Dur d’être Praticiens en France
Dur d’être Praticiens en France
Première partie, ces métiers de praticiens de santé et des corps rattachés
Essayons de comprendre pour ceux qui savent lire ou veulent comprendre la poussée du R.N. ex-Front National que l’auteur déplore avec forces. Mêmes positions pour tous les partis extrémistes, les conséquences ce sont les enfants qui naissent qui en subiront les conséquences. Motivations de l’auteur de ces articles : 38 années de fréquentation hospitalières des deux côtés de la barrière. Arrivé au stade d’actions multidisciplinaires, après la publication de « J’accuse » * entre autres, il soumet les errances de la société depuis 50 années qui se dégrade de plus il tente de l’expliquer dans « Le Roseau et le Ravi » *. *Ouvrages publiés. A paraitre « Spectre » pratiques de Vies. De ce qui précède ou suit aucune solution envisagée avec les 3 mille milliards de dettes de la France en 2024. La raison pousse au constat que nous sommes en faillites à tous les stades.
N’ayant aucune vocation politique sinon que celle de l’équilibre, d’une société française et européenne qui partent complétement en vrilles. Il est impossible de traiter sur un seul article l’ensemble des problèmes qui pourrissent les vies au quotidien, lire plus bas.
Avoir du bon sens dans les souffrances que la majorité des diverses classes de la société meurent en silence le manque de laïcité dans tous les camps fait de la majorité des politiques dépourvu de vouloir comprendre par manque totale de civisme des divers gouvernements qui se sont succédé depuis plus de 50 années. Les laboratoires tirent des profits énormes : banques et consorts.
Ha ! les J.O. pour la France en l’été 2024 quelle aubaine pour nous faire avaler les conséquences des drogues dont nos cellules sont aussi dégelées que les tombes défraichies par manque d’entretien, la raison est simple plus de membre de ces familles vivants.
Il est pourtant facile de se cacher la face par une idéologie dont les scolaires ne connaissent pas même le sens de cette morale. L’instruction civique à disparue de nos écoles et les cellules familiales sont pratiquement inexistantes sauf pour les fêtes associées aux nantis.
Aux vivants essayons de parcourir les marasmes des vides pratiquement absolus qui ont droit à des enterrements de 1er classe, les corbillards se suivent ou pas mais les occupants ne sont jamais les mêmes. Raisons essentielles pour laquelle il y aura une suite à essayer de détricoter les magouilles dans lesquelles ont nous enferme.
Le Pouvoir d’achat : Salaires : pourquoi les salariés vont devoir se battre en 2024. Le Smic, indexé sur l’inflation, a augmenté de 1,13 % au 1er janvier 2024. Le gouvernement et les grands argentiers comptent sur le reflux de l’inflation pour que, en 2024, les salariés ne perdent rien en pouvoir d’achat. Une prévision hasardeuse qui dépend surtout de la qualité des négociations en entreprise et des luttes sociales.
« Smic augmenté de 12,4 %, alors que l’inflation a été de 12,5 % »
Seuls les salariés au Smic, revalorisé, ont été préservés. 1er janvier, le salaire minimum a été revalorisé de 1,13 %, portant le brut horaire à 11,65 euros, contre 11,52 euros actuellement. « Ainsi, depuis janvier 2021, il a augmenté de 12,4 %, alors que l’inflation a été de 12,5 %, soit un quasi-maintien de son pouvoir d’achat, alors que celui du salaire moyen a baissé de 2,5 % ».
Un Smic net à 1 398,69 euros par mois pour un temps plein, calcul de la CFDT, le salaire minimum ne permet pas de vivre décemment, une notion de survie uniquement. Selon une étude réalisée par l’économiste Pierre Concialdi, en prenant en compte l’inflation, une personne célibataire devrait bénéficier d’un revenu mensuel de 1 630 euros net, soit 195 euros de plus que ce qui était nécessaire en 2014. Un couple sans enfant devrait quant à lui gagner au moins 2 273 euros net.
Le constat s’impose aucun retraité ou salarié ne peut manger normalement ou si la normalité commence à 1 jour sur 2, quand aux Ephads ce sont des mouroirs par anticipation. Puis encore faut-il avoir les moyens de s’y rendre pour être traités pire que animaux menés aux abattoirs.
Les revenus du patrimoine ont progressé de 9 % l’an dernier
À l’inverse, les revenus du capital ont réalisé ces deux dernières années une ascension fulgurante. Dans un chapitre de sa note de conjoncture publié en décembre, l’Insee affirme que les revenus du patrimoine ont progressé de 9 % l’an dernier après avoir déjà augmenté de 6,4 % en 2022. Près de la moitié de cette hausse serait due aux dividendes qui se « maintiendraient à des niveaux élevés », avec une progression de 10 % en 2023. Sur un an, l’indice phare parisien a progressé de 13 %. Selon les dernières estimations publiées par Janus Henderson, les dividendes mondiaux versés devraient progresser de 4,4 %. En France, entre avril et juin, les entreprises françaises ont versé 46 milliards d’euros à leurs actionnaires, soit le budget de l’éducation nationale, un record.
À cela s’ajoute, les produits d’épargne, ceux de l’assurance-vie. « Dans un contexte de hausse des taux, entre juillet 2022 et septembre 2023, la Banque centrale européenne a relevé ses taux de refinancement de 0 % à 4,5 %, les organismes financiers ont relevé sensiblement les taux servis ».
Ainsi, la multiplication des discours optimistes sur l’inflation, alors que les fluctuations géopolitiques peuvent réviser les prévisions, vise surtout à « minimiser la perte de salaires réels ». L’objectif est avant tout « de ne pas donner satisfaction aux revendications salariales ou à un quelconque coup de pouce au Smic ». Avec la baisse du travail, les entreprises vont maintenir des prix élevés afin de garantir leurs marges. De ce fait, il est impossible que l’inflation repasse sous la barre des 2 %.
La mort de l’hôpital : Encore aggravées par le Covid, « la dégradation des conditions de travail et l’absence d’espoir d’une amélioration, ont conduit les démissions et les départs de la profession à s’accélérer. Manque de personnel, mauvaise gestion, dette colossale l’hôpital public est incurable ? Malgré les hausses de salaire post-Covid et 1 milliard d’euros supplémentaires accordés pour revaloriser le travail des soignants, l’hôpital public suffoque. Ses forces vives s’épuisent, redoutent une cure d’austérité en 2024. Il y a peu, à 20 heures, les habitants des villes applaudissent à leurs fenêtres les soignants de l’hôpital qui se démènent pour sauver le plus de vies possibles. Trois ans et 150 mille morts du Covid plus tard, l’hôpital en a sa claque. Malgré les hausses de salaire du Ségur de la santé 183 euros net par mois accordés à 1,5 million de professionnels, malgré le milliard d’euros pour revaloriser le travail de nuit, des dimanches et jours fériés des soignants, le compte n’y est pas. Depuis 2019, la hausse des dépenses et les tensions sur les recrutements ont conduit à un « doublement du déficit » les hôpitaux publics, atteignait 1 milliard d’euros en 2022, les Ehpad publics, 500 millions d’euros. Rapport Cour des comptes publié, deux plans lancés par les pouvoirs publics, Hôpital 2007 et 2012, contribué à cette situation. Déblocage de Gabriel Attal du vent.
« Je le dis, notre hôpital et nos soignants, c’est un trésor national », affirme le 1er ministre après avoir visité le CHU de Dijon, avec la ministre de la Santé. Assurant le sujet en haut de la pile. Gabriel Attal chiffre à « 32 milliards d’euros supplémentaires » sur les « cinq ans à venir ». Montant correspondant à la « hausse du budget de la branche maladie, adoptée dans la dernière loi de financement de la sécurité sociale ». La réalité actuelle il faut 3 médecins entrants pour un partant. Devenir médecin : 10 ans d’études après le bac à l’université pour les généralistes. 10 à 12 ans pour les spécialistes tels chirurgiens ou pédiatres. Études de kiné difficiles, dures, concours sélectif. Il faut réfléchir à ses compétences, à son projet, où on souhaite exercer. En libéral il a bien des choses à gérer, être bien organisé. Prêt à travailler beaucoup. Pneumologue, il étudie la médecine. La 1ere année commune, il choisit la filière médecine qu’il suit 5 ans. À cette issue, il a obtenu son classement qui lui permet de choisir sa spécialité, en l’occurrence la pneumologie.
Thèmes à venir : éducation Nationale – Les marginaux – L’agriculture – Une vie – Retraite – Sociétés de profits – L’écologie – Poliomyélite –Ses devises : à l’époque d’Emile Zola ce dernier aurait été mon meilleur Ami. Je me bats pour ce que je veux et que je n’ai pas.
Le Panda
Patrick Juan
La popularité de Gabriel Attal écrase celle d’Emmanuel Macron – SONDAGE EXCLUSIF
Depuis sa nomination à Matignon, le plus jeune Premier ministre de la Ve République distance très largement le chef de l’État.
Ce n’est pas un écart, c’est un gouffre. Selon le baromètre réalisé par YouGov pour Le HuffPost ce lundi 15 janvier, le Premier ministre Gabriel Attal, en poste depuis moins d’une semaine, voit sa cote de popularité s’établir à 37 % d’opinions favorables.
C’est treize points de plus que celle d’Emmanuel Macron, qui glisse d’un point pour se retrouver à 24 %.
Et quinze de points au-dessus d’Élisabeth Borne, qui a quitté le gouvernement avec seulement 22 % d’opinions favorables.
« C’est la première fois depuis les mois précédant le départ d’Édouard Philippe qu’Emmanuel Macron est à ce point distancé par son Premier ministre », note l’institut de sondages, en référence au mois de juillet 2020, quand le chef du gouvernement était à 44 % d’opinions favorables, contre 29 % pour le chef de l’État.
Plus de trois ans plus tard, celui qui compte parmi les personnalités politiques préférées des Français ne pâtit pas, pour le moment, de sa nomination à Matignon.
Au contraire, il progresse. En octobre, il était crédité de 34 % d’opinions favorables.
La cote à droite
Gabriel Attal séduit notamment les sympathisants Renaissance (à 77 %) et ceux des Républicains, avec 63 % d’opinions favorables. La conséquence logique d’une loyauté sans faille à l’égard du chef de l’État, et de ses nombreux clins d’œil appuyés à la droite lors de ses passages au Budget ou à l’Éducation nationale, marqués notamment par son plan de lutte contre la « fraude sociale » ou l’interdiction de l’abaya, deux sujets chers à la droite.
« À noter également qu’environ un tiers des proches de la NUPES et du RN disent avoir une opinion favorable du nouveau Premier ministre. Ce qui n’est pas le cas pour le président (18 % d’opinions favorables pour les sympathisants de la NUPES et 11 % pour le RN) », souligne YouGov.
À l’inverse, Emmanuel Macron ne bénéficie pas d’un effet remaniement, la séquence n’ayant produit aucune modification positive de sa perception au sein de l’opinion.
Ce qui montre que le chef de l’État devra faire davantage pour convaincre les Français au-delà du quart des citoyens qui continuent à en avoir une image positive.
Il en aura la possibilité ce mardi 16 janvier, à l’occasion de sa conférence de presse.
Présentée comme son « rendez-vous avec la Nation », celle-ci est censée lancer l’acte II de son quinquennat, après l’épisode douloureux de la loi immigration et alors que le gouvernement est toujours incomplet.
Une opportunité de renouer avec les Français et, surtout, de rattraper son Premier ministre.
Cette enquête a été réalisée sur 1 009 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus.
Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire YouGov France, du 9 au 15 janvier 2024.
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