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Droit Au Savoir

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Droit Au Savoir

Il est très difficile au 3e Millénaire que cela soit en France, en Europe ou dans le restant du monde. De comprendre quel est le prix qu’il faut payer pour avoir. Le droit au savoir que les professeurs enseignent. Article dédié à Dominique Bernard, professeur tué. Ainsi qu’à tous les enseignants qui font des humains vrais avec la culture de la République France. Puis bien d’autres victimes. Par des assassins voués au fanatisme.

Samuel Paty a payé de sa vie. D’être professeur comme d’autres pourquoi ?

L’auteur se souvenant donc tout à fait au départ. De ces premières années de collèges, lycées. Que la personne dont il fut le plus amoureux élève. Était sa professeure d’histoire géo. À l’époque un professeur tout comme maintenant. Pouvez enseigner 2 disciplines sans perdre de sa superbe.

Dans la mesure où cela puisse s’expliquer. Il semble très difficile de pouvoir le comprendre. Il n’y a aucun pléonasme. Le professeur qui enseigne l’histoire peu aussi apprendre la géographie.

Il enseigne en même temps : « La laïcité. Le droit au savoir, celui du partage, celui de l’égalité, et toutes les formes d’hégémonies »

Toutes les couleurs où toutes les formes de confession qui puissent exister ont leur place par le monde. C’est cela justement, peut-être ceux que certains ne réussissent pas du tout à comprendre.

En mélangeant leur intime conviction. Avec le droit à la liberté de chacun. Un vaste dilemme subsiste donc, qui est ce qui est le plus important que chacun puisse user de sa liberté et de ses croyances, ou que non et, ou qu’au nom de ces dernières. On torture et l’on tue ? Tel au Chili.

Être et avoir envie d’assumer à tous les niveaux, tout ce que nous aimions se meurt

Peu attractive, et de reconnaissance, conditions de travail très difficiles. A l’occasion de la rentrée les causes du désintérêt pour l’un « plus beau métier du monde ». Avec celui d’être parent d’élève.

Sommes-nous en 2024 au moyen-âge ?

La porte de la liberté de l’appel droit de tuer quiconque ne partageant pas vos mêmes idées.

Les lacunes pour simplement respecter et vivre ou survivre dans une société de plus en plus attirée que par l’appât du fanatisme telles des idoles de l’Egypte avec les Dieux et demi-dieux ?

Les souvenirs se confondent à fortiori entre les odeurs de nos crayons de couleurs, de nos écoles, nos instituteurs, des aides qui étaient justifiées des professeurs de notre société qui paient parfois de leur vie entre immigrations, drogues, et la sécurité qui ne peut se comparer à la fortune des politiques des quatre points cardinaux.

La crédulité du souvenir ou tout cela n’existait pas, demeure pour certains des contes à la Prévert.

Crise plus structurelle que conjoncturelle qui porte sur le métier d’enseignant

Faisons un tour dans le Droit au savoir de 1960 à 1970 nous étions fiers et debout

 

À cette époque, mais plus proche des années 1965, à l’école primaire 30 heure de cours ! Quand on voit les parents qui se plaignent aujourd’hui pour les quelques de plus alors effectivement c’est la société qui a changée.

Quelques années plus tard. Nous n’avions plus du tout cours le samedi après-midi et le mercredi était campo au lieu du jeudi.

Les extraits qui fleurissent ce texte, venez nous rejoindre. Une journée normale…

La cloche vibre… l’instit tient sa place dans ses mains, afin de retenir l’attention de tous les élèves. Invite les enfants à garder le silence et à se mettre en rang 2 par 2 gagner la place de leur classe.

Les locaux consistaient en une ou plusieurs classes selon l’importance de la population

Quelquefois une classe suffisait car l’institutrice où l’instituteur avait la charge de l’ensemble des élèves toutes sections confondues, allant de la plus petite classe jusqu’au certificat d’études. Intérieurement, toujours le même schéma l’estrade sur laquelle se trouvait le bureau de l’enseignant avec derrière le tableau noir, les craies et la brosse de feutre.

2 tableaux noirs ornaient les murs sur 2 côtés de la salle

L’un était juste derrière l’estrade où se retrouve le grand bureau en chêne de l’instituteur et l’autre juste en face des fenêtres qui donnent sur la cour. Des craies blanches et de couleurs étaient souvent utilisés afin de souligner les choses importantes qu’ils désiraient transmettre.

Au centre de la grande salle, il y avait nos pupitres. bien souvent à la queue leu leu. Sur le dessus du pupitre lui-même une place était prévue pour les crayons, plume, porteplume. Tout à côté un emplacement était creusé pour recevoir le petit encrier qui nous servait tout au long de l’année. la carte de France avec les départements que l’on connaissait par cœur les régions, et l’atlas mondial, l’anatomie du corps humain et quelquefois parfois dans un coin on pouvait voir un herbier ou encore un squelette reconstitué tout ce que l’on jugeait nécessaire à une bonne instruction…Autre élément incontournable : le poêle à bois et charbon qui trônait là, bien en vue avec son tuyau spiralé traversant parfois toute la pièce pour arriver au trou

Le dire bonjour, se mettre en rang par 2, subir l’inspection des cheveux à cause des poux également pour la propreté des mains. Franchir la porte de la classe sans précipitation ensuite gagner sa place. On commençait selon le jour la leçon de morale ou l’instruction civique qui avait pour but d’enseigner les droits et devoirs de tout être humain et de tout citoyen. La France étant un état et les Français des citoyens chaque jour une maxime étaient écrites au tableau ayant trait à la vie familiale à la vie en société à l’instruction aux règles corporelles à la patrie.

Obéir à sa conscience, n’oublie pas ton origine et ne rougis jamais de tes parents, rendre heureux le plus doux des devoirs, l’instruction est un trésor, celui qu’on emporte toujours avec soi ; il faut en faire bon usage. La politesse un fond qui ne coûte rien et rapporte beaucoup, il n’est si bon pas que celui qu’on a gagné, le respect de la loi et le premier devoir du citoyen sans la loi il n’y a que la force. Ensuite la dictée, souvent en rapport avec le thème de la morale. Après la récréation place au calcul qui faisait une large place au calcul mental une véritable gymnastique du cerveau que certains maîtrisaient, d’autres beaucoup moins. À midi on rentrait chez nous pour le repas.

L’après-midi on attaquait selon les jours, l’histoire et la géographie ou les sciences naturelles et on faisait la pause-récréation de l’après-midi. On se dégourdissait les jambes en jouant à la marelle, à saute-mouton, à colin Maillard, en ce temps en sautant à la corde. Les garçons préféraient souvent les billes et les osselets quand ce n’était pas la bagarre il y avait toujours des caïds. Le sport cependant on ne connaissait guère et en terminé la journée de classe par la récitation. À 16h la cloche sonnait, libérant ainsi les écoliers certains rentraient chez eux, d’autres restaient à l’étude pour faire les devoirs les parents savaient qu’ils ne faisaient pas les imbéciles.

Voilà à quelque chose près à quoi ressemblait une journée d’école jusque dans les années 60, 70. on était fiers alors de finir sa scolarité entre 14 et 15 ans avec le certificat d’études en poche. Pour les enfants dont les parents avaient une belle situation la scolarité dans la ville s’arrêtait à 11 ou 12 ans. Ils partaient alors en pension pour obtenir le brevet élémentaire. Ce qui était déjà bien ou le baccalauréat pour ceux qui visaient une carrière de médecin, de pharmacien, de notaire, d’avocat de professeur etc.

Ils n’oublieraient jamais ces encriers ou bien souvent lorsque nous rentrions chez nous nous devions nous passer les mains au savon sous l’eau, pour enlever l’encre qui avait tâché nos doigts.

Rapport à la scolarité actuelle, que de souvenirs, lorsque le soir les parents avaient, tout simplement préparés nos cartables pour la rentrée du lendemain ; nous prenions le soin dans la nuit de nous lever pour aller sentir ces boîtes de crayons de couleur aux mille senteurs comme les copains que nous nous ferions tout au long de l’année. Cette page de souvenirs était comme les dictées elles étaient écrites. C’était une dictée elle portait comme intitulé le drapeau de la France, mes propres amis mais sachez le bien c’est autant dans un seul mot rendu palpable. Devant un autre objet donc qui fait donc toute sa valeur. Donc sécurisée de l’enfant.

Le mieux qui va avec donc le côté du soleil, le père qui gronde, le premier donc les amis que l’on peut se faire reste pratiquement marqué à vie les rêves les chimères les souvenirs aussi, ils demeurent neufs. La signification de la patrie texte de la dictée un extrait de Jules Claretie. « Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui font précisément le contraire et surtout la grande armée des gens, d’autant plus sévères, qu’ils ne font rien du tout. »

Le temps s’écoule des souvenirs tendres les uns avec les autres. La raison d’état ne prime pas, sur les droits de l’Homme, il reste à présent et le constat est devant nous, ce jour, comment intégrer dans le cadre scolaire et de la République Française toutes ces personnes arrivées d’ailleurs ?

Le Panda

Patrick Juan

9 réflexions sur “Droit Au Savoir

  • Une des raisons, qui fait que « Les Voix du Panda » se tairont à jamais, c’est le ressenti d’un dégout immense.

    Surtout vis-à-vis de la majorité de ceux qui parlent beaucoup sous le couvert de l’anonymat et qui profite des bénéfices qui leur confère un talent parfois hors norme.

    C’est à l’image des publicités des médias qui rengorgent de frics puis peu importe d’où qu’il vienne.

    Puisque dans la majorité des cas les publicités sont réservées aux nantis. Assez du silence complice de tous ses fourbes, les poches pleines de pétrodollars ils s’en moquent ; normal nous les nourrissons.

    Que le terrorisme par les fanatiques face à eux fassent tuer ou mourir femmes, enfants, ce que nous étions dans un passé pas si lointain etc.

    Y compris ceux qui enseignent le droit à la laïcité.

    Nous sommes dans une société pourrie et touchée d’un cancer qui tue lentement ce pourquoi nous devrions être des humains.

  • Une autre face du miroir à multiples faces tel un kaléidoscope.

    Aucun jour ne ressemble à celui d’avant ou d’après dans le cas contraire où serait le charme de la vie.

    Autant que les contextes de dealers et de drogues de tous stylent aucun état ne faire valoir le droit à « La liberté d’apprendre au sein des écoles »

    Être aussi affirmatif nous le constatons au quotidien, dans tous les coins de France les drogues circulent sans que les états ne fassent quoi que ce soit pour l’éradiquer.

    Dans la majorité des quartiers, ils*, elles*, fleurissent les rues de la majorité des quartiers sans aucun scrupules (garçons*, filles*). Une évidence sans y avoir palier depuis la nuit des temps, nous fait constater que si les femmes avaient juste un plus d’égalité par rapport aux hommes la société mondiale serait bien plus équilibrée.

    Nous le constatons au quotidien, avec comme dans le film « Z » se déplaçant avec des caisses en bois, des boites en carton, faire l’apogée de la victoire de l’argent.

    Rarement les révoltes n’ont pas engendré une amélioration des sociétés et de la condition humaine.

  • Dans la mesure ou la France ne passe pas un véritable référendum par le peuple de France la nation de la création de la République est morte.

    L’immigration sélective est un euphémisme, rien de positif ne sortira jamais car même en triant, lorsqu’un fruit est pourri dans une corbeille, « Il semble qu’il faille le jeter » dans le cas contraire, nous assistons à une contamination globale, le reste n’existe point.

    Le côté de partielle n’existe nullement, quelle que soit la couleur de la peau de quiconque « Le sang qui coule est toujours rouge, les spermatozoïdes qui donnent la vie au sortir blancs »

    La différence que certains attribuent à la sélection des races, commettent une faute ou des millions d’erreurs, car c’est à l’évidence ramener l’ensemble des « Peuples sous la gouvernance d’un monde à la Hitler »

    Il y peu que certaines personnes prennent conscience ou feignent de comprendre qu’il n’y a pas de différence entre le terrorisme et fanatisme.

    L’un se nourrit de l’autre, comme la circulation sanguine dans le corps humain, il manque cet oxygène qui fait autant défaut à la possibilité de savoir ou de vouloir vivre ensemble.

  • La sélection par la couleur de peau ou de conception ethnique ou de tout autre différence, demeure indéniablement ce qui pousse aux exactions d’apprendre l’histoire du vivre ensemble, c’est une des raisons essentielles qui poussent certains au fanatisme de tuer, ceux par qui la culture peut valablement circuler.

    Et alors de là, sort du fond de leurs auteurs des repoussoirs simulacres des véritables mesures à mettre en application.

  • Pardon mais le fanatisme conduit au terrorisme.

    Nous en vivons le cruel quotidien par le temps présent et le texte de l’auteur vous souvenir à un vécu, d’un autre temps.

    Il semble utile de se poser la question, peut-on revenir à cette époque qui laisse rêver même dans la mesure ou elle ne date pas d’autant que cela ?

  • La police belge a tué mardi 17 octobre un homme soupçonné d’être l’auteur de l’attentat qui a fait deux morts lundi soir à Bruxelles.

    Après l’attaque, il est retourné près de chez lui. Mardi 17 octobre, les autorités belges ont annoncé avoir tué l’homme soupçonné d’être l’auteur de l’attentat survenu la veille à Bruxelles.

    Deux personnes des supporters de football suédois ont été tuées et une autre a été blessée.

    Le drame s’est produit en marge d’un match de football opposant la Belgique à la Suède.

    Lundi soir, des vidéos montraient le tireur portant un blouson orange fluo mettre à l’épaule une arme automatique et s’enfuir en scooter après son geste perpétré à proximité d’un immeuble.

    S’il le fallait un peu plus, il est regrettable pour les défunts et leurs proches.

    Mais démontre à l’évidence la responsabilité énorme de l’Europe, car pour mieux analyser la situation, que les européens tentent de faire la même chose dans les pays d’où arrivent ces terroristes, cela est impossible à l’évidence.

  • Rapidement, un nom a été publié dans les médias locaux, celui d’Abdesalem L..

    C’est cet homme de 45 ans, d’origine tunisienne, qui serait le suspect.

    Il résidait dans la commune bruxelloise de Schaerbeek, là où l’opération de police a eu lieu mardi.

    Sans donner plus de détails, la RTBF a d’abord annoncé qu’un suspect avait été neutralisé mardi alors qu’il portait une arme sur lui.

    La chaîne indique qu’il s’agit bien d’Abdesalem L., qui aurait été tué lors d’échanges de tirs avec la police.

    Le parquet fédéral a confirmé sa mort auprès de l’AFP.

    Reste une question en suspens où sera enterré cet homme et sous quel délai ? Le danger n’est plus à prouver « Le risque zéro n’existait pas » en Europe, dans tous les lieux ou des européens circulent ou vivent.

  • Connu des autorités

    L’homme ne serait pas inconnu des autorités.

    Mardi matin, le Premier ministre belge a confirmé qu’il se trouvait en situation irrégulière en Belgique. Sa demande d’asile déposée en 2019 lui avait été refusée et il avait reçu l’ordre, en 2021, de quitter le territoire.

    Le ministre de la Justice, Vincent Van Quickenborne, a ajouté : « Il était connu des services de police pour des faits suspects de trafic d’être humain, séjour illégal et atteinte à la sûreté de l’État ».

    D’après Vincent Van Quickenborne, il aurait été soupçonné, dès 2016, de présenter un profil radicalisé, prêt à aller faire le djihad.

    « Mais cela faisait partie de dizaines de signalements quotidiens de ce type », a-t-il expliqué.

    C’est cette année-là, en Belgique, qu’a été commis l’un des pires attentats terroristes de l’histoire du pays. Le 22 mars, 32 personnes avaient été tuées et 300 autres blessées dans le métro et à l’aéroport de Bruxelles.

    Nicole De Moor, secrétaire d’État à la Migration, a expliqué qu’après avoir reçu une réponse négative de sa demande d’asile, il avait été radié officiellement du registre national, rendant sa localisation et donc sa reconduite à la frontière impossible.

    Il avait toutefois été repéré dans une mosquée en juin 2022 à Bruxelles, « ce fait a été signalé à la task force locale de Bruxelles, mais n’a pas donné lieu à d’autres mesures ».

    C’est une démonstration d’une forme évidente de laxisme, dans le cas contraire des familles ne compterait pas leurs morts, que cela soi à l’école, ou dans n’importe quel lieux de transit, de vie ou de culture.

  • Des vidéos de revendication

    Rapidement après l’attaque de lundi, deux vidéos montrant le suspect ont fait surface en ligne.

    Il s’y présente comme l’assaillant disant être « un combattant de l’Etat islamique ».

    Vêtu d’un maillot du club de football de l’Ajax Amsterdam, il déclare « que le livre d’Allah est une ligne rouge pour laquelle il se sacrifie ».

    Dans une autre vidéo, de revendication cette fois-ci, il explique avoir tué « trois Suédois, grâce à Dieu ».

    La Suède vit sous le coup de la menace terroriste depuis plusieurs mois après plusieurs profanations du Coran autorisées sur son sol.

    Son geste pourrait donc ne pas être lié à la guerre entre Israël et le Hamas, bien que la RTBF précise qu’il avait également évoqué sur Facebook le meurtre aux États-Unis d’un petit garçon palestinien.

    Il semble difficile de croire que tous les étrangers de toutes confessions sont des terroristes fanatiques, à ne pas en douter certains diront «  Il est dévident, que les gens restaient dans leur pays, en dehors de vacances ou autres, l’Occident n’aurait pas sur ses drapeaux des taches de sang, puis à la suite masse de cercueils .

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