Macron n’a pas fait son service militaire or la Constitution n’a pas été changé !
Macron n’a pas fait son service militaire or la Constitution n’a pas été changé !
Jacques Chirac a fait de l’Armée professionnelle.
Or il a oublié de modifier la constitution qui permet de devenir candidat à l’élection présidentielle.
A ce jour ni Chirac, Ni Sarkozy, ni Hollande n’ont modifié cette constitution pour être Président de la République.
Eux avaient tous fait leur service militaire. Monsieur Macron étant né en 1977 a échappé au service militaire.
Mais … la constitution n’ayant pas été changé seul les personnes qui ont fait une préparation militaire et service volontaire ou ayant été né avant la réforme Chirac peuvent donc être président !!!
Monsieur Macron est donc bien un président illégitime juridiquement !! Il ne pouvait donc pas se présenter à cette élection.
Pour qu’il soit candidat et Président de la République française monsieur Macron aurait dû faire une préparation militaire et un service volontaire dans l’armée !!
Ce qui n’a pas été le cas.
Monsieur Macron est un président hors la loi d’où peut-être pourquoi il ne cesse de répéter de ne pas respecter les règles !!
Or il faut un minimum de règles pour faire une société.
Nous demandons au Conseil d’Etat d’annulait cette élection.
De refaire une élection !
Nous demandons à monsieur Macron d’avoir l’honnêteté de démissionner.
Qui peut être candidat ?
Le candidat doit avoir la nationalité française, être électeur et avoir plus de 18 ans, avoir satisfait aux obligations relatives aux textes sur le recrutement de l’armée, faire preuve de dignité morale, sans que cette notion soit précisément définie.
A la lecture de ce courrier qui remonte à sa première élection, il représente un poids non indéniable.
Emmanuel Macron, est en la circonstance l’empereur de l’esquive car légalement il se devait de faire son service militaire.
Pourtant quoi que l’on puisse dire ou écrire, « Il est Chef des Armées » les honneurs militaires lui sont rendus pratiquement à chaque moment ou circonstance cela s’y prête.
Il est le seul président en France à ne pas avoir fait son service militaire.
Il est aussi le seul président de la République en France à avoir attrapé La Covid et obligé de s’isoler.
Mais en ces moments il fait une chasse et emploi des propos loin de la fonction qui est la sienne.
Ainsi l’ont voulu les électeurs de la France
Il ne doit pas ignorer les raisons et les motifs de la création obligatoire de ce sacré service militaire.
La raison est pourtant très simple lorsque l’on se penche sur l’histoire qui fait la nation France.
Ce fut les « Royalistes » qui à la mort de Louis XVI obligèrent tous jeunes de 18 à 25 ans (veufs) à faire ce qui donne le sens de la raison et de l’ordre.
A ne pas en douter « Le président » actuel se prenant pour les dires « Intouchable » et se prenant pour « Louis XIV » il est indéniable qu’il se sent totalement à l’abri de toutes critiques à ce stade.
L’histoire de France est là, et nous parle : « Tous ceux qui ont fui » durant toutes formes de révoltes finirent la tête tranchée.
Sans aller jusque-là, cela va de soi, à ne pas en douter Macron a dû se poser la question à diverses reprises, mais cela ne l’empêcha nullement de dormir, puis sans contexte cela perdure au point de se prendre pour « Napoléon Bonaparte »
L’exil ne sera pas une de ses lettres de cachets, mais il n’a pas de « Talleyrand » face à lui, du moins en ces moments.
Donc la France et une partie de son peuple dans le verbiage se trouve à être emmerdés sans avoir le papier utile pour aller voir son spectacle, mais pour l’entendre l’encre de certains médias peut vous coller aux fesses.
Sur la couleur d’une peau là aux bords d’où nés le général caca, certains pourront le lire. Pour l’instant c’est le vice général pet qui annonce par l’odeur l’arrivée d’une France peut-être plus molle.
Il suffit de regarder de quelle manière Macron parle de Napoléon
Cliquez sur le lien Vous verrez et entendrez presque toute La Cour
Le Panda
Patrick Juan
Vaccination : le clivage calculé et assumé d’Emmanuel Macron
Analyse
Dans un entretien avec des lecteurs du Parisien paru mercredi janvier, le président de la République affirme avoir « très envie d’emmerder les non-vaccinés ». Ces propos ont électrisé le débat parlementaire sur le passe vaccinal. Le chef de l’État espère s’attirer les faveurs de la majorité des Français avec ces propos, qui lui ont valu les foudres de l’opposition.
Un président devrait-il dire ça ? La question monopolise le débat public depuis la publication sur le site du Parisien, le mardi 4 janvier, d’une interview d’Emmanuel Macron dans laquelle le chef de l’État s’en prend durement, et dans un langage plus que familier, aux personnes non vaccinées.
S’il y a un sujet sur lequel il est nécessaire de rassembler les Français, c’est la lutte contre l’épidémie de Covid-19. Et s’il y a une personne qui doit y veiller plus que toute autre, c’est bien le président de la République. Alors oui, ce n’est qu’une petite phrase, dont l’impact est renforcé par la répétition, la décontextualisation et le commentaire ad nauseam sur le grand billard des réseaux sociaux.
Reste qu’en s’exprimant comme il l’a fait devant les lecteurs du Parisien, Emmanuel Macron s’est tiré une balle dans le pied. « Emmerder » des Français, quels qu’ils soient, ne peut pas faire partie du registre d’un chef de l’État. Pas plus que des affirmations à l’emporte-pièce du type : « Un irresponsable n’est plus un citoyen. » Ce sont des propos de bistrot ou d’estrade, bref de candidat et non de président.
Les mauvaises causes n’ont pas besoin de martyrs. Les propagandistes anti-vaccins n’en demandaient pas tant : le chef de l’État leur sert sur un plateau un argument en or pour convaincre les sceptiques du mépris des pouvoirs publics à leur égard. Et que cela nous plaise ou non, les Français qui ont choisi – parce qu’on leur en laisse la liberté – de refuser le vaccin ont leurs raisons, souvent intimes, qui tiennent à leurs opinions, leurs histoires personnelles, leurs angoisses.
Ce choix est contestable, regrettable. On peut – on doit même – chercher à les en persuader, sans relâche. Mais ces Français, ces citoyens, méritent d’être respectés par le premier personnage de l’État.
Le dossier est déjà suffisamment sensible et clivant pour ne pas en rajouter. On ne sait ce que cette fanfaronnade coûtera ou rapportera à Emmanuel Macron en termes de dynamique électorale. On sait en revanche qu’elle n’a rien apporté à la qualité du débat public.
TRIBUNE. Alors qu’Emmanuel Macron, dans un entretien au Parisien, a défendu sa volonté d’augmenter la pression sur les Français non vaccinés, Patrick Bouet, président du conseil national de l’Ordre des médecins, invite à « considérer l’humanité intrinsèque » de ces personnes lorsqu’elles tombent malades du Covid-19.
Docteur Patrick Bouet,
Dès lors qu’elle touche une société dans sa globalité, toute crise met en péril les équilibres parfois précaires en son sein, engendre des peurs irraisonnées et déclenche trop souvent des conduites qui peuvent remettre en cause des fondamentaux que l’on pensait inébranlables.
L’histoire nous a montré que, dans toutes les sociétés du monde, cette peur du chaos déclenchée par les grandes épidémies ou par les guerres a sublimé le meilleur et catalysé le pire de l’humanité. Le monde de la santé comme le monde politique n’y ont pas échappé.
Depuis deux ans nous vivons en tant que citoyens une crise sanitaire majeure dans laquelle nous nous sentons englués, précarisés, sans certitudes, sans espoir. En tant que professionnels de santé, nous partageons tout cela et nous nous sentons de surcroît souvent incompris, marginalisés, parce qu’insuffisamment écoutés.
La crise a divisé
Tous pays confondus, la conduite politique et administrative de la gestion de la crise a conduit à des incompréhensions comme à des adhésions, à des hostilités tout autant qu’à des solidarités. Mais même quand elle dégageait des consensus fragiles, la lame de fond de la crise a divisé, fracturé les peuples, les professions voire les familles.
→ ANALYSE. Covid-19 : pourquoi certains soignants refusent-ils la vaccination ?
Ainsi nous affrontons aujourd’hui une nouvelle crise dans laquelle les professionnels de santé doivent, au maximum de leurs capacités de résilience, en luttant contre l’épuisement physique et moral, affronter l’indicible : la maladie de masse, la souffrance et la mort par dizaines, par centaines de milliers de personnes.
Prendre en charge tous les malades
Dans cette épreuve, une dimension essentielle continue de nous unir : c’est la conviction que tous les malades doivent être pris en charge et bénéficier de tous les moyens humains et matériels d’aller vers la guérison.
Nous y parvenons dans le dévouement le plus total, en faisant notre métier de médecin au quotidien, dans les conditions morales et matérielles dégradées que tous redoutaient. Elles sont le fruit d’un abandon trop ancien du système de santé aux arbitrages financiers et à la quête d’économies, oubliant totalement que son fonctionnement n’est tenu à bout de bras que par des hommes et des femmes dévoués à la guérison d’hommes et de femmes qui leur donnent leur confiance
Vaccination des enfants, les doutes de certains parents
Non, l’objectif de la gestion de cette crise n’est pas de sauver l’hôpital ou le système de santé, il est et restera pour nous médecins celui de sauver des vies, d’éviter des souffrances, d’épauler des destins brisés, d’accompagner des familles dont les vies basculent soudainement dans l’épreuve.
Instiller l’impensable
C’est dans ce moment douloureux que nous entendons des voix parfois issues de nos rangs qui, pour compenser l’incurie de l’administration politique de la santé depuis des décennies, tentent d’instiller l’impensable : ils voudraient laisser entendre qu’un habitant de notre pays, parce qu’il a fait le choix de ne pas se faire vacciner, devrait alors se contenter de soins dégradés, faisant fi de son humanité intrinsèque, pour n’être plus considéré que comme un vecteur biologique de contamination puni par sa maladie.
→ EXPLICATION. Omicron et vaccination : les questions que soulève le nouveau variant
Ne laissons place à aucune confusion :
Oui, nous l’affirmons comme nous l’avons fait dès le premier jour, être vacciné aujourd’hui est la seule façon d’échapper au risque de développer une forme grave de la maladie.
Oui, chaque jour nous devons continuer de convaincre chaque personne de le faire.
Oui, il est de la responsabilité du gouvernement et de l’administration sanitaire de notre pays d’adresser des messages compréhensibles vers les non-vaccinés.
Oui, il est légitime qu’en matière de gestion de crise, l’État agisse pour lutter contre la propagation de ces fléaux.
La responsabilité de l’État
Mais il y a une limite que nous ne saurions franchir, c’est faire de la vie humaine une valeur d’arbitrage de nos insuffisances ou de notre incapacité collective à agir ensemble. Aussi je veux dire solennellement à ceux et celles qui aujourd’hui proposent de tels arbitrages : le médecin est éthiquement et déontologiquement le dernier défenseur de la dignité humaine, qui donne à chaque individu le droit fondamental d’être pris en charge avec tous les moyens de la médecine. Pour aucune raison, nous, médecins, ne pourrions accepter qu’un groupe humain puisse perdre ce droit.
Pas plus que nous ne pourrions éthiquement et déontologiquement accepter qu’un fumeur qui ne respecte pas les règles de santé publique ou qu’un malade dépendant soit rejeté du système de santé, nous ne pouvons laisser envisager qu’un patient ne soit pas soigné parce qu’il n’est pas vacciné.
Il ne serait pas non plus possible d’accepter que pour sa religion, sa race, son genre, son mode de vie, ses choix politiques, un patient se voie jugé et sanctionné d’un moindre accès à la prise en charge de son problème de santé, par une forme d’indignité citoyenne.
L’État a fait le choix de ne pas rendre le vaccin contre le Covid obligatoire. Qu’on ne nous demande pas de faire le tri entre vaccinés et non-vaccinés. L’accepter serait impardonnable. Notre éthique et notre déontologie sont fondées sur une conviction fondamentale : notre mission est de protéger l’être humain, quelle que soit la maladie. Et la confiance que nous font nos patients est ancrée dans la certitude qu’aucune pression sociétale ou politique ne saurait nous éloigner de ce qui fait au plus profond de nous-mêmes l’éthique et la déontologie : sauver sans juger, sauver sans imposer nos convictions, sauver parce que c’est notre engagement.
Face à la crise sanitaire, la grosse fatigue des familles
Analyse
Alors que l’espoir d’une sortie rapide de la crise sanitaire s’éloigne, les familles s’attendent à se retrouver à nouveau fortement sollicitées. Certains parents et leurs enfants éprouvent un sentiment de lassitude et d’inquiétude croissant, pour eux et pour leurs proches.
Emmanuelle Lucas,
« Au moins, ce n’est pas un confinement. » Pourtant, pour Philippe, 50 ans, il flotte sur ce mois de janvier un air de déjà-vu, comme une impression de retour en arrière, quand, en mars 2020, la France s’est retrouvée à l’arrêt. Ce père de famille affiche, ce mardi matin, un air soucieux, alors qu’il dépose ses enfants à l’école, dans le 15e arrondissement de Paris. Il avoue sa « lassitude » et se demande « si un jour on sortira vraiment de cette crise ».
L’examen du projet de loi sur le pass vaccinal a été de nouveau suspendu en pleine nuit mercredi en raison de la tempête provoquée à l’Assemblée nationale par le président Emmanuel Macron qui a affirmé vouloir « emmerder » les non-vaccinés alors que le nombre de cas quotidiens a atteint un record de 271 000 nouvelles contaminations.
« Les conditions d’un travail serein ne sont pas réunies », a déclaré peu avant 2h le président de séance, Marc Le Fur (LR), en annonçant que les débats de cette première lecture reprendraient mercredi à 15h.
« Propos indignes », « insultants », les élus d’opposition se sont déchaînés contre les déclarations d’Emmanuel Macron, multipliant les suspensions de séance et demandes de rappel au règlement, avant d’exiger, en vain, la venue du Premier ministre Jean Castex, dans une ambiance survoltée.
« Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout. C’est ça, la stratégie », a clamé le chef de l’Etat dans un entretien au Parisien. « Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen », a-t-il ajouté.
« Cynisme puéril »
Le patron des députés LR, Damien Abad, a fustigé des propos « indignes, irresponsables et prémédités » qui relèvent d’un « cynisme puéril », tandis que le président des Républicains Christian Jacob s’est « refusé à cautionner un texte qui vise à emmerder les Français ».
A l’autre bout de l’hémicycle, Ugo bernalicis (LFI) a dénoncé une « crise politique déclenchée par le monarque présidentiel, qui se permet d’insulter une partie des Français ». Mathilde Panot, présidente du groupe LFI, a estimé que le projet de pass vaccinal instaurait désormais une forme de « déchéance de nationalité », comme le candidat communiste à la présidentielle Fabien Roussel.
Le projet de loi sur le pass sanitaire « est-il un texte pour plus emmerder ? Ou moins emmerder ? » les Français, s’est-il interrogé.
Huile sur le feu
Au banc du gouvernement, le ministre de la Santé Olivier Véran a tenté d’expliquer la parole présidentielle, dans un langage plus policé. « Le mal qui ronge notre pays, c’est une vaccination qui bien qu’importante, reste insuffisante », avec des « millions » de non-vaccinés, a-t-il expliqué.
Les propos d’Emmanuel Macron ont ruiné une amorce d’apaisement au Palais Bourbon, déjà agité la nuit précédente par un vote surprise suspendant temporairement les travaux sur ce texte, au grand dam de la majorité.
Les oppositions avaient raillé l’incapacité de la majorité d’être présente en nombre suffisant dans l’hémicycle pour éviter ce « camouflet », et dénoncé une absence de volonté de dialogue du gouvernement.
Le gouvernement avait de son côté accusé l’opposition, en particulier les députés LR, de chercher à faire un « coup » politique sans considération pour la gravité de la crise sanitaire.
Quelque 450 amendements restent au menu de cette première lecture au Palais Bourbon.
L’exécutif vise une adoption définitive en fin de semaine ou début de semaine prochaine du projet de loi transformant le pass sanitaire en pass vaccinal, avant une entrée en vigueur au 15 janvier.
Cela semble incroyable, ayant sur mon portable « Tous anti-covid » j’ai reçu une fausse alerte rouge. J’ai pris contact avec la CPAM que j’ai eu au bout de 8 jours.
Incapables de modifier cette erreur il me renvoi sur le numéro 0800 130 000 depuis 15 jours ils ne répondent plus.
Monsieur Macron, il suffit de savoir qui ment ? Vous, votre gouvernement. Ou tous les antivax que vous prit l’engagement « d’emmerder »
Ne soyez pas surpris de ces types d’articles et des réactions qui ont envie de vous noyer un président peut-il avoir le droit de ne faire surveiller les services d’état dont il est responsable ?