La Solitude du Monde Actuel

Certains diront « la solitude ça n’existe pas ». Or nous constatons qu’elle grandit avec le temps ; les générations se succèdent et la misère reste de plus en plus importante.

À ne pas en douter, ils sont des millions à ne pas avoir à leurs côtés, pour tenter de leur donner cette tendresse qui fait tant désespoir dans le monde moderne.

À l’évidence, c’est bien ce qu’il a fait les fortunes gigantesques des Ephad dans l’ensemble non seulement de la France mais de la civilisation de l’Europe. Nous savons pertinemment les procès que cela entraînera mais effectivement, là il y a un profit à tirer, pour ceux qui oublient les autres. Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. « Les Vieux »

En France, l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes est la forme d’institution pour personnes âgées la plus répandue.

Le constat s’impose de lui-même, en prenant un pays moderne tel que la France, ils sont plus de cinq cent mille à passer la majorité de leur temps à subsister de la générosité de certains. Comme « Le Temps »

Comment venir à bout, de cette situation au combien multiplié et cela qu’elles que soient les nations « En France, En Europe, du fait du monde, etc. »

À de très rares exceptions, il existe peu d’institution qui puisse donner une ombre de chaleur. Il suffit de voir autour de soi, que la solitude surtout en ce qui concerne les personnes âgées et devenu pour certains presque un emblème national.

À se pencher dans le cadre de notre enfance, les demandes n’étaient pas bien importantes, des sourires, des bisous, un cadeau presque sans importance et il aurait été fait de bric et de broc faisait le bonheur de celui qui le recevait.

En rentrant dans les demeures, pour ne pas dire taudis, il suffit parfois en prenant quelques clichés furtifs de constater l’état de délabrement dans laquelle la société moderne plonge la majorité du genre humain.

Il serait réellement souhaitable de prendre conscience d’une fameuse phrase qui surgit parfois de la bouche de certains « les vieux il faudrait les tuer avant qu’ils naissent » Le côté sordide de cette citation ne prend son sens et sa responsabilité qu’à celui qui la prononce.

Nous constatons simplement qu’en France, ils sont des millions à vouloir simplement mourir chez eux dans la dignité. Certains se retrouvent complètement isolé, sans aucune aide sur quelques formes que ce soit afin de le tenter, de donner l’espoir d’une lueur qui leur dira, « vous verrez demain sera meilleur. »

À regarder effectivement, encore une fois de plus proche, combien sont ceux, celles qui n’ont plus du tout de famille ? Ou tout du moins, leur propre famille les ignore complètement.

Et effectivement à partir de ce moment-là, pour certains ne subsistent que le souhait de partir le plus rapidement possible.

Il y a masse de regrets à formuler, mais comment procéder pour revenir à ce que la famille vous pouvez représenter aux yeux de chacun de nous ? Puis pour peu, que le monde moderne et créer des ghettos, nous constatons que la violence et devenu un prétexte à n’importe quelle manifestation de violences, sans aucun espoir de retour.

Ainsi on voit des vies s’envoler, puis le sens de nos réelles racines perdre de toute leur substance. À regarder les visages, marqués des rides de l’expérience de la vie. Il ne reste plus que la trace de certaines larmes.

Que les sillons de la souffrance on laissait comme substance. Une évidence que nul ne pourra contester, d’où que proviennent les larmes, elles sont toujours transparentes et d’une couleur cristalline.

Il serait tellement humain, de vouloir se souvenir de la chaleur des foyers d’antan, pour que le monde retrouve un état de raison.

Le monde a avancé à une vitesse aussi folle que le modernisme a pris le pas sur l’ensemble des sociétés. La preuve la plus flagrante nous la vivons au quotidien, sans informatique, sans savoir s’en servir, et ils sont légion, que leur reste-t-il ?

La solitude qui n’existe pas, reste plus qu’un rêve imaginaire, c’est encore pire qu’un kaléidoscope que l’on n’arrive pas à percevoir. Voulant rester optimiste, il ne reste qu’une seule solution pas 36 de modifier l’ensemble des institutions modernes pour en faire un lieu de paix, du droit de vivre dans le respect de chacun.

À aucun moment, de telles situations ne devrait voir le jour, c’est le reflet du meurtre d’enfants gratuitement que nous constatons avec tristesse, regret, etc.

Nous constatons à l’évidence que nous sommes dans le 3e Millénaire, mais certaines les actions, constatées, nous donnerait presque envie de revenir au moyen-âge. Deux prix Nobel de littérature, ont écrit : « on ne peut parler réellement d’une situation, qui à la condition express, de l’avoir vécu dans sa chair, mais d’une façon bien plus forte dans son tréfonds intérieur ».

Il est tellement plus facile, mille fois plus agréable tout simplement de « prendre un enfant par la main », pour que ce dernier demain puisse prendre la vôtre. L’empathie de la même façon que l’humanisme semble avoir déserté la planète Terre. Pourtant « Un jour disait-il nous nous, nous retrouverons » En conséquence ils sont des millions à comprendre «  L’Oiseau ». Ils sont plus que réellement abandonnés. Pourtant ce fut « Cadeau » leur arrivée. Leur départ se fera dans l’ignorance dans ce monde d’isolés. Ce message est pour vous tous, heureux, ou malheureux, merci.

C ‘est la raison essentielle, pour laquelle la majorité des populations ne croit plus sous quelques femmes que ce soit, simplement à une forme de ce que les anciens appelaient la justice équilibrée. « Il ne reste plus que des glandus »

À chacun de se reconnaître ou pas, dans le présent article mes à ne pas en douter, ils seront bien plus nombreux que les témoignages qui seront apportés. Comme « Mon Vieux » On peut comprendre sans mystification que certains n’ont qu’un seul souhait, celui de partir sans douleur, simplement ce type de souffrance et bien plus lourde à porter que les pierres qui virent se construire les pyramides d’Égypte.

Le Panda

Patrick Juan

Source extraite de l’ouvrage de l’auteur de l’article : « Le Roseau et le Ravi »