Qui est Satan conduisant le bal ?
Qui est Satan conduisant le bal ?
En dehors des bonnes résolutions politiques jamais suivies, force est de constater que 2022 restera encore une annus horribilis, nous attendons 2023qui fera peut-être renaître en enflammer, la terre France. Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté à Dacca capitale du Bangladesh, appelant au boycott des produits français, brûlant une effigie de M. Macron, l’accusant même d’« adorer Satan »
Cela ressemble étrangement à un remake mais en moins important de ce qui se passe en France, ils des millions dans les rues en France . Le gouvernement a été pris ces dernières semaines en flagrant délit de mensonge ou, a minima, de travestissement volontaire de la réalité. Alors qu’il espérait dégonfler la bulle de la contestation en communiquant à fond sur les éléments « sucrés » de la réforme pour mieux passer le « salé » sur le report de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite et l’accélération de l’allongement de la durée de cotisation, plusieurs ministres ont cherché à duper l’opinion.
Dans une stratégie qui s’avère heureusement contre-productive et revient comme un boomerang dans les dents de l’exécutif. 8 jours de débats, surtout d’à-côtés polémiques, l’examen de la réforme des retraites est enlisé « Si l’article 7 est voté, le gouvernement profitera pour dire aux manifestants affaire pliée ». À quoi Sylvain Maillard, vice-président du groupe Renaissance, répond Public Sénat : « Ils ont peur du vote parce qu’ils savent qu’ils le perdront. Ils préfèrent jouer la musique du on ne s’est pas prononcés démocratiquement »
Derniers jours : si la social-démocratie était représentée en 2027 par Laurent Berger ? Leader de la CFDT, en pointe dans la lutte contre la réforme des retraites, a évacué le sujet sur RTL : « Je n’irai pas au bout de mon mandat. Et après ? Je chercherai du travail. Non, je ne ferai pas de politique. » Berger « spectacle lamentable » donné par l’Assemblée « n’a rien à voir avec la dignité du mouvement dans la rue ». D’insister : Parfois, j’ai eu l’impression que c’était le plateau du célèbre animateur tellement c’était médiocre, on aurait dit le plateau « d’Hanouna » Très remonté contre l’obstruction – « une connerie » –, il souhaite que les députés puissent débattre de l’article 7. « Les gens expriment un rejet des 64 ans et on ne débattrait pas de l’article à l’Assemblée, ce n’est pas possible ».
Le gouvernement a reconnu que la retraite minimale à 1200€ ne serait pas pour tout le monde, après avoir sciemment ou non, permis le doute en étant ambigu. Fini : « Nous n’avons jamais dit que tous les retraités auraient 1200 € », dixit Franck Riester. Bruno Le Maire sur le même ton. 1200 € pour tout le monde ? « Ce n’est jamais ce qui a été dit, dès le départ », assure, le ministre de l’Économie. C’est ce que vantait Le Maire, en février. À cette époque – juste 8 jours – Le Maire parlait sur France Inter des «1200 € de pension minimale » que toucheront aussi ceux qui sont déjà à la retraite. Pour sa défense, « BLM » pas seul à user ce terme. Véran, eux aussi et Marlène Schiappa, évoquant un « plancher à 1200 € »
Macron en Espagne la 1ère journée de manifs la réforme des retraites recevant le président du Parlement ukrainien pour la seconde. C’est Élisabeth Borne qui aura autre chose de prévu pour la cinquième journée : elle sera reçue à Bruxelles par Ursula von der Leyen, comme l’indique l’agenda de la présidente de la Commission européenne. La guerre ne cesse en Ukraine, les actes terroristes perdurent, l’inflation impacte les foyers, les grèves des manifestations plus violentes, sans compter les agressions. Notre société se divise, se déshumaniser face aux chaos grandissants. Qui sont les nouveaux Satan ? Comment agir en 2023 ; année « neuve » et retrouver une société moins clivée ? La solution réside à ne pas être au-dessus du peuple de la nation.
Ceux qui divisent la société ?
Le titre de l’écrit, pensez à l’opéra « La damnation de Faust » de Berlioz. Ou de la scène du Veau d’or où Méphistophélès chante : « Et Satan conduit le bal… ». Pour quelles raisons, le transfuge se fait-il ? le diable serait celui qui étymologiquement divise, désunit, ordonne le chaos. On les reconnaîtra tous sans les nommer, car ils portent tous sans exception en eux des caractéristiques. Chaos -sans se substituer à un sociologue- repose, pour un psychanalyste, sur quelques fondamentaux -sans les hiérarchiser- qui sont les meilleur et les pires de l’être humain :
– L’ego : l’être humain se développe en travers d’une « autre » qu’ils découvrent au quotidien. Qui se concrétise vers 7-9 mois, via le stade du miroir, qu’il ou elle, va se construire avec force un environnement familial, social, religieux, moral, singulier. Son inconscient avec ses turpitudes prévalait. Le narcissisme présent, en termes de réalisation génère aussi des conflits. L’exemple de deux présidents : Vladimir Poutine, ex-agent du KGB dictateur multimilliardaire ; Volodymyr Zelensky, comique critiqué devenu président, contesté en termes de corruption que celui qui lui fait la guerre, les deux portant le même prénom en proie à une guerre de territoire identitaire, soif d’un nom reconquis via deux egos à psychanalyser ! Charge lourde, moins que les retraites, et les moyens de subsister.
– La foi : les religions s’affrontent depuis des siècles. Certaines prônent la paix même si elles ont mené des croisades ou d’autres lancent des fatwas sans oublier la revendication d’un territoire. La recherche d’un père symbolique, souvent absent chez de jeunes terroristes, amène des fanatiques à passer à l’acte. Les études démontrent que 2/3 des adolescents radicalisés ne connaissent les textes religieux et sont embrigadés -ils sont environ 8000 mineurs en France- En clamant « il faut tuer les mécréants ! », tenter d’assassiner Salman Rushdie. Ils instrumentalisent politiquement ou intellectuellement. Le scandale concernant Michel Houellebecq en est un exemple. Pour certains l’idéologie politique est devenue une foi.
– La mort : nous savons tous à un âge de réflexion que nous allons mourir. Même si certains sont prêts à tuer et mourir à cause de leur ego ou leur foi. D’autres : les pompiers, forces de l’ordre, les militaires sont prêts à mourir pour sauver la vie des autres, etc. Eros et Thanatos, la pulsion de vie, la pulsion de mort restent les forces psychiques les plus puissantes capables de diriger nos pensées et actes. En de belles ou de fanatiques raisons.
– L’argent : un adage promet que « Peine d’argent n’est pas mortelle ! » Volonté, force est de constater que de tels adages deviennent de plus en plus stupides dans une société qui souffre. L’argent, telle la reconnaissance identitaire, chacun sa foi en la vie et le plaisir de vivre demeurent essentiels sur le socle d’une existence saine. Après le « Troc » L’argent est devenu le premier moyen, objet d’échange avec l’autre. Sa force symbolique est interprétable à différents degrés. Mais la valeur de l’argent est source de conflit quand on ne se sent pas exister et vivre lors de grosses difficultés qui engendrent vols, chantages, agressions, systèmes mafieux, etc.
– Le plaisir : il ne se vit qu’à travers une pulsion classique et non pathologique qui engendre un désir, une satisfaction réussie. Il rejoint le narcissisme, la foi en soi et l’autre, l’argent nécessaire à vivre et se faire plaisir. Le plaisir de vivre, des autres, sans envie, du travail et parvenir à gérer ses frustrations, les épreuves de la vie dont certains d’entre nous seront lus ou moins épargnés. Ces 5 « fondamentaux » se vivent consciemment et inconsciemment, s’entremêlent, tentent de s’équilibrer afin de ne pas créer de dysharmonie psychique et des conflits engendrant aigreurs et passages à l’acte. La haine peut en naître, par défaut de se ressentir être le plus « accompli » d’autant plus après plus de 2 années de pandémie, où nous avons vu une explosion de troubles psychiques, violences conjugales, difficultés affectives, vivre seul, sans oublier les étudiants.
Ce que confient vraiment les super riches de la planète à leur « thérapeutes de la fortune »
En 2022 nous vivions en enfer, sous le proie des flammes diaboliques de ce monde. Comment renaître de nos cendres ? Le feu d’artifice qui mondialement met en scène d’une année à l’autre, ce que nous allons revivre en France, donne une lueur d’espoir symbolique : celle du Phénix !
En 2023 :
Nous ne pourrons pas oublier l’enfer de l’Ukraine mais aussi d’autres pays. Nous ne pourrons pas oublier l’enfer qu’a pu subir la pauvre petite Lola. Nous ne pourrons pas oublier l’enfer qui tentera à nouveau de faire trembler notre monde. Nous ne pourrons pas oublier…Mais…
Comme depuis le Néolithique on commençait à enterrer nos morts de manière rituelle, il nous faut ne pas céder aux voix obscures de ceux qui veulent diviser notre société, et nous devons donc enterrer nos rancoeurs, nos haines, en pansant nos plaies et surtout en les pensant… car ne pas trouver le sens de ce qui nous arrive à travers ce monde impitoyable, mais aussi au sein de notre beau pays qu’est la France, n’aboutirait à rien. Nous avons dépassé les guerres, oser écrire de manière provocante que certains regrettent Vichy et ses extrémistes en recherche de fausses figures paternelles, perdus dans la mauvaise foi et la propagande d’une espérance qui n’est qu’une chimère loin d’une saine utopie.
L’utopie : construction d’un monde meilleur, c’est tendre et vivre l’agapè, l’amour universel que nous avons perdu et que nous devons retrouver. Pas le chaos ni la mort. Il suffit d’observer et vivre de ne pas recevoir le bonjour d’un inconnu, le retour d’un sourire, un soutien pour tirer des conclusions qui doivent nous faire réagir. Conclusion, au-delà la métaphore diabolique risquée, n’a de cesse de penser que notre monde réel, rationnel, raisonné va gagner face à la folie de notre monde, face à ces Hommes qui détruisent nos relations et notre monde. 2023 en est l’occasion, en renaissant des épreuves vécues depuis 2020, mais également des siècles. Ce n’est pas une coupe du Monde éphémère qui crée la matrice de ce que l’humain doit retrouver et reconstruire.
Goethe l’écrivait très bien dans son Faust : « Nous sommes responsables de nos actes… à nous d’en mesurer les conséquences ! »
L’autre, la santé, la politique, l’environnement. A nous, collectivement en union, non en désunion et combats clivants et violents, de faire en sorte que 2023 soit l’année des résolutions les plus humanistes qui affirmera que NON, Satan ne conduit pas le bal !
Le Panda
Patrick Juan
Le ministre du Travail Olivier Dussopt a été interpellé lundi par un député issu du groupe La France insoumise, Aurélien Saintoul, qui l’a accusé d’être un « imposteur » et un « assassin ».
Cette accusation a aussitôt provoqué une suspension de séance à l’Assemblée lors de débats déjà houleux sur les retraites.
Le député LFI Aurélien Saintoul a accusé lundi le ministre du Travail Olivier Dussopt d’être un « imposteur » et un « assassin », provoquant aussitôt une suspension de séance à l’Assemblée lors de débats déjà houleux sur la réforme des retraites.
Aurélien Saintoul a reproché au ministre d’avoir « menti » sur le nombre de morts au travail, en le taxant également de « félonie ».
Des cris ont retenti et Olivier Dussopt a quitté l’hémicycle durant la suspension, a constaté l’AFP.
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Le constat ne se limite pas à ce stade, il y a bien des erreurs pour être modeste à ne jamais prononcer, par rapport aux emblémes de la France (nldr)
Le député LFI présente ses excuses au ministre.
La séance a repris près de 30 minutes plus tard avec des applaudissements à l’égard du ministre. Aurélien Saintoul a ensuite présenté des « excuses publiques » après des « mots déplacés ». «
J’ai commis une erreur », en raison de « la fatigue » et de « l’émotion », a-t-il plaidé.
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« J’ai toujours considéré que la violence, qu’elle soit physique, verbale, symbolique, n’avait aucune place dans la vie politique (…).
J’entends vos excuses, elles ont le mérite d’être présentées et elles permettent au débat de se poursuivre, mais vous comprendrez qu’être traité d’assassin ne se pardonne pas », a réagi Olivier Dussopt.
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En contre partie: (ndlr) combien de Minsitres ont menti et volé la France donc le peuple de la nation France.
Les deux situations sont inadmissibles…..
Dussopt traité d' »assassin »: Ciotti annonce qu’il soutiendra des sanctions au prochain bureau de l’Assemblée.
Après avoir écopé d’un rappel à l’ordre avec inscription au procès-verbal pour avoir notamment qualifié le ministre du Travail Olivier Dussopt d' »assassin », le député LFI Aurélien Saintoul pourrait faire l’objet de nouvelles sanctions.
La majorité va en effet demander mardi lors de la conférence des présidents de l’Assemblée nationale.
De son côté le président des Républicains Éric Ciotti, également député, a indiqué sur Twitter qu’il « soutiendra des sanctions au prochain bureau de l’Assemblée nationale ».
Affirmations spécieuses.
Ce fut le cas sur le sort réservé aux femmes, avec un Franck Riester, ministre des Relations avec le Parlement, qui a mis le feu aux poudres en disant la vérité avant de se reprendre devant le tumulte que cela a provoqué.
Il a depuis été établi sans que cela soit contestable que les femmes ne sont pas des «gagnantes» de la réforme, bien au contraire.
Le gouvernement a beau affirmer de façon spécieuse qu’elles continueront à pouvoir partir plus tôt que les hommes, le texte actuellement en débat au Parlement vient déprécier leur situation par rapport aux hommes, au terme de carrières déjà moins rémunératrices et surtout plus hachées.
Marlène Schiappa a été particulièrement grossière sur le sujet.
Sur un autre élément (de langage) central, celui de la retraite minimum à 1 200 euros, le gouvernement s’est pris les pieds dans le tapis en place publique.
Dans une séquence qui a clairement mis au jour sa volonté de déformer le réel pour tromper son monde, ajoutant une forme de grossièreté morale à la défense d’un texte d’une grande dureté car il ne fait pas peser équitablement les efforts sur toutes les catégories de la population.
En martelant de façon assez flou qu’un grand acquis de cette réforme concernait les petites retraites avec la mise en place d’une retraite minimum de 1 200 euros, la plupart des Français ont légitimement compris qu’il n’y avait de note de bas de page restreignant drastiquement cette perspective aux seuls salariés ayant effectué une carrière complète au smic et qu’elle concernerait tous les retraités les plus paupérisés.
Sur le papier, difficile de ne pas applaudir ce progrès.
«Quand c’est flou c’est qu’il y a un loup»
Or ces derniers jours, les interventions de l’économiste Michaël Zemmour, dans la matinale de France Inter puis dans Quelle époque ! sur France 2, ont achevé de révéler la supercherie gouvernementale, que de nombreux articles de presse, notamment dans Libération, avaient pourtant déjà pointée du doigt sans que les intervieweurs politiques ne s’en saisissent.
Dans Questions Politique dimanche sur France Inter, le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, a été confronté à ses déclarations sans arriver à s’en dépêtrer.
La maxime «Quand c’est flou c’est qu’il y a un loup» a pris tout son sens et sur les plateaux, les membres du gouvernement sont aujourd’hui obligés d’essayer de faire croire qu’on les avait en fait mal compris.
Disons plutôt qu’ils n’avaient pas dit la vérité en comptant sur la technicité du sujet pour ne pas être contredit.
C’est loupé.
On s’en souvient, avant l’arrivée du texte à l’Assemblée, la pédagogie de la réforme devait permettre au gouvernement de convaincre de la justice de son projet.
Comme si les Français s’opposaient massivement à un texte qu’ils n’avaient pas compris.
C’est tout l’inverse qui s’est produit. Non seulement les Français avaient fort bien compris, mais ils ont depuis découvert que certains points avaient été volontairement masqués.
Tout cela ne peut que nourrir une colère qui ne faiblit pas et altérer encore un peu plus la déjà très faible confiance à l’égard du pouvoir.
Ajouter le mensonge à l’injustice, c’est exactement ce qu’il ne fallait pas faire.
Demander des efforts aux Français exige au moins de les assumer avec transparence et surtout avec honnêteté.
Ce n’est pas le cas.
Les habitants et les associations du quartier de la Gauthière, à Clermont-Ferrand, alertent depuis dix ans sur les dérives d’un quartier en proie au trafic de drogue et théâtre de plusieurs séries de coups de feu, les derniers ce lundi 13 février ayant fait trois blessés.
« Les gens sont atterrés par la tournure et la multiplication des événements comme les coups de feu de ce lundi. Ils aimeraient retrouver la sérénité de leur quartier « , résumait, ce lundi, Patrick Dumas, président du comité de quartier de La Gauthière qui rassemble une centaine d’habitants.
J’ai connu ce quartier des le début des années 70, période de plein emploi.
C’était des immeubles aux appartements confortables. Pas ou si peu d’incivilités…
Tout a bien changé au gré de l’évolution de la société. Les choix politiques et économiques ont plongé une large part de la population dans la pauvreté et la précarité, ouvrant grande la porte de la délinquance.
Nous ne sommes pas prêts d’en voir le bout…
Le problème c’est que c’est souvent des mineurs donc pas de prison
Je suis de l’avis de Maurie , je rajoute une petite phrase (est dire que le français a plus de moyens pour mangé ) !!!!
Ils sont connus des services de police mais ils sont toujours dehors !
A quand va t on construire des prisons et changer les lois judiciaires dans ce pays !
S’il y a de plus en plus de dealers c’est qu’il y a de plus en plus de consommateurs.
Les règlements de compte sont là pour montrer que menacer les vendeurs mais montrer de la clémence pour les consommateurs ne sert à rien.
Sur ce sujet, Bianchi ne peut rien faire contre les consommateurs comme les vendeurs.
Le seul qui devrait agir est Wauquiez qui au niveau des lycées peut passer des messages de santé public.
Mais cela se semble pas l’intéresser.
Facile de parler on en arrête 10 il y en a encore plus qui ressortent , ça se multiplient et ça polluent dans la ville , avez vous des solutions à donner à Mr le Maire de Clermont Ferrand je pense qu’il serait partant
Sandra lacouverturemegratte a répondu le 13 février 2023 à 18h30Si vous leur donnez des amandes, ils vont les manger.
Marguerite la fleur a répondu le 13 février 2023 à 18h10gto dans les forces de l’ordre il y a aussi des corps d’armée les gendarmes et gardes mobiles pourquoi ne pas les mettre en surveillance durant des semaines ça servira peut être à éviter de voir des dealers et consommateurs qui eux viennent de jour comme de nuit acheter leurs cames ce qu’il faut c’est en arrêter un maximum les condamner et faire payer ça les calmera pendant un certain temps
Ogto a répondu le 13 février 2023 à 17h31.
Mettre l’armée pendant un bon moment… pas comme la police qui ce positionne pendant 3 jours et que après terminer…. Le seul problème c’est que l’armée n’a pas le pouvoir de déontologie donc cela ne servirait aussi à rien… donc pour moi pas de solution, la partie est déjà terminée, c’est beaucoup trop tard pour faire quoi que ce soit.
Mauri a répondu le 13 février 2023 à 16h28Ne pensez vous pas que s’il n’y avait pas de clients il n’y aurait pas de trafic ?
Moi si.
Il faut coller des grosses amandes aux consommateurs chaque fois qu’ils viennent de se procurer de la drogue En frappant au portefeuille et en considérant que c’est un délit on les fera réfléchir.
Au lieu de cela on joue au chat et à la souris avec les dealers
Et l’on ne sait rien des « malheureuses victimes » ?
Ménagères de 50 ans ?
concurrents du même trafic ?
dans le deuxième cas, les victimes d’aujourd’hui seront soignées, remises en liberté, et deviendront les tireurs de demain …. et la vie continue …. sauf pour ceux qui risquent d’être éliminés.
Aprés???? Rien, comme d’habitude….
Le maire, dépassé par cette ville dans la ville, ne maitrise plus rien…
Gx424 a répondu l?
63 Combrailles a répondu le 13 février 2023
Vous connaissez beaucoup de villes ou le maire maitrise le trafic de drogue ?
11 interpellations et ensuite ?
L’Assemblée nationale a repris ce lundi après-midi l’examen tumultueux de la réforme des retraites, sous la pression de la rue et des syndicats, qui agitent la menace d’une « France à l’arrêt » le 7 mars.
Une phrase a suffi à déclencher la polémique.
« C’est la République française qui a aboli l’esclavage », a déclaré le ministre de l’Intérieur Gérald Darmain.
Cette affirmation factuelle est formellement exacte.
Occulte-t-elle pour autant les combats menés par les esclaves des plantations pour arracher leur liberté comme l’ont dit des députés à l’Assemblée ?
Pas de quoi fouetter un chat sauf pour la députée de la Réunion Karine Lebon qui, le lendemain, à l’Assemblée, a affirmé au ministre que « si l’évolution juridique de l’esclavage a été autorisée par le pouvoir, c’est la lutte et le combat des esclaves qui ont rendu leur libération inévitable ».
Son collègue Perceval Gaillard a surenchéri en qualifiant les propos ministériels de « révisionnistes et paternalistes. »
Les deux propositions ont chacune une part de vérité.
Mais elles n’ont pas leur place dans le débat politique, qui plus est à l’Assemblée nationale.
Celle-ci se doit de réunir la communauté nationale autour des enjeux qui concernent les Français de toutes origines et de tous âges : justice sociale, conditions de vie et environnement, souveraineté nationale, liberté d’expression, etc., etc.
La République a aboli l’esclavage :
De fait, c’est un régime républicain qui, à deux reprises, a proclamé l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises.
La première fois, ce fut le 4 février 1794, par le décret du 16 Pluviôse An II, en pleine Terreur, sous la dictature du Comité de Salut public et de Robespierre, alors que le pays était envahi par une première coalition européenne et agité par de multiples soulèvements royalistes.
Voté dans l’enthousiasme, le décret énonce : « La Convention déclare l’esclavage des nègres aboli dans toutes les colonies ; en conséquence, elle décrète que tous les hommes, sans distinction de couleur, domiciliés dans les colonies, sont citoyens français et jouiront de tous les droits assurés par la Constitution. »
C’est une première dans l’Histoire universelle !
Du fait des troubles de l’heure, le décret de Pluviôse ne sera en définitive appliqué qu’en Guadeloupe et à la Guyane avant d’être remisé par le Premier Consul Bonaparte le 20 mai 1802 par le décret du 30 Floréal An X.
La Seconde République a plus de chance.
Le roi Louis-Philippe Ier ayant été renversé le 27 février 1848, le gouvernement provisoire proclame le principe d’abolition sans attendre, dès le 4 mars.
Ce même jour, il constitue une commission pour rédiger et mettre en œuvre le décret afférent.
Réforme des retraites : la gauche annonce retirer « un millier d’amendements » à l’Assemblée.
Pour avancer dans l’examen de la réforme des retraites, la Nupes a décidé de retirer un millier d’amendements.
Il en reste encore plus de 14 000.
Un petit geste pour avancer plus vite. La coalition de gauche Nupes a annoncé lundi 13 février au soir retirer « un millier d’amendements » pour avancer dans l’examen de la réforme des retraites, alors que le camp présidentiel ne cesse de dénoncer « l’obstruction ».
La gauche espère terminer dans la soirée l’article 2 sur « l’index senior », un indicateur pour inciter les entreprises à employer les salariés âgés. La Nupes avait commencé à enlever des amendements avant l’appel de la Première ministre Élisabeth Borne de « retrait » des amendements « d’obstruction ».
Il restait encore plus de 14.000 amendements au compteur après l’annonce de la Nupes.
« Les Français méritent mieux », avait déclaré la Première ministre à l’AFP, en demandant que « les débats se tiennent sur le fond et non pas dans l’invective ».
La cheffe du gouvernement s’exprimait après un nouvel incident au Palais Bourbon.
Le député insoumis Aurélien Saintoul a mis le feu aux poudres, en qualifiant le ministre du Travail Olivier Dussopt « d’assassin » et « d’imposteur » lors d’une intervention sur les morts au travail.
Médecins en grève : «Des officiers de santé pour les pauvres et de vrais médecins pour les riches ?
Moi vivant, cela n’arrivera pas»
Le président de la Confédération des syndicats médicaux français, Franck Devulder, détaille les raisons de la colère des praticiens, appelés à fermer leur cabinet ce mardi.
Sale temps pour le gouvernement.
Deux jours avant la manifestation contre la réforme des retraites, jeudi, la situation dégénère sur le front de la santé.
Ce mardi, tous les syndicats de praticiens libéraux et d’internes, et même, c’est une première, le conseil national de l’ordre des médecins, appellent les praticiens à fermer leurs cabinets et à descendre dans la rue pour crier leur «colère» contre le «démembrement» de leur profession.
Alors qu’ils s’étaient gardés de soutenir l’appel à la grève lancé en janvier pour une revalorisation de la consultation de base à 50 euros,
les deux principaux syndicats représentatifs des praticiens de ville, la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) et la Fédération des médecins généralistes, sont cette fois en première ligne.
Objectif : obtenir le retrait de la proposition de loi Rist, votée en première lecture par l’Assemblée le 19 janvier, et dont le Sénat entame l’examen, ce mardi 14 février.
Pour les syndicats, pas question de laisser passer ce texte qui ouvre l’accès direct des patients à d’autres professionnels de santé, comme les infirmières en pratique avancée, alors que les négociations conventionnelles en cours avec l’assurance maladie sont enlisées.
Face à la pression, une autre proposition de loi visant à mieux réguler l’installation des médecins, déposée par l’ex-député Thomas Mesnier et portée par l’ex-patron de la Fédération hospitalière de France Frédéric Valletoux, a été retirée lundi in extremis.
Trop tard. Pour le docteur Franck Devulder, président de la CSMF et gastro-entérologue, «la coupe est pleine».
Depuis le 1er décembre, c’est la troisième fois que les médecins sont appelés à fermer leur cabinet. Alors que nombre de Français peinent déjà à accéder aux soins, n’avez-vous pas peur de l’impopularité de votre mobilisation ?
C’est un risque bien sûr. Mais cet appel à la grève est un cri du cœur de l’ensemble de la profession.
A la différence des mouvements précédents, on ne mobilise pas pour une hausse du tarif de la consultation, point qui devra être réglé dans le cadre des négociations conventionnelles en cours avec la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam).
Notre objectif est de dissuader le Parlement d’inscrire dans la loi des dispositions qui vont porter atteinte au droit de tous les citoyens à une médecine de qualité.
C’est très exactement ce à quoi va aboutir la proposition de loi Rist. Ce texte prévoit en effet d’ouvrir l’accès direct aux infirmières en pratique avancée, aux kinés et aux orthophonistes, sans consultation médicale préalable.
C’est inacceptable : seuls les médecins sont suffisamment formés pour poser des diagnostics et proposer une thérapeutique.
Dans l’état actuel de la législation, on pourrait porter plainte pour exercice illégal de la médecine !
Compte tenu de la pénurie inquiétante de médecins dans nombre de territoires, n’est-ce pas au contraire une proposition raisonnable, à même de rassurer une partie de la population qui n’a aujourd’hui tout simplement plus accès aux soins de ville ?
Non. On ne peut pas cautionner l’instauration d’un système de santé à deux vitesses, avec d’un côté des Français déshérités ou situés en zone périphérique, qui n’auraient plus accès qu’à des officiers de santé et de l’autre des Français plus aisés qui pourraient consulter de vrais médecins.
Ce serait une rupture dans l’égalité des chances et de traitement des patients.
Moi vivant, cela n’arrivera pas. Ce n’est pas la bonne réponse aux actuelles difficultés d’accès aux soins.
La bonne réponse, c’est de donner les moyens aux médecins de couvrir les besoins de santé des citoyens de leur territoire, en libérant du temps médical.
L’ordre des infirmiers vous accuse de diffuser des informations erronées pour disqualifier les infirmières en pratique avancée…
Plus que l’intérêt général, les médecins ne défendent-ils pas d’abord des intérêts corporatistes ?
Absolument pas.
Entendons-nous bien : j’ai un profond respect pour les infirmières en pratique avancée dont je connais les compétences.
Mais leur niveau d’étude n’est pas celui d’un médecin.
Si l’accès direct et la primo-prescription leur sont ouverts, ce ne peut être que dans le cadre d’un exercice coordonné par un médecin et protocolisé dans un bassin de population donné.
En clair, ça ne peut être envisageable que si on définit au préalable les tâches qui peuvent leur être déléguées dans le cadre d’un parcours de soins piloté par un médecin, quand les besoins de santé du territoire l’exigent.
Les spécialistes que vous représentez, ne combattent-ils pas surtout l’amendement introduit par le gouvernement dans la proposition de loi Rist qui étend la responsabilité d’assurer la permanence des soins en ville (les gardes de nuit et de week-end) à tous les praticiens d’un territoire et plus seulement aux généralistes ?
C’est vrai, cela effraie les médecins libéraux.
Je ne vois pas l’intérêt de demander à tous les médecins d’être disponibles pour faire des gardes.
Selon le conseil national de l’ordre, la permanence des soins est assurée sur 95 % du territoire grâce aux volontaires.
Il y a en plus pas mal d’hypocrisie là-dessous : ces dernières années, ce sont les Agences régionales de santé qui ont supprimé les permanences en nuit profonde mises en place par les spécialistes de beaucoup de cliniques, au prétexte qu’il n’y avait pas assez d’appels [de patients].
En réalité, la participation à la permanence des soins est un faux problème. Le vrai problème pour un patient, c’est d’obtenir rapidement un rendez-vous médical en journée.
Justement, n’est-il pas temps de mieux réguler l’installation des médecins sur le territoire, comme le préconisait la proposition de loi Mesnier-Valletoux avant son retrait lundi ?
Ce serait le comble de la bêtise.
Vouloir réguler la profession par la force, alors qu’il manque des médecins partout, ça ne fera que dissuader un peu plus les jeunes praticiens de s’installer.
Par ailleurs, inscrire cette proposition au calendrier parlementaire en pleine négociation conventionnelle frise la provocation.
Ça ne fait qu’attiser la colère.
Et la coupe est pleine.
Mais ces offensives parlementaires ne sont-elles pas la conséquence de la décision des syndicats de suspendre les négociations avec la Cnam ?
En réalité, les négociations ont repris début février en bilatéral.
La Cnam nous a alors annoncé qu’elle prévoyait de porter à 26,50 euros la consultation de base, soit une revalorisation de seulement 1,50 euro alors que le tarif est gelé depuis cinq ans.
Pour les médecins, c’est inacceptable.
Le ministre de la Santé, François Braun, parle de «point de départ».
Dont acte. A la CSMF, on ne réclame pas comme d’autres que la consultation soit portée à 50 euros.
On pense que 30 euros est un tarif raisonnable mais qu’il convient aussi de mieux valoriser les consultations complexes ou très complexes.
Mais la Cnam voudrait en contrepartie que les médecins signent un contrat d’engagement individuel, imposant aux médecins d’augmenter leur patientèle mais aussi la fréquence des consultations.
C’est hors de question.
Les médecins libéraux veulent bien s’engager à couvrir collectivement les besoins de santé de leur territoire, mais pas se voir imposer des contraintes à titre individuel.
Vu l’érosion du nombre de médecins en activité, comment faire pour couvrir des besoins de santé qui s’accroissent avec le vieillissement de la population ?
Ce n’est possible qu’à condition de libérer du temps médical.
Les simplifications annoncées le 8 février par François Braun, sur les demandes de certificats médicaux, vont dans le bon sens.
L’aide de la Cnam pour embaucher des assistants médicaux aussi.
Mais le gouvernement n’a prévu de financer que 10 000 créations de postes d’assistants médicaux alors qu’il y a 120 000 médecins en activité.
C’est clairement insuffisant.
Les syndicats ont jusqu’au 28 février pour toper avec la Cnam sur la prochaine convention.
Que se passera-t-il s’il n’y a pas d’accord ?
Ce serait un échec cuisant pour les deux parties.
Un arbitre serait alors chargé d’élaborer, sans négociation, les règles pour les cinq ans à venir.
S’il en reste à la convention actuelle, l’accès aux soins ne s’améliorera pas.
Mais s’il en change unilatéralement le contenu, tout risque d’exploser.
Si on ne rétablit pas une écoute raisonnable pour trouver un point de passage d’ici fin février, les déceptions vont se radicaliser.
La situation peut devenir incontrôlable.
Une organisation syndicale menace déjà d’enclencher un mouvement de déconventionnement massif, ce que personnellement je n’approuve pas. Mais il suffit que 20 % des médecins d’un territoire suivent pour que l’égalité d’accès aux soins soit gravement compromise.
On ne peut pas se payer ce luxe.
La proposition de loi de la discorde.
C’est l’étincelle qui a mis le feu aux poudres. Portée par la rapporteuse de la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, Stéphanie Rist, la proposition de loi examinée par le Sénat ce mardi vise à améliorer l’accès aux soins dans un contexte de progression des déserts médicaux.
L’idée ?
Permettre aux Français de consulter directement, en étant remboursé par la Sécu, les infirmières en pratique avancée, masseurs kinésithérapeutes, et orthophonistes.
Selon des modalités qui seront fixées ultérieurement par décret, ces professionnels de santé seront autorisés à primoprescrire des médicaments pour peu qu’ils s’inscrivent dans un «mode d’exercice coordonné» : établissements de santé, maisons médicales pluriprofessionnelles mais aussi communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS).
Or là, le bât blesse : les CPTS, outil d’organisation des acteurs de santé au niveau d’un territoire, ne garantissent aucunement aux yeux de médecins la sécurité des parcours de soins individuels.
Un amendement déposé par le gouvernement en première lecture à l’Assemblée a porté l’irritation à son comble.
Il prévoit que la participation à la permanence de soins (les gardes de nuit et de week-end), à l’hôpital comme en ville, relève d’une «responsabilité collective».
En clair, en cas de besoin, aucun médecin, généraliste ou spécialiste, ne pourrait plus y couper. Sensible au tollé des praticiens, la commission des affaires sociales du Sénat s’est employée à détricoter le texte : sur l’accès direct aux professions paramédicales comme sur la permanence des soins ambulatoires, c’est machine arrière.
Les députés, qui ont toujours le mot de la fin, pourront rétablir la copie initiale en seconde lecture.
A moins que la météo sociale ne les en dissuade…
Les discussions à l’Assemblée sur le projet de loi reprennent ce lundi et doivent se terminer vendredi. L’un des enjeux est la discussion sur l’article 7, qui acte le passage de l’âge légal à 64 ans.
La course contre la montre pour le vote de la réforme des retraites s’engage cette semaine. En effet, les débats à l’Assemblée nationale doivent se terminer ce vendredi et beaucoup s’interrogent sur l’adoption de l’article 7 qui est au coeur du texte.
Mais au fait, de quoi s’agit-il? Concrètement, cet article modifie le code de la sécurité sociale et acte le report de l’âge légal de départ à la retraite.
On peut ainsi lire « le nombre: « soixante‑deux » est remplacé par le nombre: « soixante‑quatre » », 62 ans étant l’âge de départ aujourd’hui effectif, 64 ans étant celui proposé par le gouvernement pour la réforme.
La modification ajoute que ce report se fera « de manière croissante, à raison de trois mois par génération ».
2 articles sur 20 adoptés pour le moment.
Ce lundi, seulement deux articles sur 20 ont été adoptés par les députés. Noyés sous les 15.800 amendements restants essentiellement déposés par la Nupes, la question est de savoir si les députés auront le temps de débattre de cet article qui cristallise pourtant toutes les oppositions avant que le texte ne file au Sénat.
La possibilité, faute de temps, d’une absence de débat autour de cet article inquiète et ulcère les syndicats mais aussi le gouvernement.
« Il faut que l’article 7 soit mis en débat car c’est de cela que les gens parlent dans la rue », souligne Laurent Berger, Secrétaire général de la CFDT.
« Nous souhaitons que chaque député puisse s’exprimer sur ce fameux article parce que, dans le cas contraire, des députés pourraient dire.
Comme il n’y a pas eu de vote, je n’ai jamais voté pour l’allongement de l’âge de la retraite’.
Il faut que chacun prenne ses responsabilités », a poursuivi le secrétaire général.