la victime au procès d’Avignon, elle sera plus certainement braquée sur l’accusé à partir de lundi. Car les victimes « sont tellement nombreuses », qu’elles risquent d’« être un peu individuellement – et c’est le risque – noyées les unes et les autres dans la masse » des parties civiles, regrette Me Rodolphe Costantino, avocat de l’association Enfance et partage.

    Toutefois, selon Me Francesca Satta, avocate d’autres victimes, « il va avoir un retentissement beaucoup plus important, dans la mesure où Le Scouarnec est quand même le premier pédophile international ayant commis autant de victimes ».

  • Certaines jeunes victimes du docteur Le Scouarnec, dont le procès commence lundi 24 février à Vannes, étaient endormies lors des faits. L’annonce récente par les gendarmes de leur viol ou agression a été vécue comme une déflagration. Pour d’autres, l’annonce a parfois pu être ressentie comme un « soulagement ».

    Huis clos ou pas ? La question se pose forcément pour les victimes qui vont déposer à la barre de la cour criminelle du Morbihan, composée de cinq magistrats. « Les personnes que je défends veulent que les débats soient publics. Pour une raison simple : pendant toutes ces années, le docteur Le Scouarnec a agi dans le huis clos d’une chambre d’hôpital. Et elles ne veulent pas qu’on reproduise à l’audience le secret qui lui a permis de sévir », explique Me Marie Grimaud, avocate de 20 victimes directes et de 17 parents. Parmi ces victimes, certaines vont quand même demander un « huis clos partiel », juste pour leur audition. « Pour protéger des membres de leur famille…

  • A quels moments et quels jours les juges dans cette affaire sordide, vont se décider à faire citer le Président du Conseil de l’Ordre des régions concernées « comme le demande les avocats des parties civiles, ainsi que les groupes d’ARS » ?.

    Où ce meurtrier à priori conscient a agit sous le couvert du silence.

    Quelles hontes pour le pays qui inscrivit « Les Droits de L’homme » au 18e siècle.

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