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« Revue de Presse des Voix du Panda France et Monde »

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« Revue de Presse des Voix du Panda France et Monde »

À ne pas en douter Les Français sont ingérables car bien trop difficile à leur faire comprendre le bon sens de ce que comporte la gestion d’un pays. À savoir que la France n’est pas une poubelle, mais on peut constater à l’évidence que quels que soient les supports audiovisuels qui existent en France ils sont tous plus contradictoires les uns que les autres.

Les gaulois sont des personnes capricieuses, tout est sujet à contestation sans avoir à proposer quoi que ce soit en contrepartie. Nous en avons un exemple flagrant sur le seul forum où site équivalent à celui des Voix du Panda mais cela va de soi avec beaucoup plus l’embrouilleur que le site à l’effigie du panda n’a jamais possédé.

Les réseaux sociaux ont pourri la France, certaines chaînes de télévision ferait bien de se passer de certains animateurs qui mettent plus grand séisme que ce que notre société mérite. On peut effectivement contester le fait que les figurines des jeux olympiques de 2024 en France soit fabriqué en Chine. Il en va de même pour les produits pharmaceutiques dont les plus simples ne se trouvent même plus dans les officines. La déchéance des hôpitaux et surtout le manque de professionnels dans le service de la pédiatrie enfantine cause des séquelles énormes, à quel moment réussirons-nous à nous faire entendre.

Cela est devenu presque un jeu de mettre face à face les contradictions qui sont prêtes à tomber de l’arbre où depuis 40 années La France à soldé le meilleur de ses capacités.

Afin d’en avoir les preuves les plus flagrantes, nous effectuons une revue de presse ou comme vous aurez l’occasion de le constater chacun se tire dans les pattes en perdant le respect de l’autre. À un moment donné ou à un autre il faudra pourtant bien faire le point, celui du non-retour où prendre la décision d’aller vers un avenir bien plus certain. Assez de chimères inutiles ce n’est pas de cette façon-là et avec ces procédés que nous pourrons voir tout simplement l’entrée d’un peu de paix dans un monde de fou.

« La France ventre mou de l’Europe »

Immigration : Élisabeth Borne veut davantage de « coopération » avec les ONG

La Première ministre a souhaité « la reprise des travaux sur les relations avec les ONG impliquées dans le secours en mer en Méditerranée », que la droite et l’extrême droite considère comme « complices » des passeurs.

« Humanité et fermeté » dixit Borne

Elle a aussi souhaité agir sur « la prévention des départs irréguliers en provenance d’Afrique du Nord », qui « passe par un renforcement des capacités maritimes des pays de départ et une plus grande efficacité collective en matière de réadmission des migrants en situation irrégulière ».

La Première ministre, qui était interrogée par le président du groupe Union centriste Hervé Marseille, a également souligné la « nécessité d’avancer au plus vite sur la finalisation du pacte européen pour l’asile et l’immigration », et demandé au niveau européen la réunion d’un « conseil extraordinaire des ministres de l’Intérieur ».

Le candidat à la présidence du parti Les Républicains (LR) a estimé que cela pouvait servir de « leçon » pour montrer aux Français « ce qui se pratique en réalité chaque jour » dans le pays. « C’est un fiasco politique. On laisse entrer un bateau, ce qui signifie qu’on donne un signal au monde entier, notamment aux passeurs, que la France est le ventre mou de l’Europe », a lâché Bruno Retailleau face à la journaliste Laurence Ferrari.

Macron, un « progressiste » qui veut « effacer les frontières »

Ouvrir son port à l’Océan Viking démontre également un « fiasco total sur le plan juridique, sur le plan de la surveillance », a jugé le sénateur vendéen sur CNews. « Je pense qu’Emmanuel Macron ne veut pas reprendre en main (l’immigration) parce qu’il est progressiste dans sa tête. Il pense qu’il faut effacer les frontières, c’est vraiment son idéologie », a-t-il insisté.

Bruno Retailleau a ensuite fait part de ses idées pour éviter à nouveau une telle situation. Il en a cité deux. D’abord, il faut selon lui « arrêter les pompes aspirantes » vers le pays. « La France est le pays européen qui présente le plus d’avantages sur le droit d’asile, sur l’accès aux soins pour les clandestins, et aussi sur le regroupement familial », a rappelé le sénateur LR. Avant d’affirmer qu’il faudra lancer à l’avenir « un grand référendum pour que ce soit aux Français de décider quelle politique migratoire ils souhaitent ».

Trois ONG de sauvetage en mer accusées de complicité avec les passeurs criminels

Une longue enquête italienne accuse des responsables de Save the Children, Médecins sans frontières et Jugend Rettet d’avoir facilité le trafic de migrants, notamment en communiquant avec les trafiquants.

Nous sommes le 26 juin 2017, à quelques dizaines de milles nautiques des côtes libyennes. Il est 6h19 lorsqu’un hors-bord s’approche du Vos Hestia, un navire affrété par Save the Children pour sauver des vies en mer. Les trois hommes à bord, membres de la milice libyenne Dabbashi spécialisée dans le trafic de migrants, échangent quelques mots avec les représentants de l’ONG. Ils annoncent l’arrivée imminente d’un bateau chargé de plus de 500 migrants. Puis ils disparaissent à l’horizon.

Quelques minutes plus tard, un navire apparaît en effet, hérissé de silhouettes humaines, escorté par deux embarcations conduites par des passeurs. Au centre, un homme barbu dirige la manœuvre. Il défait sa ceinture et se met à frapper les migrants pour les forcer à rester tranquilles le temps de monter à bord du bateau de sauvetage.

Les employés de Save the Children assistent à la scène, impassibles. L’homme violent prend ensuite place à bord du Vos Hestia. A son arrivée dans le port italien de Reggio de Calabre, trois jours plus tard, il disparaîtra sans laisser de traces.

Des vidéos retrouvées

Ces scènes sont issues des vidéos retrouvées par la police italienne dans des ordinateurs et des téléphones saisis lors de la perquisition du Vos Hestia, en octobre de cette année-là. S’y ajoutent celles d’un officier de police infiltré s’étant fait passer pour un sauveteur parmi les équipes de Save the children.

Son rapport, lesté de centaines de messages et d’écoutes téléphoniques, a forgé la conviction des autorités italiennes : les ONG Save the Children, avec le bateau Vos Hestia, Médecins sans frontières avec le Vos Prudence et Jugend Rettet, avec le Iuventa, auraient étroitement collaboré avec les trafiquants d’êtres humains libyens et facilité ainsi l’immigration clandestine en Italie.

21 personnes accusées

Le Temps a pu consulter les 651 pages de cette enquête du juge Maurizio Agnello à Trapani. Il accuse 21 personnes – membres des équipages et responsables d’ONG confondus. Italiens pour moitié, les autres étant allemands, espagnols, français, belges et britanniques. Ils encourent des peines de 4 mois à 20 ans de prison. Ces prévenus ont reçu les conclusions des enquêteurs le 2 mars 2021 et ont vingt jours pour communiquer leur réponse au procureur, qui rédigera ensuite l’acte d’accusation.

Selon ce document, touffu, les organisations de sauvetage auraient développé des relations de proximité avec les trafiquants afin d’être avertis des départs de bateaux transportant des migrants et d’être ainsi les premiers sur place. Les trois ONG auraient agi de concert et « contourné le système de secours mis en place par les autorités italiennes ».

Le droit maritime veut en effet qu’un navire qui croise ou aperçoit une embarcation en détresse avertisse le centre de coordination des opérations de sauvetage (MRCC) à Rome, lequel lui donne alors mission de porter secours. Or selon l’enquête, les bateaux des ONG auraient été en possession de la localisation des embarcations de migrants, grâce aux passeurs. Ils pouvaient ainsi se placer au bon endroit, à proximité des eaux territoriales libyennes, et se voir systématiquement confier les opérations de sauvetage.

Les opérations de secours, comme celle menée par l’Ocean Viking, sont accusées par l’agence européenne de contrôle aux frontières Frontex d’« influencer la planification» des réseaux d’immigration clandestine. Les associations, elles, réfutent toute collusion.

Ocean Viking, Rise Above, Géo Barents, Mare Jonio, Sea Watch 3, Open Arms Uno et tant d’autres bateaux ambulances… La flotte des ONG pour secourir les migrants en Méditerranée n’a jamais été aussi étoffée. La moitié est liée à des ONG allemandes. Ces navires sont une bonne douzaine à se répartir les interventions en mer, épousant le rythme effréné imprimé par les réseaux du crime organisé qui s’enrichissent sur la détresse humaine en mettant à l’eau, principalement depuis les côtes libyennes, des embarcations surchargées d’exilés. Avec, en toile de fond, cette question lancinante dans les pays d’accueil : les humanitaires sont-ils, sans le vouloir, les garants d’un système qui ne fonctionnerait pas aussi bien sans eux ?

Ils s’en défendent avec la plus vive énergie, réfutant toute collusion et mettant en avant le drame de ces milliers de déracinés noyés ou disparus, comme le 22 avril 2021, où l’Ocean Viking a repêché 130 corps après le naufrage d’un bateau pneumatique.

Après le fiasco politique et judiciaire pour donner suite à la décision d’E. Macron d’accueillir l’Ocean Viking, les macronistes en rajoutent au Parlement européen en montrant leur complaisance avec les ONG complices des passeurs.

Ils font en effet partie des 452 eurodéputés ayant voté contre mon amendement demandant que l’Union européenne ne finance pas les ONG facilitant l’immigration illégale par terre ou par mer. Des ONG armant aujourd’hui des bateaux-taxis de clandestins directement depuis les côtes nord-africaines. Des ONG parfois subventionnées par la Commission européenne, certains États et des collectivités territoriales comme la ville de Paris.

Pendant qu’ils veulent accueillir et répartir les migrants partout en France et en Europe, nous voulons stopper les pompes aspirantes de l’immigration illégale, secourir ceux en véritable détresse et les reconduire chez eux !

Le Panda

Patrick Juan

20 réflexions sur “« Revue de Presse des Voix du Panda France et Monde »

  • Les tarifs des péages des principaux réseaux autoroutiers vont augmenter de 4,75% en moyenne le 1er février 2023.
     
    Les tarifs des péages des principaux réseaux autoroutiers vont augmenter de 4,75% en moyenne le 1er février 2023, après +2% cette année, a annoncé vendredi le ministère des Transports.

    Cette hausse annuelle, inférieure à l’inflation, s’accompagnera d’une augmentation – de 30 à 40% – de la ristourne accordée aux automobilistes faisant au moins dix allers-retours par mois sur le même itinéraires et d’une réduction de 5% pendant un an pour les véhicules électriques sur les réseaux Sanef et APRR.

  • Cette nouvelle injection est fortement recommandée par les autorités sanitaires si vous êtes au contact fréquent de personnes âgées ou assujetties à des comorbidités.
     
    Une nouvelle dose de vaccin, mais pour qui? Alors que les chiffres du Covid-19 repartent à la hausse ces derniers jours, le taux d’incidence atteignant désormais 454 cas pour 100.000 habitants, soit une hausse de 38% en l’espace d’une semaine selon les ultimes données de Santé publique France, la campagne de vaccination contre le coronavirus se poursuit.

    Le 3 octobre passé, une nouvelle campagne de rappel avec des nouveaux vaccins « bivalents » avait été lancée par les autorités sanitaires, mais avec des contours assez mal définis. Si les personnes fragiles et celles de 60 ans et plus restent le public cible, cette nouvelle injection est en réalité ouverte à un public bien plus élargi et jeune.

  • Public élargi
    Dans une circulaire de la Direction générale de la Santé datée du 21 novembre dernier que BFMTV a pu consulter, qui est adressée aux professionnels de la santé, il est indiqué que les « personnes vivant dans l’entourage ou en contact régulier avec des personnes immunodéprimées ou vulnérables » sont également éligibles.

    Aucun critère d’âge n’y est avancé.

    « Une personne jeune, sans comorbidité, qui voit régulièrement des proches dans la cible est donc éligible », apprend-on encore.

    Auprès de BFMTV, le professeur Daniel Floret, vice-président de la Commission Technique des Vaccinations à la HAS, livre plusieurs exemples concrets d’individus potentiellement concernés.

    « D’abord les personnes qui vivent sous le même toit. Si vous avez un enfant qui est soigné pour une leucémie, qui est immunodéprimé, vous devez vous vacciner pour le protéger. Également les gens qui ont des contacts répétés et prolongés avec ces personnes même s’ils ne vivent pas sous le même toit », martèle-t-il.

  • Seul problème, malgré le document officiel signé par le directeur général de la santé en personne, le professeur Jérôme Salomon, les professionnels de la santé eux-mêmes ne semblent pas au courant de ces évolutions.

    Auprès de BFMTV, Frédéric Desmoulins, pharmacien à Paris, avoue son ignorance à ce sujet.

    « On ne savait pas que les moins de 60 ans étaient autorisés à avoir une dose. Maintenant on est au courant, on va l’effectuer bien évidemment pour les personnes à risques et qui ont un entourage à risque », assure-t-il.

  • Les autorités incitent
    À date, le ministère de la Santé informe, auprès de BFMTV, qu’1,8 millions de Français ont reçu une dose de vaccin bivalent depuis le 3 octobre dernier, un chiffre qui monte à 2 millions pour les injections de rappel en général.

    Par tranche d’âge, 9,4% des 80 ans et plus ont reçu une dose de vaccins bivalents, ainsi que 7,2% des 60-79 ans.

    Selon le ministère, seuls 21% des 80 ans et plus et 37% des 60-79 ans sont aujourd’hui « suffisamment protégés par le vaccin ou une précédente infection ».

    Pour l’heure, le ministère n’a pas évoqué de réouverture de centres de vaccination, expliquant que 95% des Français a une offre de proximité, la campagne se déroule en ville principalement.

    En parallèle, 140.000 courriers en train d’être envoyés aux personnes immunodéprimées par l’assurance maladie.

  • Invité sur l’antenne de BFMTV ce jeudi, le porte-parole du gouvernement et ancien ministre de la Santé, Olivier Véran, déplorait que « seuls 20% » des Français malades ou à risques soient à jour dans leur vaccination.

    « Je m’adresse aux Français: si vous avez 60 ans et plus, si vous êtes porteur de maladie ou si vous êtes en contact au quotidien avec des gens fragiles ou âgés, faites-vous vacciner contre la Covid si vous n’êtes pas à jour de votre rappel », a-t-il déclaré, rappelant que cela « vous prend cinq minutes. »

  • Ce vendredi 2 décembre 2022, une grève des contrôleurs contraint la direction de la SNCF à supprimer 60% des TGV et des Intercités et ce jusqu’à dimanche inclus. Les trains internationaux sont impactés dans une moindre mesure. Consulter les perturbations détaillées.

    Grève SNCF : les perturbations
    Perturbations TGV
    Perturbations Intercités
    Perturbations à l’international
    Perturbations TER
    Perturbations RER
    Perturbations Transilien
    Grève SNCF du 2 au 4 décembre
    Grève SNCF à Noël ?
    Info trafic numéro de train
    Prévisions du trafic SNCF
    [Mis à jour le 2 décembre 2022 à 12h35] En ce premier week-end du mois de décembre 2022, une grève des contrôleurs de la SNCF impacte durement la circulation des grandes lignes en France.

    Les TGV, Ouigo, Intercités et les trains internationaux sont concernés par des perturbations à hauteur de trois trains sur quatre sur tous les axes cités.

    Selon la direction de la SNCF, les voyageurs dont le train est annulé ont déjà été prévenus par mail ou par SMS, à partir du moment où ils ont laissé leur coordonnées en effectuant leur réservation.

    Ils pourront aussi bénéficier d’un remboursement complet du billet ou d’un échange sans frais dans tous les trains dans lesquels il reste de la place jusqu’au jeudi 8 décembre inclus. Découvrez les perturbations dans le détail ci-dessous.

  • Pour quelles raisons les contrôleurs de la SNCF sont en grève depuis ce vendredi 2 décembre ?

    Les contrôleurs demandent l’augmentation des salaires, une amélioration du déroulé des carrières et une plus grande reconnaissance des spécificités de la fonction. Fabien Villedieu, délégué syndical Sud Rail, invité sur Europe 1 jeudi 1er décembre, a dénoncé les conditions d’emploi à la SNCF, où les démissions augmentent.

    « Si la soupe est si bonne, les gens ne partiraient pas », a-t-il fustigé. Alors qu’ils pratiquent un métier pénible, ils sont pourtant la vitrine de la SNCF auprès des voyageurs.

  • Une grève SNCF est-elle possible à Noël ?

    Cette grève des contrôleurs intervient juste avant les prochaines négociations annuelles obligatoires (NAO) du 7 décembre 2022.

    Si les syndicats SUD Rail, Unsa et CFDT n’obtiennent pas satisfaction lors des négociations, ils menacent déjà de faire grève le 7 décembre, mais aussi pendant les fêtes. 

    « Les chefs de bord ont d’ores et déjà déposé des préavis de grève pour les week-ends de Noël et du Jour de l’an », a révélé Le Figaro.

    « La balle est dans le camp de la direction », a annoncé Thomas Cavel, secrétaire général de la CFDT Cheminots. Selon les informations de BFM Business, les préavis de grève portent sur les dates suivantes : du vendredi 23 décembre au lundi 26 décembre à 8h, et du vendredi 30 décembre au lundi 2 janvier 2023 à 8h.

  • Comment savoir si mon train est en grève ?

    Les voyageurs des TGV et Intercités annulés ont déjà reçu l’information via un e-mail ou un SMS. En revanche, les usagers des TER sans correspondance ne reçoivent pas de SMS.

    Il convient de vérifier l’information en renseignant son numéro de train sur le site de la SNCF.

  • Crise à l’hôpital : les Français très sévères sur l’action du gouvernement –

    Plus de 8 Français sur 10 estiment que l’exécutif n’en fait pas assez, dans un contexte où les signaux rouges s’accumulent.

  • Urgences saturées, pénuries en tout genre, soignants à bout, manque de moyens…

    La crise à l’hôpital ne cesse de faire la une de l’actualité, d’autant plus dans un contexte de crainte d’une neuvième vague de Covid-19 et d’une épidémie de bronchiolites qui affole les personnels de santé.

  • Mardi, ce sont les psychiatres hospitaliers qui se sont mis en grève pour dénoncer le « délabrement » de leur secteur, en dépit des Assises de la psychiatrie dont les résultats sont jugés largement en deçà des attentes de la discipline.

    Et ce mercredi 30 novembre, dans Le Monde, pas moins de 10 000 soignants ont dénoncé dans une tribune le « silence assourdissant » d’Emmanuel Macron sur la crise de la pédiatrie.

    Un texte coup de poing dans lequel ils déplorent que la mortalité infantile est « désormais en hausse en France » et appellent à ce que soit reconnue « la responsabilité de l’État dans la crise sanitaire majeure que nous vivons ».

  • 82 % des Français pensent que le gouvernement n’en fait pas assez.

    La responsabilité de la situation, les Français savent bien à qui l’attribuer. Dans un sondage réalisé par YouGov pour Le HuffPost, plus de 8 Français sur 10 (82 %) jugent que le gouvernement n’en fait pas assez pour l’hôpital.

  • Un constat partagé par l’ensemble du spectre politique, puisque même les électeurs macronistes jugent à 53 % que l’action gouvernementale est insuffisante en la matière.

    Ce sentiment est partagé à 88 % par les sympathisants de la NUPES et du RN, et 83 % chez Les Républicains.

    Preuve que le diagnostic dépasse les clivages.

    Un résultat en forme de désaveu pour l’exécutif, qui n’a pas réussi à endiguer les difficultés de l’hôpital, malgré le Ségur de la Santé, qui s’est tenu au sortir du plus gros de la crise sanitaire, entre les mois de mai à juin 2020.

    Il y a quelques jours, le ministre de la Santé François Braun avait annoncé une rallonge de 543 millions d’euros pour l’hôpital, après plusieurs enveloppes du genre dégainées au coup par coup.

    Des efforts budgétaires consentis dans l’urgence et qui ne répondent, à ce stade, ni aux attentes des soignants ni à celles des Français sur la crise que traverse le monde hospitalier.

  • La ministre des Collectivités territoriales a annoncé sa démission cette semaine du gouvernement après avoir été mise en cause par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. Elle est suspectée d’avoir sous-évalué sa déclaration de patrimoine.
     
    Nouveau chapitre dans la démission de Caroline Cayeux. La Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) a saisi la justice à propos de la déclaration de patrimoine de l’ancienne ministre, celle-ci suspectant une « évaluation mensongère » et une « fraude fiscale ».

    L’ex-ministre aux Collectivités territoriales, qui a précipitamment quitté le gouvernement cette semaine, est suspectée d’avoir sous-évalué sa déclaration de patrimoine.

  • La HATVP explique qu' »à l’issue du contrôle approfondi des déclarations de Madame Caroline Cayeux […] la HATVP a décidé d’informer le procureur de la République de faits susceptibles de caractériser des infractions pénales ».

    Relevant « d’importantes minorations de la valeur de ses biens », la HATVP évalue celles-ci à 3,9 millions pour la résidence principale de la ministre et une maison en Ille-et-Vilaine, « soit une minoration d’environ la moitié de la veleur globale de ces deux biens ».

    Caroline Cayeux a estimé que la HATVP « persiste à mettre en doute (s)a sincérité » alors qu’elle affirme avoir « tenu compte de ses dernières observations » et s’être « alignée sur ses évaluations ».

    De son côté la HATVP estime que le dépôt de déclarations modificatives par Caroline Cayeux « ne fait pas pour autant disparaître cette infraction » d’évaluation mensongère de son patrimoine.

  • La HATVP note enfin que ces manquements « sont aussi susceptibles de constituer l’infrction de fraude fiscale » a par conséquent également signalé ces faits au procureur de la République.

  • Menaces de mort au CHU à Clermont-Ferrand
    Les policiers ont dû intervenir mercredi 30 novembre, au CHU Gabriel-Montpied alors qu’un homme avait pris à partie des pompiers qui l’y avaient conduit.

    Il les aurait insultés, menacé de mort et se serait montré violent avec eux. À l’arrivée des policiers, la situation ne s’est pas calmée.

    Il se serait rebellé contre les forces de l’ordre lors de son interpellation.

    Placé en garde à vue au commissariat, ce jeune homme âgé de 23 ans est convoqué devant le tribunal correctionnel dans le cadre d’une comparution immédiate à délai différé.

    Trois policiers et deux sapeurs-pompiers ont déposé plainte contre lui.

  • Le premier sérieux épisode hivernal arrive dans le Puy-de-Dôme. Météo-France place le département du Puy-de-Dôme au niveau de vigilance jaune pour le risque « neige-verglas », ce samedi 3 décembre, de minuit à 13 heures. 

    Le Puy-de-Dôme passera en niveau de vigilance jaune pour le risque « neige-verglas » cette nuit. Météo-France relève son seuil d’alerte à partir de minuit, et le maintient  jusqu’à midi ce samedi 3 décembre.

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