France Déluges ou Apocalypse à la rentrée 2022 : divers domaines
France Déluges ou Apocalypse à la rentrée 2022 : divers domaines

Selon Mickael BARRY, l’expert financier, il faut s’attendre à un krach boursier « aux proportions bibliques » ! Le tout est de savoir si c’est du côté du « Déluge » ou de celui de « l’Apocalypse » !
Le Déluge désigne une très ancienne inondation catastrophique causée par des pluies diluviennes et continues durant sept ou quarante jours, selon les versions. Surtout connu par le récit de l’Arche de Noé dans la Bible, ce mythe est présent dans de nombreuses cultures.
Pour de nombreux spécialistes, il ne s’agit pas de savoir si une bulle financière va éclater mais quand ! Le déclencheur semble incertain, tout le monde hésite. L’inflation grandissante ? La flambée mondiale des prix de l’immobilier et des matières premières ? L’évolution du virus ? Ces trois facteurs déclenchant possibles sont aujourd’hui recensés.
De plus, depuis le début de la crise sanitaire, les états ont injecté plus de 24 000 milliards de dollars dans les économies. Cet afflux de liquidités est complètement déconnecté de toute réalité économique. Plusieurs secteurs industriels ou de services ne produisent plus depuis de nombreux mois. Afin d’éviter les conflits sociaux, on injecte des aides sociales à tout va. Résultat : il est préférable d’encaisser les aides que de trouver du travail ! On ne trouve pas de main d’œuvre dans le secteur de l’hôtellerie et de la restauration ou pour les cueillettes de fruits et de légumes. Et ce, même aux USA !
L’inflation frappe à notre porte et la réaction en chaîne qui en découle est la suivante : hausse des prix des matières premières (pétrole, bois, métal, second œuvre du BTP…) donc hausse des coûts de production, donc forte baisse de la rentabilité, donc inflation répercutée sur les prix, donc obligation d’augmenter les salaires, donc les Banques centrales devront augmenter les taux « directeurs », donc risque de récession !
Finalement, la bourse va nécessairement chuter. La semaine dernière, elle a déjà cédé quatre points ! Prémices ? Les ordinateurs ont gardé en mémoire que le risque inflationniste, durant le XXème, a mené aux guerres.
Conséquence : on préfère le chômage à l’inflation. Le problème, c’est que si la stagflation (accumulation du chômage et de l’inflation) semblait impossible, elle se profile déjà et les solutions pour combattre cette situation ne sont pas envisagées.
Les soi-disant bons résultats économiques annoncés par Bruno LE MAIRE constituent des manipulations verbales, juste pour faire croire que tout va bien. Les taux de croissance annoncés (PIB et chômage) se situent après les chutes vertigineuses de 2020 ! Dans une très forte proportion, les embauches concernent dans 80 % des cas de l’intérim.
En 2020, le dispositif pour éviter les faillites n’est qu’un écran de fumée. On estime à 25 % la hausse des faillites d’entreprises. De plus, avant la crise sanitaire de 2020, de nombreuses sociétés n’étaient déjà plus viables. Ces mêmes entreprises se sont lourdement endettées. Le non-remboursement des dettes et le défaut de paiement des fournisseurs provoqueront un effet domino et son cortège de faillites incontrôlables. La France n’a plus aucune marge de manœuvre pour financer un nouveau confinement.
L’IFRAP a chiffré le coût du premier confinement à 16 milliards d’euros par semaine ! Dans le même temps, la dette publique s’envole à 118,20 % du PIB. On peut penser que si l’Etat refuse un nouveau confinement, ce sera surtout pour des raisons économiques : l’économie primera désormais sur la santé des Français !
La politique du « ça coûtera ce que ça coûtera » fut une des plus mauvaises « bonnes solutions » voulue par le locataire de l’Elysée. On raisonne à court terme, sans aucune stratégie à long terme et surtout aucune anticipation. Si François HOLLANDE avait déjà bien amorcé le développement de l’endettement grâce, ou à cause, des taux d’intérêts négatifs, Emmanuel MACRON n’a fait qu’amplifier le phénomène. Avec des taux revenus au niveau positif, la France sera en état de « faillite » !
Une crise sanitaire qui est loin d’être endiguée…
Avec une moyenne de plus 20 000 contaminés, et parfois jusqu’à cent morts au quotidien, la COVID-19 et son cortège de variants sévissent en France et sur toute la planète. Les informations statistiques informent de tout et de son contraire sauf pour une chose : le fait d’être vacciné atténue fortement les effets d’une contamination, évite dans la majorité des cas des hospitalisations et mises en réanimation.
Cela dit, les avis des experts, médecins, spécialistes, personnels soignants, sèment la confusion auprès du public et les interventions de l’Etat et des politiques de tout bord, n’apparaissent que comme des manipulations à des fins électoralistes ! Il est évident que nous devrons vivre avec des virus virulents pendant de nombreuses années encore : cette situation est déjà arrivée dans l’histoire de l’humanité.
Covid, bruits de guerre : 2022, l’année de tous les dangers pour la France… et le monde ?
La France a redécouvert la semaine dernière que l’hôpital était au bord du gouffre (pour ne pas dire déjà en train de tomber) lorsque les médias nationaux ont relayé que les urgences du CHU de Bordeaux étaient depuis le 18 mai fermées pendant la nuit, et que l’accueil était désormais assuré dans la soirée par des bénévoles. Au-delà de Bordeaux, la situation est tout aussi critique : les associations de professionnels hospitaliers estiment qu’environ 20 % des établissements publics et privés hébergeant au moins un service d’urgence, dont 14 des 32 hôpitaux français les plus importants, ont été forcés de limiter leur activité ou s’y préparent. Cela se traduit par des fermetures de nuit, des transferts vers d’autres hôpitaux ou des entrées conditionnées à une prise en charge par le Samu.
À Chinon, petite sous-préfecture, les urgences mais aussi la maternité sont entièrement fermées depuis le 17 mai, de jour comme de nuit. Si cette fermeture totale est temporaire, la date de réouverture n’a pas été annoncée, et pour cause : 21 des 22 personnes du service sont en arrêt maladie, épuisées physiquement et psychologiquement par une cadence intenable. En effet, le manque d’effectifs s’est encore aggravé avec le Covid, entre ceux qui n’ont pas réussi à tenir le coup, ceux qui ont été suspendus, et ceux qui ont préféré démissionner plutôt que de se faire inoculer un vaccin encore en phase expérimentale. Les patients et les femmes enceintes sont donc redirigés vers les hôpitaux de Saumur et de Tours. En plus de renforcer la désertification médicale des campagnes, cela va augmenter la tension des services vers lesquels sont redirigés les patients, ce qui pourrait conduire à un effet domino et l’épuisement de nouveaux soignants.
La levée de l’obligation vaccinale pour le personnel de santé
Tout cela alors que la période estivale n’a pas encore commencé et que l’hôpital n’est pas encore mis sous pression par les congés des soignants. Que se diront les millions de touristes qui viendront visiter notre beau pays lorsqu’ils se rendront compte que le pays qui avait le meilleur système de santé publique il y a vingt ans ne peut plus les soigner convenablement ?
Il est incompréhensible, qu’après l’épidémie de Covid-19 qui a mis en exergue l’abandon du système hospitalier et malgré toutes les promesses faites par les dirigeants politiques, les services de santé soient dans un état encore plus grave qu’avant la crise. Le fameux “Ségur de la santé” présenté par le gouvernement comme la réponse à tous les problèmes (mais dont le but n’était que de repousser la grogne des soignants) a abouti à une augmentation de salaire de 183 euros qui n’a même pas rattrapé la baisse de pouvoir d’achat des vingt dernières années, encore renforcée par l’inflation galopante de ces dernières semaines.
Même si cette revalorisation salariale est nécessaire, il faut sortir de la logique technocratique qui voit cela sous un angle purement statistique et comptable. Les soignants sont avant tout des êtres humains, et comme beaucoup le rappellent, ne sont pas là pour gagner de l’argent mais pour sauver des gens. Pour cela, ils ont avant tout besoin de repos, et donc de moyens humains.
L’une des premières mesures à mettre en place, très simple et qui ne demande aucune nouvelle dépense, est la levée de l’obligation vaccinale pour le personnel de santé et la réintroduction de tous les soignants et autres professionnels non-vaccinés. Il est inadmissible que, de manière purement idéologique, des milliers de personnes soient privées de leur travail et que le système hospitalier soit mis sous-tension, alors que le vaccin n’empêche pas la transmission du virus, et qu’on demande au personnel soignant vacciné de reprendre le travail 4 jours après un test positif au Covid, s’ils n’ont pas de symptômes ! Sur le court terme, il faut également impérativement augmenter la rémunération des gardes de nuit et de week-end, qui ne bénéficient que d’une augmentation d’un euro par rapport au salaire horaire habituel, soit dix euros par nuit, ce qui est ridicule.
L’organisation des services aux mains des médecins
L’organisation des services, la bureaucratie qui règne dans les hôpitaux et la technocratie des ARS, sont également des freins très importants à l’efficacité de notre système de soin. Il faut davantage laisser l’organisation des services aux mains des médecins. La crise du Covid-19 a révélé que lorsque l’administration était dépassée, les médecins ont su répondre à la très grosse charge de manière autonome et indépendante. Elle a également montré qu’une entente et une complémentarité entre l’hôpital public et les soignants du secteur privé étaient possibles et souhaitables.
Le problème de l’hôpital est aussi à prendre en amont : pour éviter l’engorgement des urgences, tous les cas qui peuvent être pris en charge par la médecine de ville doivent l’être. Ainsi, il serait bénéfique de mettre en place une obligation de garde et d’astreinte pour tous les médecins du public et du privé, généralistes et spécialistes, tout en revalorisant la rémunération de ces heures. Sur le plus long terme, il faut absolument augmenter le nombre de places en études de médecine : il est aberrant de briser une vocation et de se priver d’un futur médecin pour un demi-point lorsque nous sommes obligés par manque de moyens humains de faire appel à des médecins étrangers, notamment algériens, tunisiens ou roumains, qui n’ont pas toujours le même niveau et ne possèdent pas tous la langue française et ses nuances, si essentielles dans l’accompagnement des patients.
Pour éviter une catastrophe humaine et sanitaire cet été, j’appelle notre nouveau ministre de la Santé Brigitte Bourguignon à agir le plus rapidement possible, et surtout à initier un retour à un système de santé au service de la personne, où les décisions ne sont pas prises avec des modèles statistiques et des impératifs financiers mais dans le but de bénéficier aux Français.
L’épidémie de Covid-19 semble devenir une histoire sans fin. Avec le pass vaccinal, le gouvernement renvoie sur les Français la responsabilité de qui devrait incomber à l’Etat, l’obligation vaccinale. Le virus n’est pas la seule épée de Damoclès sur 2022. Aux frontières de l’Europe, les bruits de guerre inquiètent les responsables militaires français, dans un monde rendu plus instable avec la rivalité Chine/Etats-Unis.
Inflation : baisse record du pouvoir d’achat des Français en 2022
L’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) évalue à 0,8 % la baisse du « pouvoir d’achat par unité de consommation » cette année, un niveau record « depuis 2013 ».
« En tenant compte des évolutions démographiques, le pouvoir d’achat par unité de consommation se contracterait de 0,8 % en 2022 […], malgré la revalorisation accélérée de 4 % des prestations sociales dès juillet […], une hypothèse de hausse de l’indice de la fonction publique de 2 points cet été et la mise en place d’un chèque alimentaire à l’automne », explique l’OFCE, centre de recherche rattaché à Sciences Po et classé à gauche.
Le gouvernement va faire adopter une aide à l’inflation, qui doit être versée « à la rentrée » aux foyers les plus modestes, a fait savoir mardi sur France Bleu la Première ministre, Elisabeth Borne, devant les difficultés de mise en place d’un chèque alimentation, qui n’est cependant officiellement pas enterré. La perte de pouvoir d’achat constitue la forte chute enregistrée « depuis 2013, année marquée par un choc fiscal de grande ampleur », au début du quinquennat de François Hollande, remarque l’OFCE.
En 2022, les prix vont grimper de 4,9 %, les seuls prix de l’énergie bondissant « de 22 % en moyenne sur l’année », anticipent les économistes qui ont rédigé l’étude. « En raison du choc inflationniste, le pouvoir d’achat des ménages a […] reculé de 1,8 % sur le premier trimestre 2022, l’effet ayant été amplifié par la comptabilisation de la totalité de l’indemnité inflation sur le quatrième trimestre 2021, accentuant le contrecoup de la baisse de revenu en début d’année », selon les auteurs.
Pouvoir d’achat : le chèque alimentaire remplacé par une aide à l’inflation pour les plus modestes
Les boucliers tarifaires et la remise carburant ont atténué le choc
Boucliers tarifaires pour l’électricité et le gaz, remise de 15 centimes hors taxes par litre de carburant : le gouvernement de Jean Castex puis celui d’Elisabeth Borne ont porté des mesures pour atténuer le choc. L’OFCE considère que les « mesures budgétaires spécifiques pour amortir la hausse des prix de l’énergie », ont permis « de réduire l’inflation de 2,1 points en 2022, pour un coût budgétaire estimé à 1 point de PIB ».
Comme lors la mise en œuvre de la formule d’Emmanuel Macron « Quoi qu’il en coûte » face à la pandémie de Covid-19, « La dégradation des comptes publics » a permis de « préserver les comptes privés ».
Sans empêcher une diminution record de la demande. Au premier trimestre, « la consommation des ménages » a dégringolé de 1,5 %, « soit la plus forte baisse depuis plus de 70 ans en dehors de l’épisode Covid de 2020 », rappelle l’OFCE, liant cette tendance au recul du pouvoir d’achat ainsi qu’« aux contraintes générées par la vague Omicron ».
Mesures sur les prix de l’énergie et du carburant : combien ça coûte et qui va payer ?
Ralentissement du rythme des créations d’emplois
L’organisme a révisé à la baisse sa prévision de croissance pour l’année. Selon l’organisme, le produit intérieur brut (PIB) va progresser de 2,4 % sur l’année et non, comme il l’anticipait dans une publication du 25 mai, de 2,7 %. L’économie française était tombée en récession en 2020 (– 7,9 %), puis avait rebondi à hauteur de 6,8 % en 2021. Sa dégradation pénalise le rythme des créations d’emplois. « L’emploi salarié dans le secteur marchand augmenterait de 0,9 % en 2022 puis 0,2 % en 2023, après 3,1 % en 2021 », écrivent les auteurs.
« Bien qu’en net ralentissement à partir du deuxième trimestre 2022, les créations d’emplois seraient suffisantes pour stabiliser le taux de chômage à 7,3 % sur le reste de l’année », ajoutent les économistes. Emmanuel Macron décrivait dans son programme de campagne « le plein-emploi » comme à « portée de main ». Atteindre cet « objectif » risque d’« être difficile », selon des propos d’Eric Heyer, directeur de l’OFCE. Une crise sociale criante qui va s’amplifier…
Le rapport de suivi de la pauvreté dans le cadre de la crise sanitaire a été remis au Premier ministre le 12 mai 2021 par le Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE). Composé de 65 membres (chercheurs, parlementaires, représentants d’associations…), le Conseil assiste le gouvernement dans la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale.
Entre 2020 et 2021, la crise sanitaire a significativement aggravé des situations de pauvreté préexistantes. Tout en poussant des individus vers la précarité. Les classes d’âge, situées entre 18 ans et 44 ans, déclarent une baisse de leurs revenus. Dans ses conclusions, le CNLE identifie particulièrement plusieurs points de fracture sur lesquels peuvent se cristalliser les difficultés :
La crise a conduit à une diminution et parfois à des ruptures d’activité prolongées, notamment pour les travailleurs indépendants, intérimaires ou en contrat à durée déterminée.
La hausse du nombre des bénéficiaires d’aide alimentaire traduit le fait qu’une partie grandissante de la population a du mal à se nourrir.
Les inégalités en matière de conditions de logement sont de plus en plus fortes.
La crise sanitaire rend plus difficile l’accès aux services publics et aux droits sociaux.
Elle révèle des inégalités sociales de santé, en particulier dans l’accès aux soins et l’équipement des territoires.
La crise et les confinements renforcent le sentiment de perte de repères et d’exclusion.
Les jeunes se perçoivent majoritairement comme une jeunesse sacrifiée.
Les situations de violences conjugales ou intrafamiliales ont pu être exacerbées par les conditions de logement.
On meurt toujours de froid en France et les plus pauvres ne semblent pas intéresser la plupart de nos élus !
Il est plus difficile de prévoir que de prédire, les époques de Law et Nostradamus etc. Ne font plus recettes et indéniablement les kébabs remplacent plus d’une fois le repas quotidien. Les brèches touchent pratiquement toutes les corporations sauf ceux qui sont classifiées par Forbes.
Les scandales qui provoquent de l’automédication sans compétence par conséquence, les portes des drogues celles qui font l’oubli de l’instant précis voire dans les moins à venir, nous passons tel du gibier en chasse à Courre.
L’Alaï sera à ce rythme plus que difficile à accepter, même pour la pâleur de survivre, les nantis montent des bastions insonorisés, durant ce temps nous sommes contraints de mener une guerre inégalitaire contre dame nature, alors que supportons les conséquences sans avoir été consultés, ni partie prenante. Il ne reste qu’une forme d’espoir qui se perd dans les brumes, telle une ligne d’horizon soleil au zénith.
Sources diverses – Archives Les Voix du Panda
Le Panda
Patrick Juan
Le Panda 12 juillet 08:45
moderatus, bonkjour
Nous parlons de la même chose, de scandales inommables. Il semble plus qu’indédiable que tels faits ne resteront pas lettre morte longtemps.
Nous sommes plus que jamais à la porte d’une « guerre civile » il suffit si tu veux bien prendre connaissance de : https://www.panda-france.net/france-deluges-ou-apocalypse-a-la-rentree-2022-divers-domaines/ Je suis dans les Pyrénées en soins et pas bien du temps via Internet. J »ai importé ton article hier. Bonjour à tous et bon courage. Je passe en fin de matinée pour connaitre les humeurs.
Bien à toi
Le Panda
Patrick Juan
moderatus 12 juillet 08:48
@Le Panda
Nous parlons de la même chose, de scandales inommables. Il semble plus qu’indédiable que tels faits ne resteront pas lettre morte longtemps.
===================================================
Salut Le panda, soigne toi bien
la FI a des problèmes
Les représentants de la France Insoumise et leurs électeurs ne sont pas d’accord.
Le gouvernement veut expulser « tout étranger » ayant « commis des actes graves » :
Réactions indignées des représentants de la gauche,
leurs électeurs y sont majoritairement favorables
88% des Français se déclarent favorables (dont 56% même « très favorables ») à l’expulsion des étrangers criminels à la fin de leur peine en France Ce chiffre atteint 86% parmi les sympathisants de la France Insoumise Sondage 2021@InstitutCSA
christophe nicolas 12 juillet 10:19
Ces djihadistes ont été les pions de l’enfumeur Fabius du temps ou « Al nostra fait du bon boulot »
moderatus 12 juillet 10:57
@christophe nicolas
Ces djihadistes ont été les pions de l’enfumeur Fabius du temps ou « Al nostra fait du bon boulot »
====================================================
les djihadistes sont des gens avec qui il ne faut jamais jouer à les manipuler,
on en paye cher les conséquences.
Ils n’ont aucun ami chez les infidèles.
agent ananas 12 juillet 11:18
Ces djihadistes ont été les pions de l’enfumeur Fabius du temps ou « Al nostra fait du bon boulot »
Ils les ont été gardés au frais pendant un moment et ils vont nous les ressortir lorsque la macronie sera aux abois, pour justifier de nouvelles lois liberticides et sécuritaires …
moderatus 12 juillet 11:22
@agent ananas
le sujet effrayant sera tout trouvé
300 djihadistes sortent de prison d’ici 2024
troletbuse 12 juillet 11:28
@moderatus
après avoir reçu une bonne formation de terroristes !
troletbuse 12 juillet 11:30
@agent ananas
Tout à fait.
moderatus 12 juillet 12:02
@troletbuse
après avoir reçu une bonne formation de terroristes !
la plupart son déjà formés et surtout radicalisés à point, irrécupérables.
Buzzcocks 12 juillet 11:26
Voyez vous monsieur, quand on annonce comme programme, qu’on veut renvoyer chez eux tous les délinquants étrangers, il faut parfois accepter la contrepartie… qui est de récupérer tous ses boulets.
Mais bon, la logique est vous, ça semble incompatible.
moderatus 12 juillet 11:59
@Buzzcocks
Voyez vous monsieur, quand on annonce comme programme, qu’on veut renvoyer chez eux tous les délinquants étrangers, il faut parfois accepter la contrepartie… qui est de récupérer tous ses boulets.
================================================
Nos deux logiques sont incompatibles , mais ce n’est pas grave, je vous réponds donc courtoisement
primo
pour tous les doubles nationaux on applique la déchéance de nationalité
secundo
pour ceux qui ne sont que français on les rapatrie mais en appliquant la loi sur les traitres et ennemis ,de la patrie et collusion avec l’ennemi 30 ans de réclusion incompressible. peu nombreux voudront revenir.
Tercio
c’est Darmanin qui a décidé de ette loi sur les délinquants
personnellement je serai pour une loi pour renvoyer tous les clandestins illico cela en fait des dizaines de milliers .
des raisons pour cela il y en a des dizaines tous les jours .
À Lyon, un clandestin s’attaque aux urgences
Que fait-il encore chez nous comme des dizaines de milliers d’autres ?
Ce jeudi 7 juillet, un homme en situation irrégulière attendait d’être pris en charge aux urgences de l’hôpital Édouard-Herriot de Lyon. Se présentant sous une fausse identité pour une rage de dent, mais « excédé par le temps d’attente, l’individu s’est saisi d’un poteau qui délimitait la file d’attente pour frapper la vitre en plexiglas derrière laquelle se trouvait le personnel d’accueil ».
Un patient et une dentiste ont essayé de le retenir mais, selon Actu Lyon, « celui-ci s’est défait de leurs étreintes en jetant la dentiste au sol ».
Encore des clandestins
Montpellier : Une femme attablée en terrasse poignardée en
plein centre-ville par un migrant clandestin Erythréen
Bourges (18) : une Erythréenne agresse une assistante sociale avec un couteau
Lyon : l’attente aux urgences est trop longue pour un clandestin de 22 ans, il insulte le personnel de l’hôpital en arabe, avant de frapper l’un des agent
Saint-Brieuc (22) : « Je ne connaissais pas les lois de votre pays », se défend cet Afghan, déjà condamné pour le viol d’un enfant, à nouveau condamné pour 2 agressions sexuelles sur des mineures (MàJ)
À la barre, il tente de se justifier : « Dans mon pays, il est normal d’avoir des relations sexuelles avec les jeunes garçons parce que les femmes sont inaccessibles. Quand je suis arrivé en France je ne connaissais pas vos lois,
Tout est dit sur l’immigration de masse
assimilation impossible !
Je pense avoir été clair et précis
vous avez le droit de ne pas être d’accord sur mes suggestions.
Buzzcocks 12 juillet 13:28
@moderatus
Je m’en fous de vos faits divers…. mais si on expulse les irakiens chez eux, alors il faut accepter qu’ils nous renvoient nos délinquants aussi. On appelle ça la réciprocité. Donc on doit récupérer ces femmes, et ces enfants, les enfants étant juridiquement coupables de rien du tout.
moderatus 12 juillet 13:38
@Buzzcocks
Rappelez-vous : dès 2017, le patron de la DGSI avait prévenu. Les enfants de djihadistes sont formés militairement dès le plus jeune âge, de manière intensive.
À 4 ou 5 ans, ce sont déjà des soldats.
Pire, des machines à tuer.
« Leur endoctrinement et leur entraînement en font des bombes humaines ».
Des vidéos montrent que ces « enfants » savent déjà égorger.
Ou vider un chargeur dans la tête d’un prisonnier.
À 5 ans.
Le Panda 12 juillet 12:01
@moderatus,
Merci pour tes observations, mais j’ignore si toi ou quiconque a pu lire le lien que j’ai
posé ? https://www.panda-france.net/france-deluges-ou-apocalypse-a-la-rentree-2022-divers-domaines/
Dans la mesure ou je dispose de temps c’est avec plaisir que je viendrais débattre
sur le fond et la forme.
Bravo pour ces vérités, il nous faut réagir.
Bon appétit
Le Panda
moderatus 12 juillet 12:07
@Le Panda
posé ? https://www.panda-france.net/france-deluges-ou-apocalypse-a-la-rentree-2022-divers-domaines/
Dans la mesure ou je dispose de temps c’est avec plaisir que je viendrais débattre
sur le fond et la forme.
Bravo pour ces vérités, il nous faut réagir.
Bon appétit
Le Panda
=====================================================
Ton article est parfait sur le plan économique et peut expliquer les désordres vers lesquels nous allons.
aliante 12 juillet 12:19
La place de ces femmes et de ces enfants qu’il ne faudrait pas séparer si possible, n’est plus en France, elle est dans des pays qui pratiquent un islam radical et il fallait négocier leur accueil avec ces pays et éviter de faire courir à la France un danger supplémentaire.
)
Votre problème c’est votre prétention et votre arrogance ,les pays musulmans ne sont pas la poubelle de la France
moderatus 12 juillet 13:21
@aliante
Votre problème c’est votre prétention et votre arrogance ,les pays musulmans ne sont pas la poubelle de la France
========================================================
Votre problème c’est vos attaques personnelles
vous pouvez être de gauche et ne pas vous laisser aller à insulter tout le monde
Une seule réponse
La France n’est pas la poubelle du monde.
On peut ne pas être d’accord et ne pas s’agresser respecter la position de autres , admettre que certains peuvent penser différemment de vous.
C’est ma façon de fonctionner, la seul dans une démocratie je m’y conforme et demande aux autres de le faire pour que le débat soit possible
Emmanuel Macron et Uber: le lobbyisme en roue libre
Durant son passage au ministère de l’Economie Emmanuel Macron aurait entretenu des liens privilégiés avec les dirigeants d’Uber afin de favoriser le développement en France de la société de VTC.
Une initiative qui agaçait certains de ses collègues au sein même de Bercy.
Patatras. Dimanche, les révélations du Consortium international des journalistes (ICIJ) sur l’activisme d’Emmanuel Macron, lorsqu’il était ministre de l’Economie, en faveur du leader mondial des voitures de tourisme avec chauffeur, les VTC, Uber, sont venues sérieusement bousculer un début de période estivale promis à d’autres considérations dans l’agenda présidentiel.
Le début de la semaine semblait réglé comme du papier à musique.
Le sommet Choose France, programmé lundi au château de Versailles, a réuni 180 dirigeants de grandes entreprises non françaises candidates à des investissements dans l’Hexagone.
L’occasion d’annoncer plus de 6,7 milliards d’euros d’investissements et une attractivité nullement démentie du territoire français.
Ce mardi, Emmanuel Macron a d’ailleurs prévu de se rendre en Isère afin de prendre acte d’un investissement conjoint de 5,7 milliards annoncé par la société américaine GlobalFoundries et son homologue franco italien STMicroelectronics.
A la clé, la création de 1 000 emplois d’ici 2026 et un doublement de la capacité de production de semi-conducteurs.
Ces puces électroniques indispensables aussi bien pour les voitures connectées que pour les téléphones mobiles.
C’est cependant autour d’une tout autre connexion que nombre de questions se posent aujourd’hui.
Durant la période où il a été ministre de l’Economie, de 2014 à 2016, l’actuel chef de l’Etat a-t-il œuvré de manière particulièrement significative afin de permettre à la société américaine Uber de bénéficier d’avantages législatifs ou réglementaires de nature à favoriser son développement sur le marché français ?
Si l’on en croit les 124 000 documents internes de l’entreprise qui ont fuité et ont été transmis au quotidien britannique The Guardian et publié en France par le Monde et la cellule investigation de Radio France, 17 échanges divers ont été recensés entre Emmanuel Macron ou son cabinet et la direction d’Uber.
Objectif : alléger les obligations nécessaires pour obtenir une licence de conducteur de VTC.
En échange, Uber abandonne son projet «Uber pop» qui aurait permis à des chauffeurs «occasionnels» et non titulaires d’une licence VTC d’effectuer des transports de personnes.
Pour ne rien arranger aux mélanges des genres entre sphère publique et intérêts privés, Mark MacGann, lanceur d’alerte et ex-lobbyiste en Europe d’Uber, a expliqué au Guardian avoir aidé à récolter des fonds pour La République en marche dès 2016 et alors qu’il ne travaillait plus pour la firme américaine.
Modèle établi des taxis
A l’époque, l’écoute bienveillante du ministre de l’Economie a été d’autant plus importante pour la société californienne que les autres membres du gouvernement n’étaient pas vraiment fans de ce nouveau modèle de transport qui n’offre qu’un statut précaire aux chauffeurs et bouscule le modèle établi des taxis.
Au ministère de l’Intérieur, comme à Matignon, l’opposition était de mise, mais aussi au sein même de Bercy. Christian Eckert, alors secrétaire d’Etat au Budget et dont le bureau se situait à un étage de différence avec celui du ministre de l’Economie se remémore cette période :
«C’est un des sujets qui m’ont fâché avec Emmanuel Macron. Les ennuis ont commencé quand j’ai suggéré que l’on mette de l’ordre dans l’utilisation des plateformes numériques en rappelant les droits et les devoirs de chacun.
On me répondait alors, du côté du cabinet du ministre de l’Economie, qu’il ne fallait pas remettre en cause un écosystème vertueux.»
Signe de cette divergence, Eckert a publié ensuite dans les Echos, avec sa collègue chargée du Commerce et de l’Artisanat,
Martine Pinville, une tribune dans laquelle ils écrivaient : «Nous sommes convaincus qu’il ne faut pas opposer “ancienne” et “nouvelle” économie : le développement de l’une ne peut se faire au détriment de l’autre.»
En 2015, les divergences entre Emmanuel Macron et les autres ministres de Bercy portaient aussi sur d’autres sujets comme la privatisation de l’aéroport de Toulouse ou la libéralisation du secteur des autocars.
Reste en suspens une question de nature fiscale : le montage choisi par Uber France.
Ni l’entreprise ni le ministère de l’Economie n’ont voulu indiquer à Libération si le transporteur VTC avait demandé une autorisation fiscale préalable.
Cette procédure consiste pour une entreprise à solliciter l’administration des impôts afin de vérifier si un montage destiné à optimiser le montant de sa facture fiscale est légal.
Quoi qu’il en soit, selon les informations de l’ICIJ, la Direction nationale des enquêtes fiscales a mené une perquisition dans les locaux d’Uber France en 2015.
Il s’agit de vérifier si, comme nombre d’entreprises du numérique, Uber fait remonter ses bénéfices vers les Pays-Bas ou le Luxembourg, là ou le taux d’imposition sur les profits est beaucoup plus bas qu’en France.
Sur ce point en tout cas, Emmanuel Macron n’a pas pu a priori intervenir.
Pour deux raisons au moins. D’abord, depuis 2010, une règle non écrite veut que les ministres de Bercy ne se mêlent pas des enquêtes fiscales en cours.
«Ensuite», précise un haut cadre du contrôle fiscal à Libération, «quand une perquisition est prévue ou lancée, il est hors de question de faire machine arrière à la demande du politique».
«Lobbyiste contre l’intérêt général»
Forcément, le sujet s’est invité, lundi, à l’Assemblée nationale.
La plupart des oppositions se sont succédé pour dénoncer un «scandale d’Etat». «Je n’ai pas l’impression qu’un ministre de l’Economie qui devient le lobbyiste d’un géant américain qui est réputé pour encourager le salariat déguisé et l’emploi précaire défende véritablement l’intérêt général», a ainsi dénoncé le député socialiste Arthur Delaporte.
«La macronie “peine à voir” le problème quand un ministre et futur président agit en lobbyiste d’Uber contre l’intérêt général», a tapé de son côté, sur Twitter,
Danielle Simonnet, en pointe dans la défense des taxis contre l’arrivée d’Uber dans les grandes villes.
La députée de Paris fait référence aux propos de l’ancien secrétaire d’Etat au Numérique et ex-conseiller de Macron à Bercy, Cédric O, pour qui «on peine à voir ce qui est répréhensible» dans cette affaire.
Dans l’hémicycle, la présidente des insoumis,
Mathilde Panot, a fustigé un «président des lobbys qui roule pour Uber».
Côté écologiste, le député des Yvelines Benjamin Lucas a même jugé l’affaire «plus grave» que celle de Benalla qui avait parasité le premier été du premier quinquennat d’Emmanuel Macron.
Le candidat à la présidentielle EE-LV, Yannick Jadot, a lui attaqué, dans une interview à Libération : «On sait combien le quinquennat précédent a été gangrené par les lobbys.»
Chez les macronistes, à l’image d’un autre élu des Yvelines, Karl Olive, on se défend en avançant les «dizaines de milliers d’emplois qui ont été créés» grâce à Uber. Au Rassemblement national, on taxe Macron de «représentant d’une certaine oligarchie affairiste».
«C’est un lobbyiste américain : combien de dossiers il vous faut pour le prouver ?» a ainsi attaqué le numéro 2 du groupe d’extrême droite, Jean-Philippe Tanguy, lors d’une conférence de presse au Palais-Bourbon.
Et l’ancien proche de Nicolas Dupont-Aignan de partir ensuite dans tous les sens, en évoquant «des liens incestueux entre un capitalisme de connivence et le petit milieu parisien» ou encore les «aspirations homoérotiques» que Macron aurait inspirées dans les milieux d’affaires…
Allusion douteuse à la connivence absolue avec certains grands patrons.
Seule la droite est restée discrète dans cette histoire. Etrange alors que son nouveau patron à l’Assemblée, Olivier Marleix, est pourtant l’un des pourfendeurs d’Emmanuel Macron sur un autre dossier lié à son passé à Bercy : celui de la vente de la branche énergie d’Alstom à un autre américain, General Electric.
moderatus 12 juillet 15:24
@Le Panda
Emmanuel Macron et Uber : le lobbyisme en roue libre
Durant son passage au ministère de l’Economie Emmanuel Macron aurait entretenu des liens privilégiés avec les dirigeants d’Uber afin de favoriser le développement en France de la société de VTC.
Une initiative qui agaçait certains de ses collègues au sein même de Bercy.
============================================
Le système UBER est dans l’ADN de Macron
maintenant a-t-il favorisé UBER au détriment des intérêts du pays , cela est une autre histoire mais je pense qu’on perd du temps sur des procès qui n’auront jamais lieu.
moderatus 12 juillet 15:27
@Le Panda
Patatras. Dimanche, les révélations du Consortium international des journalistes (ICIJ) sur l’activisme d’Emmanuel Macron, lorsqu’il était ministre de l’Economie, en faveur du leader mondial des voitures de tourisme avec chauffeur, les VTC, Uber, sont venues sérieusement bousculer un début de période estivale promis à d’autres considérations dans l’agenda présidentiel.
================================================
je pense qu’en France nous avons d’autre problèmes à régler plus urgents que le système UBER
ce serait la macronie qui aurait lancé cette diversion, cela ne m’étonnerait pas.
Le Panda 12 juillet 16:08
@moderatus
Pour ce qui est des mères, qui sont, elles aussi, détenues dans des camps du nord-est syrien, l’ancien procureur « pense que (le) pays a tout à fait les moyens et les capacités de juger quelques dizaines de femmes (…) en plus ».
« Je pense que la menace est toujours là, peut-être moins prégnante qu’en 2015 en ce qui concerne un risque d’attaque projetée mais je pense qu’il est de la responsabilité des différents acteurs dans cette matière de prendre en compte la réalité de ce danger », a-t-il poursuivi au micro de la radio RTL.
À ce stade, une centaine de femmes et environ 250 enfants français sont détenus dans des camps notamment à Roj et Al-Hol, par des factions kurdes syriennes.
Avant la cinquième opération de rapatriement opérée par le Quai d’Orsay, mardi, et qui a concerné 35 enfants et 16 mères, la France avait déjà procédé à quatre séries de rapatriement et évacué une poignée d’enfants dont les dossiers avaient été évalués au cas par cas.
En mars et juin 2019, il a été procédé au rapatriement de 17 jeunes enfants dont la plupart sont orphelins ainsi qu’au rapatriement d’une petite fille souffrant d’une maladie cardiaque.
Plus tard, en juin 2020, une dizaine d’autres petits français avaient pu regagner l’Hexagone pour être pris en charge.
Le Panda 12 juillet 16:10
@moderatus
Et en janvier 2021, le Quai d’Orsay a ensuite rapatrié sept jeunes mineurs « particulièrement vulnérables » qui étaient retenus dans un camp du nord-est syrien.
moderatus 12 juillet 16:34
@Le Panda
Une centaine de femmes et environ 250 enfants français sont détenus dans des camps notamment à Roj et Al-Hol, par des factions kurdes syriennes.
Par Feiza Ben Mohamed (revue de Presse : Agence Anadolu – 11/7/22)*
Le procureur général près la Cour de cassation, François Molins, souhaite le rapatriement de tous les Français détenus dans des camps en Syrie.
Dans une interview à RTL, l’ancien procureur du parquet antiterroriste, a estimé ce lundi qu’il « faut tous les ramener ».
S’agissant des enfants, François Molins souligne qu’ils « subissent une situation dont ils ne sont pas responsables, une situation qui met en danger leur santé, leur sécurité et leur éducation » et que « l’État a aujourd’hui une obligation positive qui est de les ramener puisqu’ils ont » la nationalité française.
Une centaine de femmes et environ 250 enfants français sont détenus dans des camps notamment à Roj et Al-Hol, par des factions kurdes syriennes.
Par Feiza Ben Mohamed (revue de Presse : Agence Anadolu – 11/7/22)*
Le procureur général près la Cour de cassation, François Molins, souhaite le rapatriement de tous les Français détenus dans des camps en Syrie.
Dans une interview à RTL, l’ancien procureur du parquet antiterroriste, a estimé ce lundi qu’il « faut tous les ramener ».
S’agissant des enfants, François Molins souligne qu’ils « subissent une situation dont ils ne sont pas responsables, une situation qui met en danger leur santé, leur sécurité et leur éducation » et que « l’État a aujourd’hui une obligation positive qui est de les ramener puisqu’ils ont » la nationalité française.
Mais, selon lui, « au-delà du retour ce qui était essentiel c’est d’assurer un suivi psychologique à long terme »
========================================================
Il fallait traiter cela au cas par cas comme on le faisait
des grands parents qui récupèrent leurs petits enfant par exemple. et qui peuvent assumer.
primo
les premiers à protéger sont les Français adultes et enfants les djihadistes ont fait un choix.
éliminer du rapatriement ceux qui ont la double nationalité en leur appliquant la déchéance de nationalité.
secundo
.
nos tribunaux n’on aucun moyen des actes commis dans ces pays et ils doivent être punis dans les pays où ils ont commis ces actes
notre justice ne doit pas se substituer à la justice de ces pays.
Quand un étranger commet un crime chez nous, il est bien jugé chez nous et gardé chez nous jusqu’à la fin de sa peine non ?
nous faisons rentrer des bombes humaines et nous savons que la déradicalisation est impossible.
Nous mettons en danger les Français femmes et enfants dans un processus que nous ne pouvons régler
D’ici à 2024, quelque 300 personnes condamnées en France pour terrorisme islamiste devraient être libérées.
La vérité
Entre les djihadistes que l’on rapatrie, les djihadistes et les fichier S qui sortent de prison, les délinquants étrangers qui peuplent nos prisons à hauteur de 20%, les clandestins , les mineurs isolés qui sont une source de méfaits en tous genres importante, la France est en train de sombrer dans une société Orange Mécanique.
===============================================
moderatus 12 juillet 16:38
@Le Panda
Pour ce qui est des mères, qui sont, elles aussi, détenues dans des camps du nord-est syrien, l’ancien procureur « pense que (le) pays a tout à fait les moyens
============================================
ce procureur nous prend pour des cons
on n’a pas assez de places de prison, on n’enferme plus nos délinquants
on n’a pas les moyens de surveiller ces terroristes
on n’a ni services ni psychologues suffisamment
on n’a aucun moyen de se protéger.
moderatus 12 juillet 16:41
@Le Panda
Et en janvier 2021, le Quai d’Orsay a ensuite rapatrié sept jeunes mineurs « particulièrement vulnérables » qui étaient retenus dans un camp du nord-est syrien.
============================================
les vulnérables, c’est nous
avons nous perdu la mémoire ?
Une décennie de terrorisme en France !
L’État a cédé à la pression de militants idéologues qui jouent avec la vie des Français.
11 mars 2012 L’affaire Merah
19 septembre 2012 La « cellule Cannes-Torcy »
10 janvier 2013 Trois militantes kurdes assassinées
25 mai 2013 Un militaire poignardé à La Défense
20 décembre 2014 Attaque au couteau au commissariat de Joué-les-Tours
7 janvier 2015 Les attentats de « Charlie Hebdo », de Montrouge et de l’Hyper Cacher
3 février 2015 Des militaires agressés au couteau à Nice
19 avril 2015Sid Ahmed Ghlam et l’attentat « raté » de Villejuif
26 juin 2015 Un patron décapité à Saint-Quentin-Fallavier
21 août 2015 L’attentat du Thalys
13 novembre 2015 Les attentats du 13 Novembre
11 janvier 2016 Un adolescent poignarde un homme juif à Marseille
13 juin 2016 L’assassinat d’un couple de policiers à Magnanville
14 juillet 2016 L’attentat de Nice, un camion dans la foule
26 juillet 2016 L’assassinat du père Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray
4 septembre 2016 Attaque à l’arme blanche à la prison d’Osny
3 février 2017 Des militaires attaqués au Carrousel du Louvre
20 avril 2017 L’attentat contre un fourgon de police sur les Champs-Élysées
6 juin 2017 Une attaque au marteau devant Notre-Dame
9 août 2017 Une voiture-bélier contre des militaires, à Levallois-Perret
1er octobre 2017 L’attaque au couteau de la gare Saint-Charles, à Marseille
23 mars 2018 Prise d’otages meurtrière au Super U de Trèbes
12 mai 2018 L’attaque au couteau dans le quartier de l’Opéra
11 décembre 2018 L’attentat au marché de Noël de Strasbourg
5 mars 2019 Un détenu poignarde deux surveillants à la prison de Condé-sur-Sarthe
24 mai 2019 Un colis piégé dans une rue de Lyon
20 juin 2019 Un détenu condamné pour terrorisme agresse deux surveillants au Havre
3 octobre 2019 Attaque au couteau à la préfecture de police de Paris
3 janvier 2020 Attaque au couteau dans un parc de Villejuif
4 avril 2020 Attaque au couteau à Romans-sur-Isère
27 avril 2020 Des policiers fauchés à Colombes
25 septembre 2020 Attaque devant les anciens locaux de « Charlie »
16 octobre 2020 Un professeur décapité à Conflans
29 octobre 2020 Attaque au couteau à la basilique de Nice.
ENTRE HAUSSE DES TAUX IMMOBILIERS ET RÈGLES D’ENDETTEMENT, 30% DES DOSSIERS NE PASSENT PLUS.
Dans son dernier observatoire, Meilleurtaux s’inquiète de l’accumulation des phénomènes qui empêchent les particuliers de mener à bien leur projet immobilier.
Les taux sont le sujet bouillant du moment.
« Depuis fin février-début mars, ils remontent à une vitesse impressionnante », constate Meilleurtaux dans son dernier observatoire.
Maël Bernier, directrice de la communication et porte-parole du courtier, explique mais surtout tempère cette hausse brutale: « Nous assistons actuellement à un retour aux niveaux de 2017, donc en soi des taux toujours très bas.
Nous avons été habitués pendant près de deux ans à des taux qui tournaient autour des 1%, et même en dessous,
il est vrai que la remontée des taux en quelques mois, pour atteindre approximativement les 2% aujourd’hui, bouscule quelque peu les emprunteurs.
Mais il faut tout de même avoir en tête que des taux à 2% au regard d’une inflation à plus de 5% est une situation toujours très confortable ».
Certes les taux restent en dessous de l’inflation, mais cette hausse grignote tout de même le pouvoir d’achat immobilier des ménages.
Et certains ne parviennent plus à trouver de financement.
Meilleurtaux constate ainsi une baisse des dossiers respectant les critères d’endettement.
Le courtier explique qu’en janvier 2021, avec les taux de l’époque, 71% des dossiers se trouvaient sous la barre des 35% d’endettement donc éligibles. « Un an et demi plus tard, en juin 2022, le nombre de dossiers finançables baisse notablement.
Seulement 59% des dossiers se trouvent sous la barre des fatidiques 35%. Actuellement, nous avons plus de 10% des dossiers qui se trouvent en « zone critique » et près de 30% qui sont complètement infinançables ».
Le couperet des taux d’usure.
Et évidemment, les taux d’usure bloquent encore un peu plus les dossiers.
Au 7 juillet 2022, pour les crédits inférieurs à 20 ans, le taux est de 2,60%.
Quant aux crédits égaux ou supérieurs à 20 ans, il est de 2,57%.
« En ce moment le taux d’usure bloque une majorité des nouveaux emprunteurs, quel que soit le profil, car les taux remontent rapidement. Qui dit remontée des taux rapide, dit taux d’usure plus rapidement atteint.
C’est un dispositif au départ protecteur qui est devenu purement et simplement excluant », selon Maël Bernier.
Le courtier donne pour exemple un couple de 42 ans, aux revenus nets mensuels de 3500€, qui emprunterait 220.000€ sur 20 ans à un taux de 1,85% hors assurance, avec une assurance quotité de 100% sur la femme et 50% sur l’homme, une assurance emprunteur de 0,40% et une caution de 2260€, le TAEG est au total de 3,04%.
Le taux d’usure est dépassé, donc le dossier fatalement refusé.
Ou encore un célibataire de 30 ans, aux revenus nets mensuels de 2500€, qui emprunterait 150.000€ sur 25 ans à un taux de 2% hors assurance, avec une assurance quotité de 100%, une assurance emprunteur de 0,27% et une caution de 1700€, le TAEG est au total de 2,59%.
e taux d’usure est dépassé dans ce cas de figure également, le dossier ne passe pas.
Maël Bernier conclut: « Si la hausse des taux est bien là, c’est toujours extrêmement intéressant pour les emprunteurs de se financer à crédit, même à 2% au regard de l’inflation!
Cependant aujourd’hui, il y a une énorme menace sur la finançabilité des projets immobiliers compte tenu des différentes contraintes réglementaires.
Nous constatons de plus en plus de dossiers bloqués qui représentent aujourd’hui un bon tiers des dossiers.
Le contexte géopolitique pèse toujours sur la situation, il est donc important d’être prudent.
Enfin, il faut être très clair, nous nous dirigeons inexorablement vers un marché totalement bloqué, si l’usure n’est pas réformée.
Les dossiers refusés vont continuer de s’accumuler, sans solution de repli pour les Français qui rêvent d’accéder à la propriété ».
Coup de rétro:
Réforme de «caprice» et «dessein contre nature»: la ministre Caroline Cayeux confrontée à ses propos passés sur le mariage homosexuel
Le gouvernement d’Elisabeth Borne:
La nouvelle ministre chargée des Collectivités locales, qui vient de quitter sa mairie de Beauvais, est sous le feu des critiques de la gauche notamment pour ses positions concernant le mariage pour tous.
«C’est un mauvais procès qu’on me fait.»
Depuis son entrée au gouvernement début juillet, la nouvelle ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales Caroline Cayeux se défend comme elle peut.
L’ancienne maire de Beauvais, qui a été contrainte de lâcher les clés de sa mairie sous la pression de Matignon, est rattrapée pour ses positions sur le mariage des personnes de même sexe.
Dans une tribune parue lundi dans le magazine Têtu, une centaine de députés, élus locaux et militants lui reproche des propos anciens sur la loi sur le mariage pour tous, adoptée en 2013.
La réforme, portée à l’époque par la garde des Sceaux Christiane Taubira, était qualifiée de «caprice» par l’ex-sénatrice LR de l’Oise. «Le mariage pour tous et le droit à l’adoption n’est pas simplement un dessein qui va contre nature mais c’est plus grave», aurait également prononcé Caroline Cayeux en 2012.
Les signataires de la tribune ne précisent pas dans quel contexte ont été tenus ces propos.
Dans les colonnes du magazine, les signataires interpellent toutefois le président de la République et la Première ministre «pour un gouvernement sans LGBTQIAphobies».
Sont également visés le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et celui de la Transition écologique Christophe Béchu.
«Saupoudrer quelques communautés d’avantages non justifiés»
Invitée ce mardi matin de Public Sénat, la ministre a déclaré qu’elle ne «pense pas avoir parlé de caprice».
«Oui, à l’époque…», a-t-elle hésité, avant d’assurer qu’elle «maint [enait] évidemment [s] es propos».
Et l’élue de 73 ans d’avancer, en guise de bonne foi : «J’ai toujours dit que la loi, si elle était votée, je l’appliquerai.»
A l’époque des débats mouvementés à l’Assemblée nationale et au Sénat autour de la réforme, celle qui était décrite comme une «conservatrice pur jus, représentante d’une droite réactionnaire» par Sylvie Houssin, ancienne vice-présidente (PS) du conseil général de l’Oise (en 2009, dans l’Express), exprimait publiquement son opposition au mariage pour tous.
«Les Français n’ont qu’une seule revendication : que ce débat ne soit pas confisqué, notamment par des organisations qui se disent représentatives de communautés, lançait-elle ainsi en avril 2013 au Sénat.
Car non seulement ces organisations ne sont pas représentatives, mais surtout elles ne sont pas légitimes puisque les communautés en question n’ont aucunement besoin d’être reconnues par l’État.»
«Notre démocratie est-elle si malade que, pour nous donner bonne conscience, pour pouvoir ignorer la crise sociale, nous saupoudrons quelques communautés d’avantages non justifiés ?», interrogeait-elle également.
La sénatrice de droite souhaitait à l’époque soumettre cette réforme à un référendum.
Soutien sans faille de François Fillon.
Dans les colonnes du Parisien, en 2012, elle estimait que «l’institution du mariage doit être préservée dans sa forme actuelle».
Privilégiant une réforme du Pacs, elle assurait que la «loi permet déjà à des personnes célibataires d’adopter des enfants.» «Les homosexuels peuvent déjà adopter, poursuivait-elle.
Cependant, il n’appartient pas aux faits de dicter le droit. Le droit doit encadrer le fonctionnement de notre société, pas l’inverse.»
Ce mardi matin, la ministre a assuré qu’elle n’a «jamais fait partie de la Manif pour tous».
«Je n’ai jamais défilé, que les choses soient claires», a-t-elle dit sur Public Sénat.
Et d’ajouter, très maladroitement : «J’ai beaucoup d’amis parmi tous ces gens-là [les homosexuels, ndlr] et franchement, c’est un mauvais procès qu’on me fait. Ça m’a beaucoup contrariée.»
Depuis, la ministre a publié un message sur Twitter : «Mes propos ont blessé nombre d’entre vous.
Je les regrette profondément, ils étaient naturellement inappropriés.
L’égalité des droits doit toujours être une priorité de notre action.»
Maire de Beauvais depuis 2001, Caroline Cayeux s’est toujours décrite comme une tenante d’une «droite sociale», héritière de Philippe Seguin.
C’est lui, l’ancien président de l’Assemblée nationale et figure du RPR qui l’a poussé à s’emparer de son fief beauvaisien.
A l’UMP puis chez Les Républicains, elle s’est ensuite affichée aux présidentielles de 2012 et 2017 comme un soutien sans faille de François Fillon.
L’ancien candidat à l’Elysée ne cachait pas son opposition au mariage pour tous. Encartée à droite depuis 1981, Cayeux avait ensuite claqué la porte des LR en 2018, après un désaccord avec Laurent Wauquiez sur la ligne du parti.
Santé.
Accès aux soins: pour les étrangers, un droit en piteux Etat
Guerre entre l’Ukraine et la Russiedossier
Alors que les réfugiés en provenance d’Ukraine bénéficient d’un accès simplifié en matière de santé, les associations, qui saluent le dispositif, réclament son élargissement aux autres nationalités, confrontées à une errance administrative et des refus de prises en charge.
On le constate avec plus d’acuité depuis plusieurs mois : à leur arrivée en France, les exilés ne sont pas tous traités de manière égale.
Quand la guerre a éclaté en Ukraine, de nombreux ressortissants se sont réfugiés dans l’Hexagone.
Bénéficiant d’une protection temporaire inédite sur le territoire, selon l’expression formulée dans la note d’information interministérielle datant du 25 mars, les personnes en provenance d’Ukraine peuvent se présenter en préfecture ou auprès de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) pour obtenir un titre de séjour.
Cette décision a provoqué, chez les associations, un sentiment contrasté. «Nous nous réjouissons que ce régime exceptionnel [accordé aux ressortissants ukrainiens et individus reconnus comme réfugiés en Ukraine, ndlr] soit en adéquation avec les recommandations formulées depuis plusieurs années.
Mais ces conditions de premier accueil doivent être garanties à toutes les personnes en besoin de protection», clarifiaient, le 29 mars, les associations d’aide aux réfugiés dans un communiqué commun.
C’est vrai par exemple pour les Afghans, qui eux aussi ont fui la guerre, mais doivent se soumettre à de longues démarches administratives pour obtenir l’asile.
Cette différence de traitement est particulièrement inéquitable en matière d’accès à la santé.
Pour les Ukrainiens, la protection universelle maladie (Puma) – qui prend en charge les soins des étrangers en situation régulière et donc aussi des demandeurs d’asile – et la complémentaire santé solidaire leur sont accordées «sans délais» dès leur arrivée, détaille le document émis conjointement par les ministères de la Santé et de l’Economie.
Tandis que pour tout autre étranger, qu’il soit demandeur d’asile prétendant à la Puma ou sans-papiers en droit de jouir de l’aide médicale d’Etat (AME), destinée aux personnes en situation irrégulière, les démarches pour obtenir une couverture maladie s’avèrent un véritable labyrinthe administratif.
La liste des conditions est longue.
A l’initiative du gouvernement en 2019 et 2020, une loi de finances et des décrets ont retardé, réduit, voire confisqué la prise en charge des frais de santé des personnes étrangères.
La liste des mesures déployées est longue. Introduction de trois mois de carence avant de pouvoir bénéficier de la protection universelle maladie pour les demandeurs d’asile ; réduction de douze à six mois du maintien de la Puma pour les étrangers qui perdent leur titre de séjour ; obligation pour les personnes sans papiers de prouver leur situation d’irrégularité au moins trois mois avant de prétendre à l’AME ; instauration d’un délai de neuf mois d’ancienneté à l’AME pour la prise en charge de certaines opérations (de la cataracte, de la hanche par exemple) ou soins de ville…
Toutes ces récentes dispositions, initiées sous l’ère de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, sont «autant de nouvelles barrières dans le parcours de soins de personnes déjà précarisées», explique Christian Reboul, référent «migration, droits et santé» au sein de l’association Médecins du monde.
Depuis ce bouquet de mesures, il est également impératif pour un étranger sans papiers de venir déposer, en personne, sa première demande d’AME au guichet.
Les associations et les travailleurs sociaux, lien essentiel pour épauler ces individus isolés souvent déroutés face à la barrière de la langue et la sinuosité du système étatique, ne peuvent donc plus prendre le relais et engager les démarches pour eux.
«Cette politique laisse sciemment la santé des gens se dégrader.
C’est un non-sens en matière de santé des personnes et de santé publique, développe Christian Reboul, de Médecins du monde.
Jamais aucun gouvernement ni aucun parti n’avait jusque-là proposé une mesure remettant en cause l’accès aux soins immédiat des demandeurs d’asile et la repoussant de trois mois.
Au vu de leurs histoires et de leurs parcours, ces personnes peuvent avoir besoin d’une prise en charge instantanée, y compris pour soigner les souffrances psychiques.»
Pour Matthias Thibeaud, chargé de projet «santé et droits sociaux» à la Cimade Ile-de-France, derrière les décisions politiques du chef de l’Etat, transparaît un «fantasme» commun, qui voudrait que les étrangers en situation irrégulière profitent du système de santé français : «Il y a dans le discours politique, surtout à droite, l’idée que cela créerait un appel d’air, alors que de nombreuses études, notamment de l’Ined, ont démontré que c’était faux.
L’ouverture des droits de santé aux personnes sans papiers concerne 300 000 personnes, contre 62 millions pour l’assurance maladie, ce qui permet de relativiser», poursuit-il.
«L’accès à la santé doit être universel et inconditionnel»
Depuis trois mois, l’Observatoire du droit à la santé des étrangers (ODSE) réclame lui aussi que les mesures facilitant à «juste titre» l’accès aux soins des Ukrainiens et Ukrainiennes s’appliquent «à toutes les personnes exilées».
Sans que, pour l’heure, le gouvernement ne fléchisse sur le sujet. «L’accès à la santé et aux soins doit être universel et inconditionnel», écrivaient, le 21 mars, les membres de l’ODSE dans un communiqué.
En pointant précisément «l’injustice et la discrimination» des mesures prises en 2019 et en 2020 par le gouvernement, «choix exactement inverse» de leur politique d’accueil actuelle pour les individus en provenance d’Ukraine.
«Pour l’exécutif, c’est manifestement une question de légitimité, sauf que cette notion n’a aucun sens car elle relève de l’arbitraire.
On est d’accord pour prendre immédiatement en charge la santé des Ukrainiens, mais celle des autres, en revanche, c’est non.
Le message est d’un cynisme écœurant, s’indigne Didier Maille, coordinateur du pôle social et juridique au Comité pour la santé des exilé.e.s.
Lorsqu’on veut accueillir des gens, les pouvoirs publics savent lever les obstacles. Pour la majorité des nouveaux arrivés en France, notre gouvernement veut surtout mener une politique délibérée de mépris de leur santé.»
Sollicité, le ministère de la Santé n’a pas répondu à nos questions.
Depuis le résultat des élections législatives, les acteurs associatifs s’inquiètent aussi des conséquences de l’arrivée à l’Assemblée nationale de 89 députés Rassemblement national.
«Même si la droite et l’extrême droite ne sont pas majoritaires, il pourrait y avoir des négociations» sur l’accès aux soins des exilés, estime Mattias Thibeaud, de la Cimade Ile-de-France, qui a peur «qu’il y ait des dépôts d’amendements qui introduisent soit un coût d’entrée, soit une nouvelle restriction du panier de soins».
Le budget de l’AME doit faire l’objet d’une discussion au Parlement dans le cadre du projet de loi de financement à partir de septembre.
Sur le pont
Météo France: Elisabeth Borne mobilise son gouvernement en vue de la vague de chaleur
Météo France prévoit un pic de chaleur entre «samedi et mardi prochains», avec des températures dépassant les 40°C dans certaines régions du pays. Le gouvernement se mobilise et multiplie les appels à la prévention, notamment auprès des personnes les plus fragiles.
Un deuxième épisode de chaleur va s’abattre sur la France et devrait s’installer dans la durée pour évoluer vers une canicule.
Selon Météo France, ce coup de chaud devrait durer «a minima […] de huit à dix jours», avec un pic probablement «entre samedi et mardi prochain», le 19 juillet. Vingt-trois départements, du Morbihan au Vaucluse, ont déjà été placés en alerte jaune canicule, alors que le mercure a grimpé lundi jusqu’à 38°C par endroits dans le Sud-Ouest.
Face à cette situation, la Première ministre Elisabeth Borne a demandé à tous ses ministres de se mobiliser pour faire face aux conséquences de cette canicule.
«La chaleur a un impact très rapide sur l’état de santé des populations, en particulier des personnes les plus vulnérables.
Dans ce contexte, l’ensemble des acteurs sur les territoires doivent être mobilisés», rappelle Matignon dans un communiqué.
Ce mardi, des pics à 39°C sont attendus dans le sud du pays. Lundi, les températures dépassaient déjà lundi les 30°C sur une bonne partie de l’Hexagone.
Prévention auprès des personnes fragiles.
Le gouvernement rappelle qu’il «veillera à l’activation du dispositif Orsec», un dispositif de protection de la population, sur «l’ensemble des départements en alerte canicule».
Matignon mobilisera également les services de l’Etat, les collectivités territoriales, les établissements de santé et médico-sociaux.
Les entreprises les plus exposées au travail en extérieur ainsi que celles de transport ou les organisateurs d’évènements sportifs ou culturels seront également pris en compte dans ce dispositif de vigilance.
Le gouvernement entend également multiplier les messages de prévention auprès des personnes les plus fragiles, comme les «nourrissons, les personnes âgées, les personnes en situation de handicap [ou] les femmes enceintes».
Les personnes surexposées à la chaleur, comme les sans-abri, seront également surveillées.
moderatus 12 juillet 18:23
@Le Panda
crise économique plus crise sécuritaire , résultat explosif.
moderatus 12 juillet 18:26
@Le Panda
il est vrai que la remontée des taux en quelques mois, pour atteindre approximativement les 2% aujourd’hui, bouscule quelque peu les emprunteurs.
==========================================
oui mais le remboursement des intérêts de notre dette va augmenter de façon importante.
6russe2sioux 12 juillet 18:54
@Le Panda
Ego te absolutum
contrairement au fufu qui chasse l’ ursidé , tu ne le fait jamais volontairement , et tu tient toujoiurs compte des rappels
prend soin de toi
Le Panda 12 juillet 20:59
@6russe2sioux
Celà ne rien à mes intimes convictions, merci pour ton petit mot sur la santé en passant, bien à toi, et prends soin de toi aussi.
Tu peux aussi passer sur Les Voix si tu en as envie.
Toi comme tous les autres.
Trés bonne soirée à tous.
Le Panda