FRANCELA SANTELIBERTEPUISSANT OU MISERABLESEUL

Sauver l’hôpital et l’école

Temps de lecture : 6 minutes

Sauvez l’hôpital et l’école

Fraude fiscale : Gabriel Attal présente un plan qui viserait les ultrariches et les multinationales.

Dans une lettre aux députés et aux sénateurs, l’intersyndicale demande solennellement de voter le projet de loi abrogeant le recul de l’âge effectif de départ à la retraite et l’allongement de la durée de cotisation. Les plaies essentielles « La parole des ministres est-elle crédible, alors que le gouvernement, parle sur des fréquences d’ondes totalement différentes »

Faire payer ce qu’ils doivent aux ultra-riches et aux multinationales qui fraudent : l’ambition du ministre des Comptes publics, qui présente un plan de lutte contre la fraude fiscale. Il prévoit une hausse des contrôles des plus gros patrimoines et des cent grandes capitalisations boursières.

Les chiffres qui précèdent et leurs directions vous laissent augurer de ce que sera notre devenir incessamment. Combien de ces gens-là se préoccupent du devenir de sauver donc le milieu hospitalier et de donner une instruction : Nécessaire, voire plus qu’indispensable à leur propre progéniture ?

Il semble a priori qu’au niveau du gouvernement, il y a une masse de pluralité ne formant pas une famille à constat, que le gens bien-pensant considère comme éligible à la cellule française. À l’évidence, on ne leur demande pas du tout de rentrer dans le panel classique, mais de remplir les fonctions qui sont les leurs dans l’intérêt collectif. Une légère ébauche démontre que nous sommes dans un cas comme dans l’autre, à l’opposé de ce que la majorité donc des gens sont.

À ne pas en douter, nous avons, nous avons besoin de bien plus d’une structure hospitalière totale dans le cadre du monde. Il en va de même pour ce qui concerne la formation et l’apprentissage, de savoir lire et écrire. Et ne pas être obligé de vendre des femmes-gamines à la prostitution comme on peut le constater dans pas mal de pays.

Nous constatons de ce fait que la venue d’un enfant dans le cadre d’une cellule familiale peut devenir chère, voire coûteux. Si on souhaite lui donner. Une éducation à la hauteur de celle pour laquelle il est venu au monde. À ne pas en douter, tout possède un prix le solde est d’en avoir les moyens afin de pouvoir se l’octroyer.

Savoir que Messi va bénéficier d’un contrat de pas loin d’1 million cinq d’euros journalier, moralité en faisant le plein des voitures on paye, que représente le peuple de la France à de tels niveaux ? Cela donne envie de ne plus regarder ces dieux fous du stade. Durant deux années en Arabie Saoudite. Morale s’il y en a une, nous ne le verrons pas souvent car il est censé jouer dans ce pays. De ceux qui traitent de toute façon ses propres ressortissants pires que des esclaves. Il reste un fait que la majorité de nous ne verrons pas, lorsque le nucléaire aura pris la dominance sur l’or noir.

Les intouchables de tous sports confondus font la pollution la plus complète de la planète. Le vedettariat rapporte bien plus pour certains que la responsabilité de tenter de mener « La Paix » dans le monde.

À regarder de plus proche, il est indéniable que nous vivons dans un monde de complotistes plus énormes que le Monde des dinosaures. Cela peut-il expliquer le sens de certains qui se trouvent le plus isolé du monde, car ils sont seuls ? En tournant simplement la tête, nous avons quelques exemples, y compris en France. Puis dire que nous sommes dirigés par voie de conséquence, par des vampires qui ne sont avides que de sang. Sans plaindre ne trouverait pas de signification puisque pour le même prix, il vous offre le cirque des arènes de Rome à l’époque du 3e Millénaire.

Aspirer des sous sur les ultra-riches les multinationales qui truandent. Plan de lutte contre la fraude fiscale du gouvernement, durcit les contrôles et sanctions à leur égard tout en allégeant la pression sur le petit contribuable. Avant une présentation officielle, le ministre délégué chargé des Comptes publics, Gabriel Attal, a réservé les mesures principales de ce plan, lequel vise à répondre à la demande de justice formulée par les Français.

Ce plan prévoit une hausse de 25 % des contrôles fiscaux sur les gros patrimoines d’ici fin 2027. Sans plus de détails sur le sujet. Fait plus précis il annonce des contrôles fiscaux tous les deux ans pour les plus grandes capitalisations boursières. Il n’existait à ce jour pas de rythme précis fixé pour les grands groupes.

Bercy, durcit les sanctions à l’égard des fraudeurs et, pour les fautes les plus graves telles dissimulations d’avoirs à l’étranger. Songe à une « sanction d’indignité fiscale et civique », sous la forme d’une privation de réduction ou crédit d’impôt ainsi que du droit de vote pendant une certaine durée. Ces propositions devront passer par le Conseil d’Etat qui devra jauger de leur constitutionnalité, a concédé le ministre.

Des recrutements ?

Pour que ce coup de collier puisse se matérialiser, Attal promet 1 500 effectifs supplémentaires étofferont les équipes qui luttent contre la fraude fiscale d’ici 2027. Un nouveau service de renseignement fiscal à Bercy, doté d’une centaine d’agents d’élite d’ici là, sera dédié à la lutte contre les grandes fraudes internationales. Tracfin, la cellule de renseignement financier de Bercy, ne peut pas recourir aux techniques de renseignement en matière de fraude fiscale, sauf lorsque l’affaire relève de la criminalité organisée. Le nouveau service pourra, lui, utiliser les écoutes, la captation de données, la pose de balises pour aller chercher des informations dans des Etats ou des territoires non coopératifs comme le Panama ou les Bahamas.

Notre priorité : faire payer ce qu’ils doivent aux ultra-riches et aux multinationales qui fraudent. En s’en prenant aux plus aisés, le ministre insiste parallèlement sur l’idée d’alléger la pression sur le petit contribuable, le petit patron, en massifiant, les régularisations plutôt que d’avoir recours aux contrôles et en instaurant, une remise de pénalité automatique pour la première erreur. Autre geste vers le commun des contribuables : la création d’une pénalité inversée automatique en faveur du contribuable en cas d’erreur de l’administration.

Le gouvernement s’attaque à un phénomène qui ne fait l’objet d’aucune estimation officielle.  Certains parlent de 30 milliards, d’autres de 100. La fraude fiscale représente plusieurs milliards ou dizaines de milliards à récupérer par l’Etat. En France, 10 % des contribuables paient 70 % de l’impôt sur le revenu, a rappelé le ministre pour qui la fraude des plus puissants est impardonnable. Je ne dis pas qu’ils fraudent davantage, mais quand cela arrive, les montants sont importants, souligne le ministre.

Ce dernier rappelle qu’en matière de fraude fiscale : on a eu l’an dernier 14,6 milliards d’euros de mises en recouvrement notifiées par la Direction générale des Finances publiques. Et concernant la fraude sociale : on a recouvré 800 millions d’euros de cotisations sociales non versées du côté de l’Urssaf, avait-il chiffré. Sur ce sujet de la fraude sociale, le gouvernement présentera une réforme d’ici la fin du mois.

À ne pas en douter, si vous mettez en guise de circonstances. Les gens face à leurs responsabilités. Vous avez cela juste au-dessus, à divers stades ou chambrées. Coin du voile que certains ne veulent surtout pas voir fleurir en leur demeure. Surtout entre vices et vertus de merveilleux arrangements, ce qui permet à certains autres de dire « Je sais que l’on ne sait jamais »

Les légendes ont encore de belles heures devant elles. À l’évidence, cela est totalement incontournable. Combien d’hôpitaux, d’écoles : pourraient être rénovés, construits ? Permettre de savoir lire et écrire avec ces mannes d’argent manipulé comme des pantins. Pourrions-nous offrir ? Au peuple qui occupe l’Europe, le monde, pour écrire un mot juste vivre dans le « Bonheur »

Le Panda

Patrick Juan

32 réflexions sur “Sauver l’hôpital et l’école

  • Bertrand Pancher, président du groupe Liot: « Notre proposition de loi d’abroger la réforme des retraites est une opportunité pour le président Macron »

    Le groupe Liot à l’Assemblée a déposé un projet de loi visant à abroger le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

    Le vote de ce texte aura lieu le 8 juin prochain.

    L’intersyndicale a prévu une journée de mobilisation deux jours avant.  

  • Après avoir rélégué le dossier immigration, le gouvernement veut le remettre en selle et présenter un projet de loi lors d’un Conseil des ministres en juillet.

    La manoeuvre vise à couper l’herbe sous les pieds des Républicains mais crispe déjà une partie des députés macronistes.
     
    Sur le retour du haut de la pile. À peine deux semaines après avoir été reporté à l’automne par Élisabeth Borne, le projet de loi immigration revient sur la table.

    Un texte sera bien présenté en Conseil des ministres en juillet.

    De quoi illustrer à nouveau les hésitations de la majorité sur les sujets migratoires.

  • « C’est un sujet qui est difficile par essence d’abord. Et on sent tous qu’on n’a pas besoin de choses très complexes en ce moment à l’Assemblée nationale », décrypte un habitué du Parlement.

    Des concertations pour sortir de l’ornière.

    Matignon a pourtant décidé de réactiver les discussions.

    La Première ministre a ainsi reçu lundi soir Olivier Dussopt, Frank Riester et Gérald Darmanin.

    Au menu: « Conduire dans les prochaines semaines des concertations pour proposer une stratégie permettant de faire adopter des mesures efficaces et pouvant rassembler la majorité présidentielle ».

  • La manœuvre, qui vise à concerter très largement tous les groupes parlementaires, veut permettre de trouver un texte qui peut rallier largement les votes de la droite.

    C’est certes une obligation dans le contexte de majorité relative à l’Assemblée nationale mais qui a tout d’un virage à 180 degrés.

    « Ce n’est pas le moment de lancer un débat sur un sujet qui pourrait diviser le pays », avait jugé mi-avril Élisabeth Borne.

    Il faut dire que Matignon avait sorti la calculette: « Il n’existe pas de majorité pour voter un tel texte », avait noté la Première ministre, jugeant que « le compte n’y était pas » chez les LR.

    « Je ne vois pas toujours pas bien en quoi la droite va vouloir voter »

  • « Si nous ne pouvons pas trouver d’accord global, nous présenterons en tout état de cause, un texte à l’automne, avec comme seule boussole, l’efficacité », avait-elle encore annoncé.

    De quoi espérer clôre le sujet pour quelque temps.

    Mais, depuis, la droite a annoncé vouloir plancher sur leur propre proposition de loi, donnant des sueurs froides au gouvernement.

    « C’est la seule donnée qui a changé sur le tableau ces dernières semaines.

    Et je ne vois toujours pas bien en quoi la situation politique a changé au point de croire que la droite va vouloir voter notre texte », grince un cadre de la majorité.

  • Mais le gouvernement a manifestement craint que la proposition de loi puisse faire en partie le plein dans les rangs de la majorité.

    « Imaginez des Horizons, des Renaissance qui votent ce texte qui est ensuite adopté au Sénat puis qui revient à l’Assemblée. C’était la galère écrite d’avance », analyse de son côté un député Renaissance de la Commission des lois.

    Si l’Assemblée nationale ne devrait pas, à la fin, plancher sur ce projet de loi avant l’automne, l’ouverture de discussions formelles permet également de satisfaire le président.

    « S’appuyer sur le texte des sénateurs » qui a durci le projet de loi.

    Après avoir annoncé le report du texte lors de son allocution, Emmanuel Macron avait finalement plaidé pour un texte « efficace et juste » dans les prochains mois.

  • Certains dans l’aile droite de la majorité veulent désormais tendre la main au Sénat à majorité LR qui avait déjà planché sur une première version en commission des lois.

    « Si le texte des sénateurs est efficace, on devrait pouvoir s’appuyer dessus. Si des groupes à l’Assemblée décident de ne pas le voter parce que c’est le gouvernement qui le dépose, ce serait incompréhensible », avance le député macroniste Éric Woerth, longtemps élu LR.

  • Mais si le vote de la droite au Palais-Bourbon est loin d’être acquis, la situation n’est guère plus évidente au sein même de la majorité.

    En 2018, une dizaine de députés Renaissance n’avaient pas voté le projet de loi asile immigration et occupé le terrain médiatique pour faire valoir leur opposition.

    En l’absence de majorité relative, pas question de se passer de l’intégralité des voix de la majorité présidentielle cette fois-ci.

  • Inquiétude de l’aile gauche
    Si le visage des élus de Renaissance a changé lors des dernières législatives, déplaçant le barycentre de la majorité présidentielle plus à droite qu’en 2017, l’exécutif semble tout à fait conscient du risque.

    Il avait donc présenté une première version de la réforme de l’immigration avec des éléments « sucrés » et des éléments « salés ».

    Le projet de loi dans sa première mouture voulait à la fois à faciliter la régularisation de travailleurs sans papiers déjà en France, tout en facilitant les mesures pour améliorer les taux de reconduite à la frontière.

    Qu’en sera-t-il dans la nouvelle version, alors que le Sénat a donné un très sérieux tour de vis à la version gouvernementale?

    La question est entière et agite fortement l’aile gauche de la macronie.

  • « Si Élisabeth Borne donne tout aux Républicains, elle n’aura plus la majorité présidentielle avec elle, c’est certain.

    Quant à la version du Sénat, elle n’est tout simplement pas acceptable », prévient déjà le député Renaissance Ludovic Mendes.

    La chambre haute avait prévu d’instaurer des quotas annuels ou encore de restreindre très fortement l’Aide médicale d’État.

  • Les faits se seraient déroulés dans deux salons de massage au Mans, à Limoges, à Saint-Malo et en région parisienne.

    Il sera jugé le 30 mai.
     
    Il est soupçonné d’avoir mis sur pied un réseau de prostitution. Un éboueur vivant en région parisienne a été interpellé mardi dernier pour proxénétisme, suspecté d’avoir fait venir huit femmes de Chine afin de les prostituer dans des salons de massage du Mans (Sarthe) et de Limoges (Haute-Vienne), rapportent Ouest-France et Actu.fr.

    L’homme aurait organisé leur venue en France en leur payant le transport puis en postant sur Internet des annonces de prostitution. Ces femmes en situation irrégulière se seraient livrées à des actes sexuels pour le compte de cet éboueur, propriétaire des deux établissements, à partir du mois de mars 2020.

  • Placé sous contrôle judiciaire.

    Selon Ouest-France, les enquêteurs ont retrouvé chez cet homme âgé d’une cinquantaine d’années des milliers d’euros en liquide.

    Il est également soupçonné d’avoir organisé la prostitution d’autres femmes dans des appartements en région parisienne.

  • Maïwenn Le Besco reconnaît avoir agressé Edwy Plenel.

    Selon la plainte d’Edwy Plenel, Maïwenn Le Besco l’aurait agressé dans un restaurant en février dernier.

  • C’est un petit mot qui en dit long. Alors qu’elle s’apprête à projeter son nouveau film sur Jeanne du Barry en ouverture du festival de Cannes, la réalisatrice Maïwenn Le Besco était l’invitée ce mercredi 10 mai au soir de l’émission Quotidien, présentée par Yann Barthès.

    Outre évoquer son film, le journaliste lui a demandé si elle avait bien agressé Edwy Plenel, « oui », a-t-elle répondu. 

    Le fondateur de Mediapart a déposé plainte, a-t-on appris début avril pour agression contre la cinéaste.

  • Dans sa plainte déposée le 7 mars et consultée par l’AFP, il relatait que le 22 février, alors qu’il dînait avec un avocat dans un restaurant du XIIe arrondissement, « une femme, précédemment assise, seule, à une autre table ’…) a surgi et dans un laps de temps très court a saisi ce dernier par les cheveux avec violence, lui renversant la tête en arrière et esquissant un crachat sur son visage ».

    Cette dernière a été identifiée par le personnel du restaurant comme étant Maïwenn Le Besco.

  • Sur plateau de Quotidien, cette dernière n’en a pas dit beaucoup plus. Quand Yann Barthès lui demande si elle peut expliciter les raisons de cette agression, la réalisatrice de Polisse botte en touche. « Non.

    C’est pas le moment pour que j’en parle, j’en parlerai quand ce sera le bon moment », se défend-elle.

    La cinéaste explique cependant ne pas avoir reçu de plainte.

    Selon les déductions d’Edwy Plenel, qui « n’a personnellement jamais eu maille à partir » avec la réalisatrice, est-il souligné dans la plainte, les articles publiés par Mediapart sur les soupçons de viol visant Luc Besson, son ancien compagnon et père d’un de ses enfants, pourraient avoir motivé son geste.

  • Le drapeau européen obligatoire pour les mairies de plus de 1500 habitants : les députés disent oui.

    Les députés ont validé la proposition de loi du groupe Renaissance visant à rendre obligatoire les drapeaux français et européens devant certaines mairies de l’Hexagone.

  • L’examen de cette mesure divisait même le camps de la majorité. L’Assemblée nationale a voté dans la nuit de mercredi à ce jeudi 11 mai un texte visant à rendre obligatoire les drapeaux français et européen  au fronton des mairies  de plus de 1500 habitants.

    Un usage déjà répandu.

    Au terme d’un examen tendu, la proposition de loi a été soutenue par 130 voix contre 109 en première lecture et doit désormais être examinée par le Sénat.

  • Assouplissement du texte critiqué.

    Des amendements ont assoupli le texte initial, en permettant que les drapeaux puissent être hissés à proximité des mairies ou sur leurs toits et surtout en exemptant les communes de moins de 1 500 habitants de l’obligation de pavoisement, pour des raisons financières.

    « L’exemption concerne 70 % des communes de France », a dénoncé le député LR Philippe Gosselin, « ça n’a pas de sens » dans une « République une et indivisible ». 

    « Soit (le drapeau européen) c’est important, c’est un symbole et on l’affiche partout » soit non, a critiqué l’écologiste Jérémie Iordanoff, en annonçant une abstention sur l’ensemble du texte.

    Les députés ont voté un amendement pour garantir dans toutes les mairies cette fois la présence du portrait officiel du président de la République, un usage lui aussi répandu.

    Puis deux autres pour apposer la devise Liberté, Égalité, Fraternité sur leurs façades (amendement Léaument, LFI) ou afficher la déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen à l’intérieur (Gosselin, LR).

  • Date symbolique.

    La proposition de loi, portée par le groupe macroniste Renaissance, avait été volontairement inscrite à l’agenda mardi, jour de l’anniversaire de la déclaration de Robert Schuman du 9 mai 1950, considérée comme un texte fondateur de la construction européenne, mais les débats tendus ont débordé sur la soirée de mercredi.

    À un an des élections européennes, le rapporteur Renaissance Mathieu Lefèvre assume le caractère clivant de sa proposition à « portée symbolique ». 

    « Ceux qui ont du mal à masquer leur malaise devant le drapeau étoilé ont tout autant de mal à masquer leurs rêves de Frexit déguisé, rouge pour les uns et brun pour les autres », a-t-il attaqué, ciblant les députés insoumis et RN.

    La secrétaire d’Etat chargée de l’Europe, Laurence Boone, a renchéri en pointant les « deux extrêmes de cet hémicycle ». Insoumis et communistes ont raillé « la tentative de diversion » du camp présidentiel pour essayer de tourner la page de la réforme des retraites, par une mesure « sans aucune utilité pratique ».

     

  •                                                           INADMISSIBLE

    VOUS N’AVEZ PAS DES COUILLES POUR VOUS EN PRENDRE A UN ENFANT C’EST SCANDALEUX UNE HONTE VOUS MERITEZ D’ÊTRES LAPIDES.

    Brigitte Macron dénonce l’agression de Jean-Baptiste Trogneux, son petit-neveu, à Amiens.

    Le patron de la chocolaterie Trogneux et petit-neveu de l’épouse d’Emmanuel Macron a été pris à partie à Amiens, en marge d’une manifestation contre la réforme des retraites.

    Je ne suis un ami de votre mari mais JE DEPLORE QUE L’ON S’EN PRENNE                                           A DES ENFANTS.

    LE PANDA 

    PATRICK jUAN

  • Huit personnes ont été interpellées le lundi 15 mai au soir à Amiens pour une agression contre Jean-Baptiste Trogneux, un petit-neveu de Brigitte Macron et patron de la chocolaterie Trogneux, en marge d’une manifestation contre la réforme des retraites, ont rapporté une source policière et son père.

    Les personnes interpellées étaient toujours en garde à vue mardi matin, a précisé la source policière.

  • Brigitte Macron a dénoncé dans la journée, dans une déclaration transmise à l’AFP, « la lâcheté, la bêtise et la violence » des agresseurs. 

    « Je suis en solidarité totale avec ma famille et en rapport constant, depuis hier 23h, avec Jean-Baptiste (mon petit neveu, victime de l’agression) et Jean-Alexandre (mon neveu, père de la victime) », a-t-elle dit. 

    « J’ai à plusieurs reprises dénoncé cette violence qui ne peut que mener au pire », a ajouté l’épouse du président de la République.

    Oui Madame vous avez parfaitement raison.

    Patrick Juan

    Le Panda

  • Jean-Baptiste Trogneux « en observation »

    D’après Jean-Alexandre Trogneux, père de la victime, il s’agit de six hommes et de deux femmes. 

    Selon lui, son fils âgé de 30 ans a été reconnu et pris à partie par un groupe qui participait à une « casserolade » dans le centre-ville d’Amiens à l’issue de l’interview d’Emmanuel Macron au journal de 20 heures de TF1.

    Les agresseurs l’ont frappé à la tête, aux bras et aux jambes, en injuriant « le président, son épouse et notre famille », avant de prendre la fuite quand trois voisins sont intervenus, a-t-il décrit à l’AFP.

    Jean-Baptiste Trogneux était mardi matin « en observation dans l’attente d’un scanner », a précisé son père.

  • Avec cette agression, « on a dépassé les bornes, je suis effaré », a-t-il commenté.

    Il a déploré qu’en dépit de l’absence « de tout lien financier » entre la chocolaterie Trogneux et le couple présidentiel, les établissements de cette marque dans les Hauts-de-France soient régulièrement visés en marge de manifestations depuis l’arrivée au pouvoir du chef de l’État.

  • Éducation : le niveau de lecture des écoliers français ne décolle pas.

    D’après une étude internationale, les écoliers français conservent leur niveau de compréhension de lecture mais restent en dessous de la moyenne européenne.

  • Les écoliers français en classe de CM1 maintiennent leur niveau de lecture.

    C’est le résultat de l’étude internationale Pirls (Progress in International Reading Literacy Study), réalisée dans 57 pays entre 2021 et 2022 et publiée mardi 16 mai.

    Quatre cent mille écoliers, dont 5 300 en France, ont été évalués sur leurs capacités à comprendre des textes.

    Dans le contexte de la pandémie de Covid-19, l’Hexagone obtient un score global moyen de 514 points, au-dessus de la moyenne internationale à 500 points, mais inférieur à la moyenne européenne, à 527 points.

  • Éducation : « Travailler les compétences de lecture à la maison favorise l’apprentissage à l’école »

    La France enregistre ainsi une certaine stabilité par rapport à la précédente étude, éditée en 2016, après quinze années de baisse continue, souligne de son côté l’agence statistique du ministère de l’éducation (Depp).

    Son score moyen de 2021 revient même à un niveau comparable à celui de 2011 (520 points), précise la Depp.

    Les premiers du classement sont Singapour (587 points), suivi de Hong Kong (573 points) et de la Russie (573 points).

    Dans l’Union européenne, 21 pays devancent la France, dont la Finlande et la Pologne (toutes les deux à 549 points).

    La France a pourtant réduit son écart avec la moyenne de l’UE (de 28 points de différence en 2016 à 15 points en 2021).

  • « Ne pas fermer les écoles a permis d’éviter beaucoup de dégâts »

    Une bonne nouvelle ?

    Oui, mais à relativiser d’après Roland Goigoux, enseignant-chercheur spécialiste de la lecture à l’université de Clermont-Ferrand. 

    « Pendant la période du Covid-19, le gouvernement a fait le choix de ne pas fermer les écoles, ce qui a permis d’éviter beaucoup de dégâts.

    Les enfants ont été incités à lire, leurs compétences en compréhension ont été normalement stimulées. » L’étude précise que, dans ce contexte de pandémie, la grande majorité des pays de l’Union européenne (UE) affichent en moyenne une baisse de 11 points par rapport à 2016.

    En France, « le niveau ne se dégrade pas, mais n’augmente pas non plus ».

  • Éducation : les astuces des parents pour faire lire leurs enfants.

    Pour l’expert, « la France est l’un des pays qui enseigne le moins bien la compréhension de la lecture ». 

    Or, l’étude Pirls s’intéresse tout particulièrement à la capacité des écoliers à interpréter les textes. 

    « Les élèves français savent déchiffrer un texte, y trouver une info.

    Mais synthétiser sa lecture, organiser sa relecture, est peu enseigné. » Et reste bien souvent à la charge des parents. 

    « Dans notre pays, la mobilisation parentale est maximale sur la lecture.

    Ce sont les familles qui prennent le relais, avec de très fortes inégalités selon les catégories sociales », abonde Jérôme Deauvieau, sociologue de l’éducation à l’École normale supérieure et membre du conseil scientifique de l’éducation nationale.

  • Des lacunes qui pénalisent tout l’apprentissage.

    Le retard dans l’apprentissage de la lecture pèse très lourd sur les écoliers défavorisés. 

    « Avec la lecture, on développe des compétences réutilisables dans tous les autres enseignements.

    Quand on ne sait pas bien lire, on prend du retard partout », soupire le sociologue.

    D’après l’expert, le problème vient de la différence des méthodes d’apprentissage de la lecture.

    Pour Roland Goigoux, la clé est dans la formation des professeurs des écoles. 

    « Les enseignants ne sont pas formés et ne bénéficient pas d’une formation continue digne de ce nom, déplore-t-il. 

    Nos déficits sont les points forts des pays qui réussissent le mieux dans ce classement. »

  • Lecture, le long déclin de l’école française.

    Autre point soulevé par l’étude Pirls, en France les filles ont de meilleurs résultats (521 points) que les garçons (507 points).

    C’est le cas dans tous les pays soumis à l’étude, hormis l’Espagne et la République tchèque, d’après la Depp. 

    « Les filles lisent plus que les garçons.

    Prendre du temps pour lire est beaucoup plus valorisé dans leur cas que faire du sport ou être dehors », décrypte Roland Goigoux.
     
    Que se passe-t-il dans les toilettes des établissements scolaires ?

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