Savoir où et comment Aller

Rien ne s’invente tout se transforme. Pourtant certains hommes pensent donc que d’autres choses sont possibles par de nouvelles inventions. Ceux qui y croient plongent en plein mirages au point d’oublier que ce sont les guerres, les révolutions, qui ont fait grandir le monde en tous domaines.

Souvenons-nous de ce que Napoléon Bonaparte as-pu dire à un moment donné dans une réalité réelle face à Talleyrand. Il faut indéniablement aller où nous devons le savoir sans oublier que nous avons chacun un passé, car en l’oubliant le présent n’existerait point.

Ce qui démontre bien que l’ignorance demeure la perte de chacun, de ne pas savoir avec qui et comment nous souhaitons aller.

En quelque chose, nous avons tous une mémoire sélective et que des échecs passés, puis peut être d’autres choses plus importantes à venir une phrase de poids, comme cette phrase.

La question que l’on peut se poser reste de savoir, si l’un et l’autre pouvait aller où leur destin les emporta ?

Dixit : Ce n’est pas donné à chacun de vous ressembler, vous êtes un voleur, un homme sans foi, vous ne croyez pas en Dieu.

Toute votre vie, vous ne cessez de manquer à tous vos devoirs, vous avez trompé trahi tout le monde : Tenez Monsieur « vous n’êtes que de la merde dans un bas de soie »

Le monde a-t-il évolué au 21e siècle ce serait un rêve que de vouloir y croire lorsque l’on voit la puissance et que l’on constate ce que l’argent peut faire avec le monde.

Les médias ce que l’on appelait la presse ancienne ou la nouvelle a-t-elle changé quelque chose dans le cadre de nos conditions de vie c’est pire qu’un d’euphémisme que de vouloir y croire.

La vraie presse qu’elle soit écrite, parlée ou bien télévisée, a toujours été censuré pas des gens qui ignorent totalement ce qu’est le métier de journaliste. Le réel le vrai, celui qui guide les cultures.

De faire du « fait divers » cela n’implique que la responsabilité de celui qui a composé un texte d’après des informations reçues mais faut-il encore que ces dernières soient contrôlables où contrôlées véritablement.

Cela n’est pas facile et nombreux sont les médias de toutes sortes qui se font prendre entre le marteau et l’enclume.  

Par des dépêches ayant pour origine des informateurs, financés d’une manière ou d’une autre, le plus grave demeure que ces derniers n’ont aucune formation en ces disciplines.

Pourtant ces crécelles de couloirs, « mensongères » elles qui sont parfois bien souvent vitales pour notre devenir, et celui de nos proches, qui nous mordent.

Un langage, des promesses destinées à ceux qui veulent bien y croire et qui se laisse piéger par de simples promesses hypothétiques, comme les livres de contes de notre enfance, qui nous berçaient juste avant de nous endormir pour que nous puissions passer une nuit paisible et tranquille.

Inutile dans cet article de tenter de leur faire un procès quelconque soit-il alors que si cela se trouve ils n’en prendront pas même connaissance de ce qui peut être dit à leur sujet.

Nous sommes pourtant à une période où le lecteur où l’auditeur nous ne se rendra même pas conte qu’il est directement visé par une information donc déguisé voir presque subliminale.

Certes cela est vrai à priori seuls les puissants détenteurs d’une certaine force qui leur apporte à devenir financiers ou simplement le goût du pouvoir afin de nous amener là où il le souhaite sans que parfois nous soyons capables de nous en rendre compte.

Nous allons rentrer en pleine campagne électorale mais nous sommes déjà dans une pré-électorale qu’on le veuille ou pas sommes-nous auditeurs, lecteurs, téléspectateurs friands où désireux de pouvoir découvrir ce qui fera en sorte que nous aurons une tendance à aller en direction d’un tel ou d’un tel, il va de soi que ce soir prix au masculin où voir au féminin.

La France, l’Europe, le monde sont dans un gouffre qui est tellement énorme que la vie et le fond se confond avec l’horizon.

C’est justement ce manque de clairvoyance de clarté qui sait que nous nous trouvons dans un monde d’exclusion de nantis ou les plus riches retrouvent leur place dans une société qui est la leur.

Que leur fortune va de plus en plus en augmentant sans que nous sachions exactement avec qui nous allons et comment.

Les pauvres sont de plus en plus pauvres mais à ce rythme-là où allons-nous terminé sinon que dans le caniveau comme le disent certaines chansons du temps passé.

Le monde s’est effectivement qu’on le veuille ou pas réellement transformé dans le bon sens sûrement pas.

C’est une des raisons essentielles pour laquelle « sans musiques, sans danses, sans mouvements la vie tous ses sens »

Le peu de ce qui est édicté dans cet article ne reste qu’une faible apparence de ce que sera la suite.

Les principales preuves qui nous sont donnée au quotidien, figurent dans tous les manuels de médecines de sciences car un corps qui ne bouge pas va vers un déclin évident.

Une forme de dicton essentiel existe la preuve c’est lorsque on se trouve dans un cabinet de kinésithérapie ou après une intervention chirurgicale.

Le principal reste de faire travailler son corps afin qu’il devienne souple aussi simple, puis répondant comme peuvent l’être nos actes ceux dans lesquels on souhaiterait grandir, évoluer et voir le monde d’une façon différente.

L’information avant d’être transmise en salle de composition aux marbres, doit être contrôlée pour que pas trop de vérités ne ressortent justement de ces plaques.

Or en de nombreux domaines on ne laissera jamais passer par oublis ou coquilles des négligences qui démontreront que les responsabilités impliquent ceux qui tentent justement de donner des leçons alors qu’ils auraient bien plutôt besoin d’en recevoir.

C’est ainsi que les premières leçons que l’on peut tirer comme la valeur ancestrale de ce que les aînés considèrent comme étant la véritable presse ancienne par rapport à ce que les autres appellent le progrès d’une presse médiatisée à outrance et qui se dit nouvelle.

La France comme tout le restant du monde au lieu de progresser marque sans arrêt des phases de recul d’où le fait essentiel de se poser la bonne question comment réussir à terminer la fin du mois sans avoir besoin de faire un nouvel emprunt ?

Les paradis fiscaux sont loin de cesser de fleurir alors que les exclus tout comme les drogues à petite ou grande dose circulent dans les écoles et produisent indéniablement masse d’exclus ou de rejets en fonction du faciès de ce fait nous nous trouvons presque face à une guerre de religion.

C’est au plus juste ce que nous pouvons constater lorsque à regarder un mur nous avons le sentiment de regarder l’œuvre d’un peintre alors qu’en réalité il s’agit tout simplement d’un trompe-l’œil.

Cet article qui aura une suite démontre à l’évidence que dans les mois à venir, donc dans peu de temps les bagarres vont sembler acharnées, tout simplement pour gagner une place dans un de ses hémicycles, auquel le citoyen de « base smicard » ne trouvera jamais sa place.

Peut-être que pour mieux comprendre ce que l’on nous cache toute comme agit la politique la société des profits démontre donc ce que sont les médias.

Faut-il regretter en permanence les actions commises pour revenir sur un passé qui ne rouvre que des plaies qui n’ont pas eu le temps de se cicatriser ?

Ainsi nous avons le départ de la démonstration comme si nous avions choisi la couleur de notre peau au stade embryonnaire, le lieu où nous devions naître et le choix de nos propres parents sommes-nous responsables des actes qui ont pu être commis dans des générations passées ?

Il sera plus que plus simple de démontrer que la responsabilité bien souvent incombe à l’ensemble d’une civilisation dont « les dirigeants » désireux d’avancer dans un soi-disant « progrès » n’ont pas su maîtriser les actes au sens de profits.

Et qui à la date des moments auxquels nous vivons, cela depuis plus d’un demi-siècle : « les marginaux ne font qu’augmenter tels que les exclus, les drogues, la disparition de la valeur familiale, les pouvoirs publics, qui sont rejetés au fond des oubliettes en oubliant un mot tout simple « le respect » et la trop grande puissance des trusts mondiaux »

A suivre…/…

Le Panda

Patrick Juan