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OXYCODONE et DROGUES

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OXYCODONE et DROGUES

Hausse de la prescription de cet opiacé en France suscite bien des inquiétudes

Prescrit comme un anti-douleur, l’oxycodone crée rapidement une dépendance. De plus en plus de Français l’utilisent dans un cadre récréatif malgré les effets secondaires parfois mortels.

Rapidement addictif. L’oxycodone est un médicament de type opioïde habituellement prescrit aux patients atteint de douleurs intenses, mais il est aujourd’hui de plus en plus consommé par des Français dans un cadre récréatif. La Société française de pharmacologie (SFPT) met en garde face à l’augmentation « inquiétante » de sa consommation ces dernières années, dans un avis publié sur son site le 22 mai.

Hausse inquiétante

Sa prescription en France suit une progression inquiétante alors qu’elle ne présente pas d’avantage pharmacologique par rapport à la morphine, s’alarme la SFPT.

Issu de la graine de pavot, l’oxycodone est un anti-douleur proche de la morphine, selon le dictionnaire médicamenteux Vidal. Le ministère de la Santé indique qu’il est utilisé pour traiter les douleurs sévères qui ne peuvent être correctement soulagées que par des analgésiques opioïdes.

Il est prescrit aux patients souffrant de douleurs post-opératoires ou liées à un cancer, seulement en deuxième intention, c’est-à-dire lorsqu’un autre anti-douleur puissant s’avère inefficace.

Risques d’addictions

La consommation excessive de ce médicament peut entraîner une dépendance, un abus et une addiction, ce qui peut conduire à un surdosage potentiellement mortel, dixit le ministère de la Santé.

Mes patients le disent bien : ça soulage mon mal de dos, mais je le prends aussi parce que je me sens bien, ça m’aide à aller travailler, constate le médecin André Nguyen, coordinateur général de la Coordination régional addictions (COREADD).

Tous les médicaments qui font du bien à la tête, compliqué de l’arrêter

En cas d’addiction à l’oxycodone, le risque est de consommer le produit de façon excessive. Avec un analgésique aussi puissant, les patients risquent non seulement d’éprouver des difficultés respiratoires, de tomber dans le coma, mais aussi de mourir des suites d’un arrêt respiratoire.

L’Ouest particulièrement touché

Malgré ces risques, le médicament est de plus en plus souvent prescrit par les praticiens. On compte ainsi 460 consommateurs sur 100 mille habitants en 2021, d’après la SFPT. C’est dans l’ouest du pays que la situation s’avère la plus inquiétante. La SFPT y déplore une augmentation « impressionnante » des prescriptions de 5% par an depuis 2017, contre 1 à 2% dans le reste de l’Hexagone. 950 habitants sur 100 mille consomment de l’oxycodone en Nouvelle-Aquitaine.

L’implication de cette substance dans les décès toxiques par antalgiques (DTA) a quadruplé entre 2013 et 2017. En 2019 en France, 23 impliquaient l’oxycodone, selon l’enquête annuelle DTA.

Très utilisé dans la fabrication des drogues de synthèse

Le professeur de pharmacologie au CHU de Bordeaux, en Gironde, Francesco Salvo, s’interroge sur la façon dont est prescrit le médicament et dit à l’AFP avoir sollicité des financements auprès de l’Agence régionale de santé (ARS) pour mieux comprendre le phénomène.

« Nous voudrions voir s’il y a une portion de population qui reçoit des prescriptions plus longues, ce qui pourrait faire penser à un mésusage, voire à un trouble de l’usage »

Aux États-Unis, et sur les 5 continents l’oxycodone est le médicament le plus utilisé dans la fabrication de drogues de synthèse. Il s’agit du 1er médicament qui a été au centre de la crise des opioïdes dans les pays, rappelle la SFPT. Plus de 600 mille personnes en sont mortes en 20 ans.

L’Hexanhydrocannabinol est un nouveau produit de synthèse vendu librement dans le commerce, notamment dans les boutiques spécialisées dans la vente de CBD. Ses consommateurs font part d’effets qu’ils comparent à ceux d’une drogue, ce qui inquiète les médecins.

C’est un produit qui gagne en popularité, notamment grâce aux réseaux sociaux, et qui inquiète les médecins. Le HHC, abrégé d’Hexahydrocannabinol, est une molécule de synthèse dérivée du cannabis qui peut être fumée lorsqu’elle est sous forme de fleur, de résine ou ingérée lorsqu’elle est intégrée dans des bonbons.

En vente libre

Elle est vendue librement dans le commerce, car elle n’est pas considérée comme une drogue, mais des consommateurs rapportent des effets importants, comparables à ceux d’autres produits psychoactifs.

Les produits à base de HHC sont principalement vendus dans les bureaux de tabac ou dans les boutiques spécialisées dans les produits à base de CBD (Cannabidiol), une des molécules naturelles du cannabis réputée, entre autres, pour ses effets relaxants. BFMTV s’est rendu dans l’une de ces boutiques où les consommateurs réguliers de CBD, et parfois de THC (Tétrahydrocannabinol, la molécule psychoactive illégale du cannabis), s’arrachent ce nouveau produit.

Que disent les gens qui fument du THC ? Que le lendemain, ils ont la tête comme un melon et que c’est difficile pour aller travailler. Le HHC, ce n’est pas du tout le cas. On se lève, on est bien et on est prêt à repartir, partage Michel, gérant de la boutique parisienne CBD High.

Ç’est une drogue

Mais pour les spécialistes, les effets divers du HHC sont loin d’être anodins et ne doivent pas être banalisés. Le HHC a plus d’effets similaires avec le cannabis que le CBD, que ce soient des effets neuropsychiques, des effets cardiovasculaires. On est dans le même type de produits. Ça a à peu près les mêmes effets qu’un pétard, quatre à six heures pendant lesquelles on est en train de planer, on a des effets de désinhibition, de manque de contrôle, de mauvaise gestion de tout ce qui est automatismes, réflexes, beaucoup plus de crises d’angoisse aussi qu’avec le THC, explique le psychiatre addictologue Dan Véléa.

Ça s’appelle de la drogue, une substance psychoactive, qui normalement est un générique de substance illicite mais qui, à l’heure actuelle, fait l’objet d’un flou total, tranche-t-il.

D’autant que ce produit n’est pas sans danger pour la santé des consommateurs. Il présente de nombreux effets indésirables sur les systèmes neurologique, cardiovasculaire et digestif, surtout si son utilisation est détournée en le fumant.

Il faut normalement éviter la combustion donc il faut éviter de fumer notamment ces fleurs qui contiennent du HHC et idéalement, il faudrait les vaporiser pour diminuer les risques liés à la combustion, les risques de cancers et les risques cardiovasculaires », détaille le médecin psychiatre spécialiste de l’usage médical des plantes Nicolas Authier, qui officie au CHU de Clermont-Ferrand.

Possibilité de clarification du statut

Dan Véléa pointe aussi le flou sur la question des sanctions possibles : peut-on en faire la promotion légalement ? Quelles suites peuvent donner les forces de l’ordre à l’arrestation d’une personne en possession de HHC ? Peut-il être détecté et/ou confondu avec du cannabis classique lors d’un test salivaire ou urinaire ? Devant l’attrait suscité par cette nouvelle molécule, les autorités sanitaires travaillent à une clarification de son statut juridique.

L’Oxycodone en réalité, découvrons une des masses de sa dangerosité

Le chemsex, cette pratique qui mêle sexualité et usages de drogue, est une réalité en Occitanie. En témoigne le retour de nombreuses associations et des acteurs de santé. Pour répondre à ce phénomène et mieux organiser la prévention et la prise en charge, Montpellier va accueillir un colloque les 17 et 18 novembre prochains.

L’affaire Palmade l’a fait connaitre au grand public : le chemsex, la prise de drogue de synthèse lors de rapports sexuels est une nouvelle pratique aujourd’hui de plus en plus répandue. Selon le rapport Benyamina pour le ministère de la Santé, plus de 10% des HSH (hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes) y ont recours. 

« Le chemsex une réalité dans des régions ».

Selon Thibault Tarral, animateur du COREVIH Occitanie à Montpellier (Comité de coordination de lutte contre les infections sexuellement transmissibles), le phénomène prend de l’ampleur. Une réalité confirmée par des patients suivis en addictologie, les associations et les acteurs de terrain dans le domaine de la santé.

Le sujet mobilise en Occitanie depuis plusieurs années. Dès 2019, un rapport sur ce thème avait été réalisé à la demande de l’ARS. Mais le confinement a vu l’augmentation de cette pratique. Plusieurs rendez-vous pour mieux prévenir et prendre en charge ces pratiques sexuelles. Aujourd’hui, de nombreux acteurs s’engagent dans le suivi de cette sexualité en Occitanie.

D’abord, à travers les semaines de la santé sexuelle qui démarrent dans la région. Du 1er au 15 juin 2023, plus de 400 actions sont proposées par les acteurs de santé. Prévention, dépistages individuels autour de nouvelles pratiques, mais aussi les grossesses non désirées, les violences sexuelles ou encore les infections sexuellement transmissibles qui sont en hausse.

Ensuite, un colloque régional entièrement consacré au chemsex se tiendra à Montpellier les 17 et 18 novembre prochains. Une première sur ce nouvel enjeu de santé publique. Nous avons la preuve indéniable de toute façon, qu’il s’agit d’un problème d’État et non pas toute façon donc dépendante, tout simplement de la santé publique en France comme à l’étranger. Nous avions déjà parlé de la façon, donc du risque, de toute façon que comportait toute la consommation sous n’importe quelle forme, que ce soit de la race des opiacés et cela. De toute façon depuis 1980.

Constats qui s’imposent « La mort arrive parfois en ces domaines par ordonnances » LienLien1La destruction de la cellule familiale. Nous allons attendre de voir surgir des affaires aussi importantes que Le Médiator, ou le S.I.D.A. Pour agir. Nous sommes dans un monde où les Etats sont tous coupables mais pas responsables. Nous avions déjà désignés les racines.

Que fait l’État ? pour parer à ces morts, dont les familles ne peuvent que verser des larmes dans le cadre de leur cellule familiale avant que toute façon nous soyons tous occis par ce type de phénomène. Les drogues ne s’attaquent pas en particulier à des marginaux à une élite ou à des SDF. Elles touchent l’ensemble des populations. Là où les drogues circulent il n’y a qu’une solution. Tarir les sources par des décisions gouvernementales d’État à État. Faire voter une loi pleinement applicable sur les phénomènes d’immigrations clandestines serait un début sain, dépendre des autres institutions ou des paradis fiscaux et pire qu’une menace de mort.

Ce sont des « Crimes organisés »

Extraits partiels des ouvrages de l‘auteur « L’Ignorant » « Le Roseau et Le Ravi »

Sources divers et multiples.

Le Panda

Patrick Juan

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