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L’école et le Vivre d’Antan

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L’école et le Vivre d’Antan

Bien souvent nous entendons critiquer les époques des temps passés et si proches pourtant. A y regarder avec la majorité des personnes vivants dans une forme de communauté où plus personne pratiquement ne connait ses voisins et parfois sa propre famille. Autant que les disparités continueront que nous le voulions ou pas nous sommes plus que réduits à un monde animalier des pires prédateurs.

Où retrouver l’odeurs des divers éléments qui nous faisaient nous assoir à côté de qui que ce soit, sans aucun préjugé ni antagonismes, nous savions ce que le mot respect, parents, familles, enseignants et tout ce qui en découlaient représentaient dans notre savoir vivre au quotidien. Aucune démocratie ne peut exister sans un partage de savoir égalitaire une évidence existera toujours il a laissé la place à l’argent devenu seul titre de langage que la majorité met en application dès le premier jour de naissance.

Nous sommes aux stades ou seules les armes trouvent la façon de s’exprimer, non seulement dans un monde qui va disparaître par son seul égocentrisme. Les places pour une jeunesse en perditions car ne trouvant pas d’avenir dans le reflet que les actualités lui renvoi de pratiquement chaque jour.

Les écoles de ces époques pouvaient être des rectangles ou avec cinq cours, mais c’était toujours agréable pour les enfants. Au début des années 1960 la fréquentation de l’école maternelle est peu développée, dès le CP un cinquième des élèves sont en retard et au fil des classes le phénomène s’accentue. Parmi les principales causes ayant retenu notre attention, constatons le problème familial, le statut socioéconomique, le milieu où vivent les enfants, les difficultés scolaires et le redoublement scolaire. Chacune de ces mauvaises situations peut devenir une cause majeure de l’abandon des études.

La majorité des diverses puissances du monde en apparence aux détriments de toutes formes de partages ont créés des écoles à l’images de leur religion, croyance, haine des autres en se rendant comptes que de la sorte ils faisaient le seul jeu de leurs propres intérêts mais à courts termes et qui devient rapidement dans des esprits confus des jeux pour savoir qui abattra l’autre, donc en essayant de rester le plus fort.

Masse de souvenirs viennent titiller tous les sens et l’olfactif en dehors des moments qui précédents la rentrée toujours presque égalitaire, mais là où les odeurs et le passage à un stade autre, donne la sensation de grandir ce qui indubitablement pour les mêmes présents que l’année passée, ils auront grandi, mais notre mentalité, notre conception de l’amitié du plaisir de les revoir sera demeurée intacte.

La veille les boites de crayons de couleurs de diverses odeurs, permettent de dessiner des petits bonhommes de diverses couleurs et dans la boite certaines pointes seront plus usées que d’autres. Le pire lorsque nous entendons certains parler, ou répéter ce qu’ils ou elles viennent d’entendre, les mines de ce que certains viennent de recevoir sur telles ou autres contrées en font des victimes que l’histoire traitera de gagnants ou perdants, mais quoi qu’il en soit victimes innocentes de l’appâts pour les victoires qui ne blanchissent nullement le tableau noir, mais sentent la noirceur qu’en réalité le sol ne fera jamais fleurir.

Un exemple parmi des milliers qui ternissent les valeurs humaines, ce qui se passe en ces moments en Nouvelle-Calédonie donne une piètre image de la façon dont les politiques ont tenté de solutionner un contexte qui a déjà laissé énormément de séquelles. Pour les plus anciens cela n’est pas loin d’être comparable à ce qui déroula à l’époque ou la France était censée s’étendre de Dunkerque à Tamanrasset.

Les millions de victimes ont ternies les rapports entre les deux nations où là aussi le manque d’explications claires, honnêtes auraient permis et empêcher les exodes et l’appauvrissement d’une nation par rapport à l’autre. Il faudra bien du temps pour que s’estompe les morsures qui plongèrent les familles de chaque côté dans un seul soucis, l’amertume de la trahison, et les morts qui marquent encore ces époques.

Les sentiments de vivre un remake ne laisse pas de doute à certains pourvu que le prix à payer dans le cadre du civisme et du savoir lire, écrire, compter, fassent comprendre que même à dix-sept mille kilomètres le droit au savoir ne passera jamais par des actes de forces et de violences. Pas plus qu’en imposant une forme de dictatorial presque colonialiste, à un moment ou l’ensemble des territoires de la France doivent afficher leurs unités. Et cela « Quoi qu’il en coûte » mais lorsque les intérêts financiers prennent place sur la raison humaine, les flammes s’élèvent et les armes parlent dans l’écho des regrets.

Le président de la République se rend sur place, il n’y a de place que pour la compréhension de chacun et reconnaitre ses erreurs n’est jamais une marque de faiblesse bien au contraire. Puis bien loin de l’antre les conflits des jeunes loups débattent autour d’une idéologie loin du contexte de guerres. Mais sur le devenir de jeunes politiciens qui vont s’efforcer de se neutraliser en s’écoutant ou pas.

La raison essentielle des valeurs des écoles d’antan trouvera ou pas le chemin du respect de chacun plutôt qu’une situation qui perdure depuis des décennies ? Remettez donc les billes au point de départ à condition impérieuse que les dialogues constructifs prennent la réelle place qu’ils n’auraient et ne doivent jamais perdre.

Le Panda

Patrick Juan

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