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Le Flux et le Reflux

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Le Flux et le Reflux

Le contexte des migrants pour l’ensemble de l’Occident est quasiment « Insolutionnable »

La France pas plus que les autres nations ne peuvent s’appuyer sur aucun texte de Loi. Vous aurez compris que le problème des migrants, ni vous, ni aucun gouvernement en Europe ne peut le régler. Sauf en les noyant ou à vouloir jouer aux kamikazes. Vous le verrez et vous aurez froid aux fesses, alors achetez des moufles. Les « Mascottes des J.O. de 2024 » fabriquées en Chine. Cela dépend des éminents spécialistes dirigeant la France.

Quelle loi pour les migrants ?

Il n’y a aucun texte législatif en dehors de celui voté lors du 1er quinquennat Macron en 2018. Qui est impossible à appliquer. Contester nullement, si nous ne dépendions pas du l’U.E. et de la législation maritime internationale, alors là, oui il y aurait peut-être des solutions. En ces moments il n’y en a pas. La seule solution serait de faire voter les diverses nations : « Par référendum point ». Donc, il existerait un texte passible d’être inscrit dans La Constitution. La loi du 10 septembre 2018 pour une immigration maîtrisée, un droit d’asile effectif et une intégration réussie, communément appelée , « loi asile et immigration » est une loi française adoptée par le Parlement le 1er août 2018 et promulguée le 10 septembre 2018. 

Le gouvernement, poursuit des objectifs inamendables : La réduction des délais d’instruction de la demande d’asile. Le renforcement de la lutte contre l’immigration irrégulière. L’amélioration de l’accueil des étrangers admis au séjour pour leurs compétences et leurs talents.

« Principales mesures »

Auditionné par les députés sur le projet de loi, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb expliqua que certaines régions françaises seraient « en train de se déconstruire parce qu’elles sont submergées par des flux de demandeurs d’asile. Si nous restons sans réaction, ce sont quelques centaines de milliers de personnes qu’il nous faudrait accueillir chaque année en France. Peut-on penser que nous pourrions construire chaque année une ville de taille moyenne pour accueillir ces réfugiés ? »

Le projet contient plusieurs mesures restrictives qui lui valent d’être critiqué par le Défenseur des droits, Jacques Toubon, et par la Contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Adeline Hazan : réduction des délais impartis pour déposer un dossier de demande d’asile ou exercer un recours contentieux contre une décision de rejet, allongement de la durée maximale en centre de rétention- fixé à 90 jours par les députés contre 135 dans le projet de loi et 45 dans la législation précédente, etc.

Le projet de loi vise à accélérer l’étude des demandes d’asile, à faciliter l’expulsion des personnes déboutées. Il maintient le placement en centre de rétention des mineurs, alors que les parents sont expulsables. Il ouvre aussi la possibilité pour les demandeurs d’asile de travailler dès six mois après le début de leurs démarches, disposition issue du rapport du député LRM Aurélien Taché sur l’intégration des immigrés en France. Des procédures d’application encore plus strictes sont en préparation par voies de décret, notamment la Guyane-département confronté à une forte immigration irrégulière venue d’Haïti- où le demandeur n’a que 7 jours pour déposer un dossier complet en personne devant la délégation de l’OFPRA.

Vive le G 20 et tous Ceux qui achèteront des mascottes des J.O en France. Premier objectif de l’Union européenne ? Contribuer à la paix et à la sécurité, ainsi qu’au développement durable de la planète ; contribuer à la solidarité et au respect mutuel entre les peuples, au commerce libre et équitable, à l’élimination de la pauvreté et à la protection des droits de l’homme ; respecter strictement le droit international.

Quelles sont les faiblesses de l’Union européenne ?

Dénoncés pêle‑mêle : le coût trop élevé de la PAC malgré les réformes, l’absence de grands projets industriels, les faibles bénéfices pour le consommateur de la politique anticoncurrentielle, la cherté de l’euro après son introduction, la faible gestion des flux migratoires depuis Schengen, ou encore l’insécurité …Pour circuler librement dans l’espace Schengen ?

Avoir une carte de séjour – ou un visa de long séjour valable 1 an ou plus-, vous êtes autorisé à entrer et transiter sur le territoire des États Schengen, rejoindre le pays qui a délivré votre carte de séjour. Vous devez avoir un passeport en cours de validité et votre titre de séjour. Le Flux et le Reflux presque catastrophique

L’évidence frappe aux portes de la majorité des « Membres de l’Union Européenne » et y compris les pays rattachés pour commercer entre eux. Des millions de « migrants tous azimuts » sous des prétextes plus fallacieux que réels, prennent le large au péril de leur vie pour aller pour ce que l’on tente de leur faire « Croire, à savoir l’Eldorado, du social, économique et plus » La France comme la majorité des nations envahies ne peuvent rien, car le « refus pur et simple » serait « une violation des droits de l’homme » le pays des droits de l’homme entre autres ne peut s’en prendre qu’à ses propres dirigeants. Des politiques occupant des postes aussi porteurs que « les postes de milliardaires » Quelle liberté permet l’espace Schengen ? Elle représente l’un des attributs de la citoyenneté européenne. Si la libre circulation des personnes est un des principes structurants de l’Union européenne, elle a encore été renforcée à travers l’espace Schengen qui abolit les contrôles d’identité systématiques aux frontières entre ses membres.

Cela et ce qui précède au grand dam « des populations dans leurs propres racines, s’avèrent totalement faux » Bien au contraire, « Des ghettos banlieusards se sont créés » qui ces faits touchent la capitale ou les « grandes métropoles » Puis comme si cela ne suffisait point, il est fortement plausible que les nouveaux arrivants soient « parqués dans les campagnes » Est-il concevable que 71% de la population, rentre dans un refus catégorique ? Au point que cela amène, « Drogues, prostitutions, main basse sur les quartiers, que les forces de l’ordre soient caillassées, les praticiens, les personnes âgées agressées, des jeunes filles, des femmes, ne pouvant plus naviguer à leurs loisirs » la liste est loin d’être exhaustive, pour le malheur des « Uns et des autres ».

L’après-guerre, le recours à une main d’œuvre arrivant des anciennes colonies françaises favorisent le développement « ingérables » dès le départ des banlieues et la création de nouvelles cités à la périphérie de l’ensemble des villes en France. Les 30 Glorieuses, l’essor économique, social n’ont pas permis l’intégration de ces populations immigrées. Les chocs pétroliers des années 1970 met à jour un dysfonctionnement du modèle d’intégration et d’ascension sociale français. Victimes d’une politique de la Ville en échec depuis 1965. La France n’a pas réussi à relever le défi d’intégrer ses périphéries à un modèle urbain homogène et a accentué la fissure entre les populations immigrées et le reste de la population urbaine vivant avec ses propres us et coutumes depuis des siècles.

Les fausses émeutes de 2005, voulant en cela l’imitation de « 1968 un fiasco complet » au-delà d’une apparente rébellion des jeunes des cités, mettent en évidence un malaise profondément ancré dans les populations issues de l’immigration et le manque de solutions adaptées des politiques de la ville. Chômage, discrimination, ascenseur social en panne, crise identitaire, non-intégration dans un modèle scolaire français, laïque et républicain sont le lot quotidien d’une frange de la société qui, pourtant, est porteuse de l’avenir de la France. Ce n’est qu’une apparence le « mal est bien plus profond » par « des magouilles d’attributions qui rapportent à certains » Le manque de représentativité politique des populations issues de l’immigration, tant de droite comme de gauche, défi récurrent pour les Gouvernements quelle que soit leur couleur politique.

Depuis 2010, de nouvelles tentatives politiquement plus ambitieuses autour de la ville, de l’école, des transports urbains et des pôles économiques et industriels avec une vision à moyen et longs termes semblent plus prometteuses d’espoir. Les constats s’imposent, les appartements loués à « des résidents sur place » par des étrangers ayant saisi l’opportunités de circonstances d’attributions, puis se faisant régler en espèces « par de l’argent propre, dans des mains sales ». Tout en se trouvant à l’extérieur de l’hexagone.

Les violences urbaines en sont l’illustration récurrente depuis une trentaine d’années – depuis 1979 à Vaulx-en-Velin, dans la banlieue de Lyon-. Le phénomène ne touche pas que Paris et sa périphérie, mais la province et se limite aux quartiers populaires des grands ensembles construits dans les années 1970 via un besoin urgent de logements sociaux. Lors des « pseudos » émeutes de 2005, les médias titraient : soulèvement des banlieues, attribuant à des actes violents et sporadiques en réaction à ce qui était estimé des violences policières locales. Dimension disproportionnée : Les manifestations de violence se sont multipliées à l’ensemble périphérique des villes.  Le 93, en l’occurrence, des violences similaires touchaient d’autres départements. Or encore les médias, repris dans le monde entier, livrent une image d’embrasement, de chaos qui n’était pas le reflet de ce qui se passait réellement dans les communes de banlieue. Il s’avère nécessaire de s’attacher, se limiter aux faits éviter des généralisations hâtives, des conclusions erronées. Dresser une typologie du « fauteur de troubles », étudier son modus operandi ainsi que les cibles de ses violences. L’approche du côté des victimes peut également orienter toute tentative d’explication de ce phénomène et cerner la cause de la reproduction et du développement de ces violences.

Attachons-nous au théâtre des événements et à son évolution dans le temps, jusqu’à son actuelle marginalisation, avant d’en appréhender les causes et d’en évaluer les perspectives au regard des politiques de la Ville menées depuis bien plus de trente-cinq ans. Le présent travail réalisé suivant une approche chronologique, s’appuyant tant sur des travaux de chercheurs que sur des rapports administratifs émanant de la Cour des Comptes et des différents ministères concernés. A suivre…/.

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Sources les archives du Journal Le Panda, de l’ouvrage L’Ignorant, de Retour de guerres- De P. Juan

Le Panda

Patrick Juan

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