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Vérité sur la France

Temps de lecture : 7 minutes

Vérité sur la France

Quinquennat, les contradictions pleuvent comme à Gravelotte. Tout va y passer en 2 quinquennats ? Revue de presse du Panda. Hôpitaux, Éducation nationale, Pouvoir d’achat, etc. Droit de la 5e République qui a vu le jour en France en 1958. Vaste foutaise de la blackbouler de la sorte, sommes-nous dans le pays où le sens de la démocratie France ne possède pas une valeur des anciens qui orne nos cimetières ? Monsieur Macron un zest d’empathie.

Il n’est pas 10 heures, ce jeudi 8 juin, quand le sang coule sur les berges du lac d’Annecy. Dans le jardin d’enfants qui jouxte le Pâquier, pelouse prisée de la préfecture de Haute-Savoie, un homme erre au milieu des cris dont il est la cause. Tenue sombre, lunettes de soleil et long bandeau bleu sur la tête, il a un couteau dans la main. La scène n’a duré que quelques minutes. Suffisant pour que quatre enfants, un Anglais, un Néerlandais, âgés de 22 mois à 3 ans, soient blessés. Hier soir, ils étaient en « état d’urgence absolue ». « Nous sommes bouleversés par cet acte inqualifiable, a déclaré la Première ministre, Elisabeth Borne. Ça touche des enfants, nous sommes tous touchés au fond de notre cœur. Le pays est sous le choc. » Mr Macron déplore une « attaque d’une lâcheté absolue ». Deux adultes ont été blessés. Enquête pour « tentatives d’assassinat » confiée à la direction centrale de la police judiciaire, déclare la procureure de Haute-Savoie, pour qui «il n’y a pas de mobile terroriste apparent ». Il faut soumettre par référendum national : Une modification de notre Constitution. Dans le cas contraire d’autres faits peut-être de la sorte se reproduiront. Lien des faits à Annecy à ce jour, « La violence à ce stade c’est l’horreur à l’extrême » Mr Macron se rend sur place c’est du respect, mais ne solutionne pas les réalités.

La décence nous oblige de vaincre par les urnes ou périr par ces violences.

Le Panda

Nous avons le sentiment d’être revenus à l’époque des Huns où lorsqu’Attila passé quelque part le dicton disait « l’herbe ne repoussera jamais » ouvrons les pages du 3e Millénaire. Constats plus que lamentables. Il suffit de faire un comparatif tabacs/France/alcools/patients/violences.

Dans la mesure où l’on oublie le passé il ne peut y avoir de présent

A l’hôpital, les conditions de travail nuisent à la santé mentale, selon une étude. Les personnels hospitaliers souffrent nettement plus de dépression et d’anxiété que les autres salariés, révèle une étude du ministère de la Santé, qui explique que cette « prévalence accrue » est « liée aux conditions de travail » dans une vaste étude, entre deux vagues de Covid.

Rendez-vous a des allures d’épilogue pour le combat contre la réforme des retraites, a convenu le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger. Faut-il en dire autant du sentiment exprimé par le député Les Républicains : Aurélien Pradié ? « Comme la grenouille qui s’habitue à l’eau chaude jusqu’à finir bouillie, on s’accoutume à une forme dégradée de la démocratie, se désole l’élu du Lot. Un dévoiement général dont on va se réveiller avec une sacrée gueule de bois. » Reprochant à Braun-Pivet d’avoir « cédé aux pressions maintes fois affirmées de l’exécutif ».

Les institutions « qui dysfonctionnent »

76 % des personnes interrogées jugeaient la démocratie française « en mauvaise santé », une moitié d’entre eux incriminant une pratique du pouvoir « trop autoritaire » et des institutions « qui dysfonctionnent ». Après la première utilisation de l’impopulaire article 49.3 de la Constitution, le 16 mars, « j’ai vu chez moi des gens venir manifester pour la première fois, et pas seulement des militants de gauche », rapporte la maire socialiste de Nantes, Johanna Rolland : « Ils venaient plus pour la question démocratique que celle des retraites. ».

Certes, depuis un an, la plupart des textes examinés par l’Assemblée ont été adoptés dans des conditions régulières. Mais depuis le 6 février, début l’examen de la réforme au Palais-Bourbon, la palette d’outils déployée par le camp présidentiel file le tournis. Choix d’un projet de loi de financement de la Sécurité sociale comme véhicule législatif – et son corollaire constitutionnel, l’article 47.1, qui limite la durée des débats à cinquante jours.

« Les Français nous en veulent énormément »

La Constitution leur permet de faire cela, ils ont contre eux le sentiment de démocratie et de ce que devrait être un débat sain », estime Arthur Delaporte.

Réforme des retraites : pour Macron, un fiasco démocratique et un échec politique

Enième épisode du passage en force sur la réforme des retraites, le blocage à l’Assemblée de la proposition de loi Liot qui proposait son retrait est un symbole de l’impasse présidentielle.

Un gâchis parmi tant d’autres qui laissera des traces, voire de graves séquelles

L’incapacité du pouvoir à convaincre de la nécessité de sa réforme des retraites et de son caractère juste. Il n’a su convaincre ni les Français ni les parlementaires. Y compris sur son postulat de départ sur les problèmes de financement du régime. Son orthodoxie libérale était à prendre ou à laisser, mais même ceux qui étaient prêts à la prendre ne l’ont pas fait. Un parfait cas d’école de l’échec du macronisme, dont l’essence même, depuis le début, est de dépasser les clivages. Il a politiquement échoué à les dépasser. La faillite parlementaire à laquelle nous assistons n’est, d’une certaine manière, que la suite logique de cette impuissance. On se remettra de cette impuissance. Des dégâts démocratiques qu’elle a occasionnés, c’est moins sûr.

Une idée germe dans l’esprit du président de la République Emmanuel Macron ? « Laissons passer l’orage de 2027 nous avons le pouvoir de revenir reprendre les reines dont la volonté de la France » ? Sur aucune terre du monde rien ne peut jamais sortir s’il n’y a pas un bon compost.

La preuve par 4 du souci addictif associé par les manques de qualité de vie

En 2022, la France compte toujours près de 12 millions de fumeurs quotidien

Ces résultats montrent qu’en 2022 plus de trois personnes sur dix déclarent fumer et un quart déclare fumer quotidiennement. Ces prévalences sont stables par rapport à 2021 et depuis 2019. Par ailleurs, les résultats concernant les facteurs associés à l’envie d’arrêter de fumer et aux tentatives d’arrêt chez les fumeurs issus du Baromètre de Santé publique France 2021 sont publiés. Ils montrent que près de 6 fumeurs quotidien sur 10 souhaitent arrêter de fumer.

Pour que le tabac ne coûte rien à l’État, le prix d’un paquet de cigarettes devrait être de : 45 euros

En effet, le tabac rapporte 16 milliards d’euros de recettes fiscales à l’État, les dépenses de santé liées au tabac s’élèvent-elles à plus de : 26 milliards d’euros par an. Soit 10 de plus! une baisse du tabagisme quotidien d’ampleur inédite entre 2016 et 2019 (de 29,4 % à 24,0 % en métropole), la prévalence s’est stabilisée depuis 2019. Le tabac reste la première cause de mortalité évitable en France 75 mille décès attribuables en 2015- 1 décès sur 8, soit 13 % des décès.

Coût social de l’alcoolisme en France ?

Le coût social de l’alcool et celui du tabac sont presque identiques. Quasiment égal à 120 milliards d’euros -environ 118 milliards pour l’alcool et 122 milliards pour le tabac-, suivi par les drogues illicites -9 milliards d’euros-. En 2022, en France métropolitaine, plus de trois personnes de 18-75 ans sur dix déclarent fumer 31,8% et un quart fumer quotidiennement 24,5 %. L’augmentation observée parmi les femmes entre 2019 et 2021 ne semble pas se poursuivre. Les hommes fument davantage que les femmes 27,4 % de tabagisme quotidien, vs 21,7 %.

Des inégalités sociales toujours très marquées

Les inégalités sociales en matière de tabagisme ont été étudiées à partir de trois indicateurs : diplôme, revenu et situation professionnelle. Les résultats montrent que : La prévalence du tabagisme reste en 2022 nettement plus élevée lorsque le niveau de diplôme est plus faible : elle varie de 30,8 % parmi les personnes n’ayant aucun diplôme ou un diplôme inférieur au Baccalauréat à 16,8 % parmi les titulaires d’un diplôme supérieur au baccalauréat.  La plus élevée parmi le tiers de la population dont les revenus sont les plus bas 33,6 %.

Parmi les 18-64 ans, la prévalence du tabagisme quotidien reste nettement plus élevée parmi les personnes au chômage 42,3 %, que parmi les actifs occupés 26,1 % ou les étudiants 19,1 %.

Les évolutions, la prévalence du tabagisme quotidien ne varie pas de façon significative selon le diplôme ou selon la situation professionnelle en 2021 et 2022, une tendance à la stabilité en 2019. L’augmentation parmi les moins diplômés observée entre 2019 et 2021 semble s’interrompre.

La mise en application du respect des frontières, aucun passe-droit. Constats qui s’imposent « La mort arrive parfois en ces domaines par ordonnances » 

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Extraits partiels des ouvrages de l‘auteur « L’Ignorant » « Le Roseau et Le Ravi » –

Sources diverses et multiples.

Le Panda

Patrick Juan

20 réflexions sur “Vérité sur la France

  • Annecy : le meurtrier avait-il vraiment le droit de séjourner en France ?

  • Le drame d’Annecy a déjà fait couler beaucoup d’encre.

    Passé les larmes, le choc et même l’admiration pour Henri, le jeune homme qui a tenté d’arrêter l’assaillant dans sa course meurtrière, restent les questions.

    Aurait-on pu éviter cette attaque ?

    Quelles en sont les causes ?

    À droite, la réponse est sans appel. « L’immigration incontrôlée tue », assume Olivier Marleix, chef de file des Républicains à l’Assemblée, sur son compte Twitter, quelques heures après l’agression.

    Éric Zemmour et Marine Le Pen partagent le même sentiment et accusent le laxisme migratoire.

    Même dans les rangs de Renaissance, le député Charles Sitzenstuhl appelle, dans les colonnes du Figaro, à « réduire l’immigration légale en France ». L’extrême gauche, elle, crie à la récupération.

    Pourtant, cette attaque est bien une conséquence de la faillite de notre politique migratoire.

  • La faillite du contrôle des frontières.

    L’agresseur présumé d’Annecy, Abdelmasih H., né en 1991, a quitté la Syrie après le déclenchement de la guerre en mars 2011.

    Selon Le Monde, cet ancien militaire de l’armée syrienne se serait d’abord rendu en Turquie, où il aurait rencontré celle qui deviendra par la suite son épouse.

    De là, le couple se serait envolé vers la Suède pour y demander l’asile en 2013.

    Ayant obtenu le statut de réfugié, Abdelmasih H. et son épouse bénéficient alors d’un titre de séjour jusqu’en 2025.

    Mais lui souhaite davantage : il veut obtenir la nationalité suédoise.

    Après avoir essuyé plusieurs refus, il quitte sa femme et sa fille de trois ans et décide de partir pour la France.

    Arrivé fin octobre 2022, il dépose une nouvelle demande d’asile auprès de l’OFPRA, enregistrée le 8 novembre 2022.

    Une demande finalement rejetée le 26 avril dernier au motif qu’il possède déjà le statut de réfugié en Suède. 

    La réponse sera notifiée au principal intéressé le 4 juin, soit quatre jours avant l’attaque.

  • Mais Abdelmasih H. avait-il le droit de voyager et de séjourner en France ?

    La réponse est non, selon François-Xavier Bellamy, interrogé sur France Info.

    Malgré son statut de réfugié et en dépit des accords de Schengen – qui permettent la liberté de circulation entre les États membres de l’UE et nous rendent donc impuissants à contrôler les frontières de nos pays -, l’assaillant n’avait pas l’autorisation de séjourner depuis plusieurs mois en toute liberté en France. 

    « Un refugié ne peut quitter son pays d’accueil et circuler dans d’autres pays européens que pour deux raisons très strictes : le regroupement familial et la demande d’un emploi », explique l’eurodéputé.

    Ces deux conditions n’étaient manifestement pas remplies dans le cas d’Abdelmasih H.

  • Pour voyager au sein des États membres, l’assaillant devait au préalable demander à la Suède un titre de voyage pour réfugiés (TVR).

    L’a-t-il fait ? Nous ne le savons pas encore. Quand bien même il aurait obtenu ce titre, il n’était autorisé à rester de façon continue que trois mois sur le sol français.

    Autrement dit, arrivé fin octobre, il aurait dû quitter le territoire national fin janvier.

    Abdelmasih H. n’aurait donc pas dû se trouver en France au mois de juin… à moins qu’il n’ait effectué plusieurs allers-retours sur cette période.

    Une première faille.

  • Deuxième faille, les délais de traitement de la demande d’asile de l’assaillant.

    Déposée en novembre et rejetée fin avril, cette demande d’asile paraissait irrecevable dès le début. Abdelmasih H. venait de Suède – où il avait obtenu un titre de protection – et non de Syrie.

    Il n’était donc pas en danger.

    Son dossier aurait donc pu – en apparence – bénéficier de la procédure accélérée de l’OFPRA (15 jours) dès le mois de novembre.

  • Détournement du droit d’asile.

    À ces premières interrogations qui révèlent les faillites de notre modèle migratoire et de nos capacités de contrôle s’ajoute le problème du dévoiement du droit d’asile.

    Troisième faille. Comme le note Olivier Marleix, après avoir dépassé la barre du million de demandes d’asile en 2015 et 2016, les pays de l’Union européenne stabilisent ces chiffres, aujourd’hui, autour de 900.000 demandes chaque année.

    Une situation « hors de contrôle », selon le député.

    La demande d’asile est devenue une filière d’immigration comme une autre qui permet à de nombreux migrants de s’établir définitivement dans un pays membre de l’UE malgré le rejet de leur requête.

  • Que l’assaillant ait obtenu son statut de réfugié en Suède n’a rien d’étonnant.

    En vingt ans, dans ce royaume longtemps préservé de l’immigration, la part de la population non occidentale est passée de 2 % à 15 %, souligne la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) dans un rapport.

    La Suède est même aujourd’hui en tête des pays d’Europe occidentale qui acceptent le plus de demandeurs d’asile par habitant.

    Au nom de la générosité et de l’accueil de la différence, le pays a dépensé des millions pour intégrer ces populations exogènes.

    Et alors que pendant des années la Suède brandissait la France et les émeutes de 2005 comme contre-modèle de l’intégration, le pays se retrouve aujourd’hui empêtré dans un échec d’intégration et une hausse de la criminalité, note la Fondapol.

    En Suède comme en France, les mêmes causes produisent les mêmes effets.

    Il existe d’autres modèles.

    En Europe, le Danemark ou le Portugal, par exemple, ont su se mettre à l’abri de la déferlante migratoire.

  • Cette attaque sur des enfants doit servir de leçon aux pays européens.

    Déjà, les Républicains réitèrent leur proposition de voir les demandes d’asile traitées hors de l’Union européenne.

    Une idée plaidée sans relâche par les conservateurs anglais, notamment le Premier ministre Rishi Sunak, qui souhaite diriger vers le Rwanda les migrants et demandeurs d’asile souhaitant se rendre au Royaume-Uni.

    Le drame d’Annecy secoue les consciences.

  • Une attaque au couteau a été perpétrée à Annecy, dans la matinée du jeudi 8 juin 2023.

    Six personnes, dont quatre enfants, ont été prises pour cible dans le parc du Pâquier qui borde de lac d’Annecy (Haute-Savoie).

    « Tous les enfants blessés ont été opérés » et sont désormais dans un état « stable » selon la Première ministre Elisabeth Borne.

    Ces jeunes victimes ont entre 22 mois et 3 ans.

    Les deux dernières victimes sont des adultes, dont un homme gravement blessé par arme blanche et par balle est âgé de 70 ans.

    Emmanuel Macron et son épouse ont rendu visite aux enfants blessés et hospitalisés à Grenoble, vendredi matin.

    Le couple présidentiel a également rencontré l’homme de 70 ans à l’hôpital d’Annecy.

    Le déplacement du président s’est poursuivi avec la rencontre du civil au sac à dos, Henri, qui a tenté d’empêcher les attaques de l’assaillant.

    L’auteur présumé de l’attaque, Abdalmasih H, a été interpellé et se trouve en garde à vue, ce vendredi.

    Selon les premiers éléments, l’homme est un Syrien de 31 ans disposant du statut de réfugié en Suède.

    Une enquête pour tentative d’assassinat a été ouverte et confiée à direction centrale de la police judiciaire.

    Les motivations de l’auteur sont encore mystérieuses, mais aucun mobile terroriste apparent » n’a été mis en évidence pour l’heure.

    La situation administrative de l’auteur est une piste possible.

  • 23:49 – Le suspect n’a toujours pas été interrogé.

    [Fin du direct] Ce samedi, le suspect va être déféré, selon franceinfo, qui cite une source proche de l’enquête.

    Son audition avec les enquêteurs n’a pas eu lieu en raison de son état.

    L’assaillant est resté physiquement à distance des enquêteurs et même du psychiatre qui a eu du mal à l’approcher.

    Il n’a fourni aucune explication sur l’attaque menée dans un parc à Annecy.

  • Une semaine après que son nouveau directeur délégué, Bernard Véhent a été remercié, un conseil de surveillance extraordinaire de l’hôpital de Saint-Flour a été réuni, mercredi.

    Et il a entériné ce qui était dans l’air du temps depuis quelques jours : l’établissement va quitter la direction commune à laquelle il participait avec les hôpitaux d’Aurillac, Mauriac et Chaudes-Aigues.

    Une prise d’indépendance.

    Si les mouvements sociaux ne sont pas rares, les crises de gouvernance ouvertes le sont plus dans les hôpitaux.

    Dans le Cantal, il en a été longtemps ainsi, même au plus fort de la crise Covid.

  • Un médicament contre le diabète pour réduire le risque de Covid long ?

    Un médicament contre le diabète, à la fois bon marché et largement disponible, réduirait de 40 % le risque de contracter un Covid long après avoir été testé positif au Covid, selon une étude (en anglais) publiée dans la revue Lancet et parue vendredi 9 juin.

    Cette découverte pourrait faire date dans la lutte contre cette maladie, encore mystérieuse et qui, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), affecte une personne sur 10 qui contracte le Covid

  • La garde à vue du suspect de l’attaque au couteau qui a fait 6 blessés graves dont 4 enfants doit prendre fin ce samedi.

    Ses motivations ne présentent pas de « mobile terroriste apparent ».

  • Le suspect devant le juge des libertés et de la détention.

    Le suspect de l’attaque au couteau est devant le juge des libertés et de la détention, ce samedi à la mi-journée, a appris BFMTV de source judiciaire, alors que sa garde à vue s’achève.

    Une fois la décision du juge prise, la procureure de la République d’Annecy fera un point sur l’enquête lors d’une conférence de presse.

    Cette dernière, attendue à 12h, va donc débuter avec un peu de retard.

  • Fleurs, peluches… Les habitants continuent de se recueillir sur les lieux du drame.

    Fleurs, petits mots, peluches, ballons en forme de coeur… De nombreux cadeaux ont été déposés dans le parc d’Annecy où une attaque au couteau a fait 6 blessés jeudi.

    Les habitants des environs et touristes continuent de venir ce samedi matin sur les lieux du drame se recueillir et rendre hommage aux victimes.

    « Ça fait des frissons, ça touche », confie une riveraine.

    « Je suis venu avec les enfants pour leur expliquer, c’est important qu’ils sachent », assure de son côté un père de famille.

  • Un rassemblement prévu dimanche matin à Annecy.

    Un rassemblement est prévu à l’initiative de la mairie dimanche à partir de 11 heures à Annecy en hommage aux six personnes blessées à l’arme blanche jeudi.

    « On a lancé un appel à toute la France », explique Alexandre Mulatier-Gachet, premier adjoint à la mairie d’Annecy, disant espérer qu’un « maximum de personnes » seront présentes.

    « Il y aura un mot du maire qui va rappeler cette solidarité, cette fraternité avec tous les élus de la ville d’Annecy, indique-t-il.

    Des activités sont prévues, dont la création d’une fresque.

    Une chanteuse doit également interpréter un morceau.

  • Comment en parler aux enfants? Les conseils de psychologues.

    Depuis ce jeudi, un récit d’une extrême violence circule sur nos écrans et dans les cours de récréation: celui de l’attaque qui a grièvement blessé quatre enfants en bas âge et deux autres personnes dans un parc à proximité du lac d’Annecy.

    Comment donc informer et rassurer les plus jeunes face à ces évènements?

    Les experts interrogés insistent sur l’importance de ne pas reculer devant leurs questionnements.

    Une praticienne conseille avant toute chose d’écouter son enfant, afin d' »établir ce qu’on appelle une « enveloppe contenante » pour l’enfant, c’est-à-dire « un lieu d’accueil psychique de ses affects et de sa parole ».

  • 2 jours après Annecy, un migrant algérien s’introduit dans une école maternelle à #Lille et étrangle un policier après son arrestation : que vont faire Macron et Darmanin ?

    Déplorer ?

    Regretter ?

    Attendre un autre drame ?

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    Gilbert Collard
     
    @GilbertCollard
    ·
    21 min
     
    Aymeric #Caron, député LFI, préconise la régularisation des #clandestins : il habite où ce snob encorné ?

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