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Respect de notre Santé, face aux turbulences Gouvernementale

Temps de lecture : 6 minutes

Respect de notre Santé, face aux turbulences Gouvernementale

Les contes pour enfants doivent cesser, les promesses politiques sont faites pour ceux qui veulent y croire, à défaut par certaines formes de lobbies définissables.

L’interview du 14 juillet 2022 d’Emmanuel Macron ne laisse augurer rien de très positif, sinon qu’une défense non primordiale pour la France.

Les caractères majeurs sont écartés en prenant place à la table des écoutes sans finalité des conditions de vie prioritaires pour chacun de nous.

Nous sommes réellement sur des sables mouvants, à un stade ou les vaccins devraient sortir des monopoles pour devenir publics.

Dans le cas contraire, la préparation du retour du passe-sanitaire n’est plus un songe sur le Mont Chauve…

En touchant aux libertés essentielles, les clans se forment avec le plus grand du « Nouvel Ordre Mondial » très loin d’être un euphémisme.

Les « Tocards » de Gargantua qui pensent qui nous avons un temps de retard à l’allumage, feraient mieux de regarder de « Les rétroviseurs » pour comprendre que les poursuivants sont devenus en sens inverse de leurs désirs.

A ne pas ignorer surtout, nous avons un président hors pair, il faut comprendre que le principal de ses souhaits reste « De nous faire travailler plus, mais sans gain de plus » surement pour rattraper le gouffre de certains de ses séismes ». Il sert à quoi de changer de ministre ? Nous finissons par ignorer qui est responsable de qui et de quoi ?

Crise : la France devrait éviter la récession techniquement au 1er semestre 2022, de façon globale, mais plusieurs secteurs vont plonger dans le rouge vif.

Les conséquences de la guerre en Ukraine, qui sont venues s’ajouter aux tensions préexistantes sur les approvisionnements, alimentent cette inflation élevée à travers la forte contribution des prix de l’énergie en lien avec le prix du pétrole.

De plus, le prix du diesel raffiné, déjà en hausse tout au long de l’année 2021 à la suite de la reprise post-Covid, s’est fortement apprécié depuis le mois de février 2022.

En effet, le conflit en Ukraine a entraîné une baisse importante des exportations russes de diesel (la France importe autour de 20 % de son diesel depuis la Russie), contribuant à une hausse des marges de raffinage, qui sont in fine répercutées dans les prix à la pompe.

Enfin, comme déjà indiqué, nous faisons l’hypothèse conventionnelle que les mesures prises pour contenir les hausses de prix de l’énergie (de type bouclier tarifaire) ne seraient pas prolongées au-delà de la fin 2022.

Perte de pouvoir d’achat

Au total, la guerre en Ukraine et ses conséquences engendreraient donc une perte de pouvoir d’achat de 2 points de PIB entre 2022 et 2024 en France, ainsi qu’une hausse de 3,5 points de l’inflation, estime la Banque de France.

Pour les ménages, cela se traduirait par une perte de pouvoir d’achat d’environ 1% cette année, tandis que les entreprises verraient leur taux de marge amputé de 2 points, soit deux fois moins que ce qu’elles avaient subi lors de la forte inflation des années 70.

Urgences

Gouvernement : la Santé fragile, le ministère promet des solutions

Promue par Emmanuel Macron, Brigitte Bourguignon hérite d’un secteur à bout. Elle assure vouloir donner la priorité à la discussion avec les acteurs du monde médical, qu’elle peine pour l’instant à convaincre.

Un ministère coupé en deux

Pour Brigitte Bourguignon, issue de la gauche, la Santé et la Prévention. Pour son colocataire, Damien Abad, venu de la droite, les Solidarités – et le « pognon de dingue » des prestations sociales qui va avec.

L’Autonomie et les Personnes handicapées. Mais vu la charge de travail que son prédécesseur, Olivier Véran, a dû avaler avec les vagues de Covid et le feu social dans des hôpitaux et services d’urgences déjà en crise avant la pandémie, Brigitte Bourguignon ne devrait pas s’ennuyer avec « seulement » la Santé dans son portefeuille avenue Duquesne.

Déjà familière de ce ministère – elle était jusqu’ici chargée de l’Autonomie, donc des questions liées au grand âge dans le gouvernement de Jean Castex – la nouvelle ministre de la Santé a été accueillie cette semaine par un premier mouvement de contestation, mardi, à Paris et dans une cinquantaine de villes. « Soignants débordés », « services d’urgence qui ferment cet été »

Brigitte Bourguignon va devoir contenir la contestation d’un secteur à bout. « Je reconnais les grandes tensions qui traversent le secteur de la santé pour des raisons conjoncturelles profondes », dit-elle.

« Damage control»

Comme Emmanuel Macron depuis l’Elysée et Elisabeth Borne à Matignon, Bourguignon insiste sur la « méthode » qu’elle souhaite mettre en place à Ségur, faite de « dialogue » et de « transparence» avec l’ensemble des acteurs du monde médical et hospitalier.

« Celle déployée dans mes précédentes fonctions ».

Mais pandémie oblige, elle n’a pas pu aller jusqu’à la « grande réforme » pour les personnes âgées promise par le chef de l’Etat et espérée par l’aile gauche de la majorité.

Question calendrier, Bourguignon attend les conclusions de la « mission flash » sur l’hôpital annoncée fin mai par Macron lors d’un déplacement à Cherbourg (Manche).

Les résultats de cette mission sont attendus d’ici la fin du mois de juin : Faux

Elle doit fournir, dit-on au ministère, « une boîte à outils » pour lancer ensuite une «conférence des parties prenantes» destinée, «en concertation territorialisée», à réussir à mettre en place un «continuum de service public»…

Au risque de faire lanterner des soignants en burn-out qui demandent des moyens rapidement?

La, ou Le ministre a déjà annoncé, une série de premières mesures au congrès des urgences.

Bourguignon a promis «de réactiver le doublement de la rémunération des heures supplémentaires du personnel non médical, et du temps de travail additionnel des médecins, pour l’ensemble de la période estivale » et «un dispositif exceptionnel» pour que «les élèves infirmiers et aides-soignants ayant achevé leur formation initiale en juin et juillet [puissent] commencer à exercer immédiatement, sans attendre la remise officielle de leur diplôme».

Cet été, les soignants retraités « volontaires pour reprendre une activité » pourront cumuler plus facilement une rémunération avec leur pension. Les agences régionales de santé (ARS) ont été appelées à « remobiliser les dispositifs territoriaux de gestion de crise ».

D’autres mesures seront préconisées par la « mission flash » à la fin du mois, Faux

« On est dans une mission de damage control, terme qu’on utilise pour les blessés graves, pour passer l’été, a expliqué mardi devant les sénateurs le président de Samu-Urgences de France, François Braun, pilote désigné par le chef de l’Etat pour mener à bien cette mission d’un mois.

On ne va pas rédiger un rapport. Notre objectif est d’identifier quelques traitements à court terme assortis d’une petite notice explicative sur les effets attendus, de sorte à pouvoir en faire l’évaluation dans les deux mois. »

Auditionné par la commission des affaires sociales du Sénat, Braun précise : «La problématique aux urgences de Toulouse n’est pas la même qu’à celles de Cherbourg.

Notre prétention est de construire une boîte à outils contenant des solutions à proposer très vite aux territoires pour qu’ils arrivent à passer cette période [estivale]. »

Et pour la suite ?

A son ministère, on rappelle que le Ségur de la Santé, bouclé par Olivier Véran, a remis dans le système 19 milliards d’euros mais on insiste sur le besoin de « partir des besoins réels avant de parler de nouveaux investissements ».

« Je n’accepterai ni l’instrumentalisation politique ni que l’on fasse croire aux Français que, partout, le système s’effondre.

Ce serait méconnaître les efforts de tous sur le terrain », a-t-elle lancé au congrès des urgences à Paris.

De quoi énerver passablement ses futurs interlocuteurs pour les prochaines « concertations».

Contrebalancer l’aile droite

Ancienne présidente de la commission des Affaires sociales, Bourguignon est censée, en ce début de quinquennat, incarner une partie de l’aile sociale de ce nouveau gouvernement.

Certes, elle remplace à ce poste un autre transfuge du Parti socialiste. Mais aspiré par la gestion du Covid, Véran n’a jamais réussi à contrebalancer à lui seul « l’aile droite » des précédents gouvernements Philippe puis Castex.

Toujours « vigilante » sur le front de la pandémie avec l’apparition de nouveaux sous-lignages d’omicron (BA.4 et BA.5), Bourguignon pourra-t-elle profiter de cette accalmie pour imprimer une marque « sociale » sur les débuts du gouvernement Borne ?

En tout cas, la présence d’anciens socialistes à des ministères clés comme Olivier Dussopt au Travail ou de Gabriel Attal aux Comptes publics pourrait permettre de contrebalancer le poids important de Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, restés à Bercy et Beauvau, mais promus dans le rang protocolaire.

Et aider Macron à afficher la « réforme sociale » souvent promise mais jamais réalisée.

Première partie à suivre…….

Sources diverses et objectives – Archives du Panda

Le Panda

Patrick Juan

72 réflexions sur “Respect de notre Santé, face aux turbulences Gouvernementale

  • Bonjour

    à toutes et tous effectivement et parfaitement conscient de mes termes.

    Madame Bourguignon n’est plus MINISTRE DE LA SANTE.

    Cela démontre une fois de plus que les avancées sont faites à la maniére des ECRIVESSES.

    EN ARRIERE toutes……

    Monsieur Macron, fort habile dans le monde de la finance et celui de jouer à la REGENCE Morte….

    A fait appel à UN URGENTISTE de métier pour tenter de stopper l’hémorragie de corps céleleste venu de L’ORDRE DU NOUVEAU MONDE.

    Dans le cas ontraire avec SAGESSE ET à l’écoute démontrez vos capacités.

    Ce que vous pouvez indéniablement faire à défaut la TABLE D’escalibur VA SAUTER EN eclats.

    MERCI POUR LE BIEN ËTRE DE LA NATION FRANCE ET NON DES LOBBIES.

    Le Panda

    Patrick Juan

  • Edito
    Manque de main-d’œuvre: Emmanuel Macron et la fable de l’éléphant.
    L’exécutif chante les louanges de la loi de l’offre et de la demande pour toute décision d’inspiration libérale, mais trouve «révoltant» qu’elle profite pour une fois aux travailleurs les plus pauvres.

  • Le président de la République se promène dans la rue et voit un homme cloué au sol, un éléphant juché sur la poitrine.

    «Je n’arrive pas à respirer, souffle l’homme au Président. S’il vous plaît dites à l’éléphant de descendre.» Mais le Président est dubitatif.

    «Rien ne permet d’affirmer que le problème est l’éléphant, répond-il. Peut-être que vous fumez trop, ou que vous souffrez de naissance de troubles respiratoires, peut-être êtes-vous paresseux.»

    L’homme essaie de convaincre qu’il y a tout de même de fortes chances que la cause soit la plus évidente, mais le Président est inflexible : «Derrière votre mise en cause de cet éléphant, vous cherchez à bénéficier de la solidarité nationale pour votre paresse, et ça, j’ai du mal à l’entendre.»

  • L’économie française est plombée par une difficulté à recruter jamais observée depuis au moins cinquante ans : au premier trimestre 2022,

    le ministère du Travail comptabilisait 354 700 emplois vacants.

    En juin, 58% des chefs d’entreprise déclaraient être confrontés à des difficultés de recrutement, quatorze points de plus qu’il y a un an.

    Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a récemment déploré «une situation révoltante», érigée en priorité absolue de la rentrée, «deuxième urgence […] juste après le pouvoir d’achat», tandis que le Président réitérait jeudi son aversion pour les Français qui rechignent au travail mal payé pour bénéficier du RSA.

  • Mais la cause principale de cette pénurie soudaine de main-d’œuvre est avant tout liée aux salaires trop bas de certains secteurs, comme la restauration.

    Il est révélateur que l’exécutif chante les louanges de la loi de l’offre et de la demande pour toute décision d’inspiration libérale, comme la dérégulation des salaires des grands patrons, mais trouve «révoltant» qu’elle profite pour une fois aux salariés les moins fortunés.

    La pénurie de main-d’œuvre explose même dans des pays sans droits sociaux, comme les Etats-Unis. Macron ferait bien de quitter sa posture faussement moralisatrice et de s’adresser enfin à l’éléphant.

  • Interview
    «Nation organique»: un concept utilisé par Emmanuel Macron au «cœur de la vision du monde de l’extrême droite»

    Dans son interview du 14 Juillet, le chef de l’Etat a expliqué qu’«une nation, c’est un tout organique».

    Une notion prisée par l’extrême droite dans son histoire, explique l’historien Nicolas Lebourg.

  • Pour sa première interview télévisée depuis sa réélection, Emmanuel Macron a glissé dans ses réponses aux journalistes Caroline Roux et Anne-Claire Coudray une subtile référence à un concept prisé par l’extrême droite.

    En parlant d’une nouvelle réforme de l’assurance chômage, le chef de l’Etat a lancé qu’«une nation, c’est un tout organique», estimant qu’il «n’y a pas de modèle social s’il n’y a pas de travail pour le financer». 

    Nicolas Lebourg, historien spécialiste de l’extrême droite, revient pour Libération sur le sens et l’origine de cette expression.

  • D’où vient cette idée de «nation organique» ?

     
    Les idéologies nationales se sont cristallisées suite à la révolution française.

    Pour schématiser, il s’est développé en France une conception de la nation sur la base d’un contrat social. En Allemagne, l’idée nationale s’est structurée, elle, sur l’idée que les peuples ont un génie propre, une âme spécifique qui relie et dépasse ses membres.

    Cette représentation a abouti, à la fin du XIXe siècle, aux conceptions organicistes de l’extrême droite.

    En France, Maurice Barrès explique alors que la nation c’est «la terre et les morts» ; en Allemagne se développe l’idéologie «Blut und Boden» c’est-à-dire «sang et sol». 

    On n’est pas dans le contrat social mais dans l’appartenance à un tout organique.

  • Comment et pourquoi l’extrême droite utilise-t-elle ce concept d’organicisme ?

    Pour l’extrême droite, les nations sont des corps qui peuvent mourir et qu’il faut préserver de la division et de l’extérieur.

    Pour elle, la lutte des classes sépare la tête des bras. Les corps étrangers ne sont que des métastases, un cancer qui ronge le corps national.

    L’organicisme est le cœur de la vision du monde de l’extrême droite. L’unité organique est leur utopie, et leurs rejets (immigration, système politique pluraliste jugé diviseur etc.) en sont une conséquence.

    Cela suscite l’incompréhension de la gauche qui s’imagine que l’extrême droite est constituée d’«anti», de «contre», et ne comprend donc pas sa part séductrice.

  • L’écrivain fasciste Robert Brasillach définissait ainsi le fascisme comme l’amitié à l’échelle de la nation : c’était bien de l’attrait pour une société organique dont il parlait.

    Mais l’organicisme fonctionne aussi bien dans les courants totalitaires que démocrates, avec cet avantage dans le dernier cas que l’idéologie rejoint l’intérêt électoral.

    Dans notre système électoral, la préférence nationale a le mérite d’être un argument qui dit à tous les électeurs, des grands bourgeois aux précaires, qu’ils jouiront ensemble de l’Etat-providence en payant moins d’impôts puisque les immigrés seront tenus à l’écart de la solidarité nationale.

  • L’idée est-elle toujours en vogue au RN et à Reconquête ?

    Si le RN et Reconquête n’étaient pas organicistes, ils ne seraient pas d’extrême droite.

    Bien au contraire : c’est là un trait martelé tant par Marine Le Pen que par Eric Zemmour.

    Si le second assume avec fougue une conception ethniciste de la nationalité, la première martèle avec constance le principe de l’unitarisme national, même dans une forme très soft comme lors de cette campagne présidentielle.

    Elle expliquait ainsi en meeting il y a une poignée de semaines qu’elle défendait le «principe fraternel de la nation» contre «la division de droite et de gauche». 

    C’est une formulation passe-partout mais qui renvoie encore à cet unitarisme organiciste au cœur de sa pensée.

  • Faut-il voir dans la déclaration d’Emmanuel Macron un pas vers la vision du monde de l’extrême droite ?

    Ce serait aller vite en besogne !

    Il utilise cette expression quand on l’interroge sur la question sociale et non nationale.

    Plutôt qu’une conception pleinement organiciste de la nation, ce qui prédomine chez le président de la République c’est davantage l’idée du mérite des élites et le refus de la lutte des classes.

    Mais on ne connaît aucun cas en histoire électorale où la reprise de la vision du monde de l’extrême droite n’ait pas favorisé électoralement l’extrême droite.

  • Mesures
    Social : le Président presse le pas (et les syndicats)

    Ce 14 Juillet, le chef d’Etat a annoncé une «nouvelle réforme» de l’Assurance chômage «dès cet été» et confirmé celle des retraites en 2023.

    Les centrales y sont fermement opposées.

  • Si Emmanuel Macron avait voulu déclencher une tempête chez les syndicats, il ne s’y serait pas pris autrement. 

    A l’occasion de son interview du 14 Juillet, le chef de l’Etat a remis sur la table les principaux dossiers auxquels les centrales sont unanimement opposées : la réforme des retraites à l’horizon 2023 et le durcissement des règles de l’assurance chômage «dès cet été».

    «Nous devons travailler plus et plus longtemps, il n’y a pas de doute», a assumé le chef d’Etat, interrogé sur la réforme des retraites.

    Cette mesure phare de son projet présidentiel pourrait voir le jour dans un an, avec un premier texte en vigueur «dès l’été 2023». 

    Car, selon lui, la France aurait «l’un des modèles sociaux les plus généreux». Macron reste donc sourd aux avertissements des syndicats. «Annoncer à la rentrée le report du départ à la retraite, c’est le chaos social», avait prévenu le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, dans une interview à Libération début juillet.

  • «Impossible de mettre une deuxième couche»

    Si le Président a pris soin de contourner la question des hausses de salaire réclamées en chœur par les syndicats dans un texte commun signé mardi, il a remis le couvert sur le sujet brûlant de la réforme de l’assurance chômage. 

    «Bien sûr, nous devons aller plus loin», a-t-il assumé, et ce «dès cet été», à travers un texte qui devrait s’attaquer aussi au Revenu de solidarité active (RSA) et à «France Travail», nouvelle version de Pôle emploi.

    Macron justifie ce coup d’accélérateur par les pénuries de main-d’œuvre qui seraient, laisse-t-il entendre, liées à un manque d’entrain des chômeurs.

    S’ils «veulent profiter de la solidarité nationale pour réfléchir à [leur] vie, j’ai du mal à l’entendre.

    Parce que cette solidarité nationale, c’est ceux qui bossent qui la paient», a-t-il réprimandé.

  • De quoi faire bondir Michel Beaugas, secrétaire confédéral de FO : 

    «Tout le monde au boulot et à n’importe quel prix et les employeurs applaudiront des deux mains, voilà ce que le Président dit.» 

    Le syndicaliste craint que les marges de manœuvre des centrales soient très limitées : «En donnant la date de cet été, il empêche tout moyen d’action aux syndicats.» 

    Cyril Chabanier, président de la CFTC, se dit «très surpris» : 

    «C’est impossible de mettre une deuxième couche de réforme sans avoir d’évaluation de celle de 2021.»

  • «Passage en force permanent»

    Autre sujet clivant : la taxe sur les superprofits. Si le Président a évoqué une «contribution», celle-ci ne visera ni EDF, qui prend déjà sa part dans le bouclier tarifaire, ni Total qui a «aidé sur le prix de l’essence», mais les grands transporteurs de fret de façon «intelligente» et «ciblée».

    Loin des mesures prises par d’autres pays européens : mardi, l’Espagne a sauté le pas en instaurant une taxation exceptionnelle sur les bénéfices des géants énergétiques et des banques dopés par l’inflation. Là aussi, Laurent Berger s’était positionné dans la direction opposée à Macron : «Aux entreprises qui gagnent beaucoup d’argent, il faut imposer une meilleure répartition de la richesse.»

  • Le Président a tenu à rassurer : rien ne se fera, jure-t-il, sans concertation. 

    «Au sortir de l’été, il y aura une discussion avec toutes les forces vives de la Nation sur tous les sujets», dont les forces syndicales et patronales.

    Denis Gravouil, responsable confédéral de la CGT, se marre, amer : «C’est un passage en force permanent.

    On est mis devant le fait accompli, exactement comme pour le premier quinquennat.

    Macron continue la même méthode, avec quelques paillettes en plus : on vous reçoit pour la forme et puis il fait ce qu’il a décidé depuis le début sans bouger une seule virgule.»

  • La formule qui a le plus énervé le leader de FO, Frédéric Souillot : «Il faut bâtir des compromis responsables.» 

    Le Président l’a martelée en évoquant la réforme des retraites. 

    «On a toujours été capable de prendre nos responsabilités pour le progrès social.

    Mais dire que ceux qui bossent paient ou sont des feignants, ce n’est pas possible», cingle le secrétaire général de FO.

    La CGT et Solidaires ont déjà donné rendez-vous le 29 septembre pour une grève interprofessionnelle nationale pour les salaires. L

    ’interview du Président pourrait donner envie à d’autres de gonfler le mouvement, alors que les centrales ont prévu de se réunir le 5 septembre.

    Et Frédéric Souillot d’avertir : «S’il y a rentrée mouvementée, ce sera de sa responsabilité.»

  • Le Panda 16 juillet 18:42
    Bonjour, modératus

    J’ai importé doublement ton artikcle d’ailleurs à double titre. Macron ne sera jamais J. CHirac il est en dessous de tout ce que l’on pouvait penser de pseudo « JUPITER »

    Nous sommes largué dans monde d’une nouvelle puissance tels les Illumaniti dans le cadre d’un NOUVEL ORDRE MONDIAL. 

    Merci de me dire ce qu tu penses de ce lien https://www.panda-france.net/respect-de-notre-sante-face-aux-turbulences-gouvernementale/ moralité, même en chageant de ministre de la santé la France tient la 23 eme place dans le cadre de la lutte contre Le Coivid. 

    Financiérement nous sommes au fond du gouffre, mais à quel moment allons nous réagir ?

    Cela sent la révolution d’entrée. 

    Je passe plus tard le cas échéant pour connaitre ta ou les réactions. Masse de scandales inadmissibles.

    Bien à toi 

    Le Panda

    Patrick Juan

  • moderatus 16 juillet 19:41
    @Le Panda
    @moderatus
    Le cabinet de conseil en charge de la popularité présidentielle lui a conseillé : seem trendy, look cool, be woke
    ….le penchant naturel de Macron pour le mauvais goût a fait le reste.

    ===================================================

    Bonjour le Panda

     

    Nous sommes en guerre ?

    Arles : construction d’un mur devant une école pour protéger les élèves des fusillades.

    Un rempart comme un bouclier. Au coeur du quartier sensible de Griffeuille à Arles (Bouches-du-Rhône), une école a décidé de se barricader.

    Les grilles de fer sont en train d’être remplacées par un mur en béton de plus de 2 mètres de haut.

  • moderatus 16 juillet 19:47
    @ETTORE
    Mais dans leur fond, qui auras vraiment, cette volonté d’entrer par la grande porte de l’Histoire.., ?

    Qui vas oser mettre son pied dans l’entrebâillement ?

    Dans cette Histoire qui vas à vol-eau, toutes portes ouvertes en palanquée, ne laissant le passage, que dans un sens, celui de l’élite-ment….

    J’attend aussi bien que vous, ce foutu cri « STOP  ! »,

    ======================================================*

    tous les paramètres passent au rouge

    économique, l’école, la sécurité l’immigration, 
    cela ne peut continuer 

    j’ai relevé une partie des agressions a en une journée 
    c’est effarant, la population ne peut plus supporter cela , cela devient invivable

    Ces faits se sont déroulés pratiquement dans une journée et ce n’est pas la totalité des faits.

    Angers : 3 personnes, dont un mineur de 16 ans, tuées à l’arme blanche par un migrant soudanais. Les pompiers attaqués par une “foule agressive”, alors qu’ils tentaient d’intervenir pour sauver les victimes (MàJ)

    Loriol-sur-Drôme (26) : Un homme de 37 ans meurt en pleine rue après avoir été agressé de plusieurs coups de couteau. Il était en compagnie de sa femme au moment du drame

    Metz : Un jeune homme de 22 ans poignardé à mort en pleine rue, alors qu’il se promenait avec des amis. “Ils ont été agressés par deux hommes armés d’au moins un couteau”

    Amiens : un jeune homme poignardé à mort en plein centre-ville, un migrant libyen de 26 ans interpellé

    Toulouse : un adolescent de 16 ans grièvement blessé après avoir été poignardé dans le dos “pendant qu’il marchait”

    Marseille : une femme et un homme agressés à coups de couteau en pleine rue par deux individus qui voulaient les dépouiller

  • moderatus 16 juillet 21:17
    @Le Panda

    Les contes pour enfants doivent cesser, les promesses politiques sont faites pour ceux qui veulent y croire, à défaut par certaines formes de lobbies définissables.

    L’interview du 14 juillet 2022 d’Emmanuel Macron ne laisse augurer rien de très positif, sinon qu’une défense non primordiale pour la France.

    Les caractères majeurs sont écartés en prenant place à la table des écoutes sans finalité des conditions de vie prioritaires pour chacun de nous.

    Nous sommes réellement sur des sables mouvants, à un stade ou les vaccins devraient sortir des monopoles pour devenir publics.

    ============================================================

    Je n’ai pas suivi les déclaration du 14 juillet, que des extraits.

    je ’ai appris rien de neuf ni dans la forme ni dans le fond

    le Macron2, c’est le Macron 1

    c’est au peuple maintenant de s’exprimer.

  • 6russe2sioux 16 juillet 21:20
    @Le Panda

    Salut panda , 
    les fufu sont a agoravox ce que les mouche sont a un joli colombin 

    profite de l’ été et des jolis fille … 

    Le Panda 16 juillet 20:05
    @Lonzine
    Au moins cela pour te servir et cesse de te torcher avec les doigts…
    Répondre Signaler un abus Lien permanent

  • moderatus 16 juillet 21:20
    @Le Panda

    La CGT et Solidaires ont déjà donné rendez-vous le 29 septembre pour une grève interprofessionnelle nationale pour les salaires. 

    =================================================

    Le rendez vous est pris pour la rentrée et je pense avec nombre de syndicats et de 
    grévistes.
    je pense qu’on aura une nouvelle édition gilets jaunes mais puissance 5

  • moderatus 16 juillet 21:24
    @Le Panda

     

    À un niveau record, les défaillances d’entreprises annoncent le pire

    Les faillites d’entreprise et les cessations volontaires d’activité marquent un record, en particulier dans les petits commerces

  • moderatus 16 juillet 21:29
    @Le Panda
    « On a toujours été capable de prendre nos responsabilités pour le progrès social.

    =================================================
    il n’y a plus beaucoup de monde qui le croient

     

    Macron hué le 14 juillet

    les médias en ont parlé ?

    https://youtu.be/EF7gk8uAvvM

  • Joséphine 17 juillet 00:00
    Je fais péter le 300ème ! 

    Il faudrait plus d’articles comme ça sur Agoravox ! 

  • moderatus 17 juillet 08:03
    @Joséphine

    299 commentaires….
    ========================================================
     Ce personnage intéresse nombre de gens, non seulement par sa position mais aussi par sa complexité 
    On ne comprend pas bien ce qu’il veut faire, ni comment , mais qui il veut le faire.
    On sait que la mondialisation le passionne.

    L’Europe fédérale est son rêve, 
    La france , un Marchepied.
    il aime le pouvoir qu’il a sur les Français ,mais les français , pas sur.
    Michel Onfray assure qu’il n’aime pas la France.

     

    Michel Onfray :Macron n’aime pas la France

    https://youtu.be/N_MehmWEs5s

  • moderatus 17 juillet 08:31
     

    Emmanuel Macron : L’homme aux multiples guerres.

    Pour garder son pouvoir sur le peuple et appliquer la stratégie de la peur pour rassembler autour de lui la population, qui comme les moutons se réuniraient autour du berger au moindre danger .

    Cela a marché pour les présidentielles.

    Alors ce maître de guerre ne nous parle que de batailles

    —Guerre contre le Covid

    —Guerre en Ukraine et risque de guerre mondiale

    — Guerre pour la planète, il vous faudra y participer, c’est à dire se serrer la ceinture et la fermer, c’est pour la bonne cause.

    « État, administrations, ministères, entreprises, commerces, acteurs ldu logement, mais aussi particuliers, devront participer à cet effort de guerre « bon pour la planète ».

    Le pouvoir pourrait nous fiche la paix et ne pas nous gâcher les vacances

    Il pourrait attendre la rentrée où là on lui expliquerait ce que l’on veut et ce que l’on refuse.

  • Le compromis, est-ce du courage ou de la lâcheté ?

    Un Allemand ou un Italien répondrait du courage… et beaucoup de sueur. Un Anglais dirait que le compromis est le pire des systèmes à l’exclusion de tous les autres.

    Un Américain trouve absolument naturel que son député ne vote une loi que s’il a négocié, en contrepartie, une mesure intéressante pour les administrés de son État.

    Le Français, lui, est hanté par le spectre de la compromission.

    Notre pays révolutionnaire n’a pas la culture du compromis, se lamentent nos hommes politiques.

    Qui ont par ailleurs sacralisé l’idée de l’intransigeance et du front républicain contre l’extrême droite… mais pas contre l’extrême gauche : les idées radicales sont toutes égales, mais certaines sont plus égales que d’autres.

    Doit-on être intransigeant sur ses principes dans tous les domaines ?

    Ou conciliants et prêts au compromis ?

    Le bon sens nous souffle que cela dépend du sujet.

    On pourrait faire des efforts de part et d’autre sur le pouvoir d’achat ou la réforme des retraites.

    Et pas sur la laïcité, dont on pense qu’elle fait partie de nos vertus cardinales. Bizarrement, on assiste depuis plusieurs années à l’inverse.

    La laïcité renégociée, « inclusive », est à la mode.

    La laïcité tout court, c’est-à-dire fidèle aux origines, est quasiment devenue une insulte : intransigeante, identitaire, réactionnaire, quasi fasciste… Rogner la laïcité, relativiser son principe, c’est être moderne et tolérant.

    L’idée de faire des concessions sur la réforme des retraites, en revanche, est devenu un point de rupture, une impasse, un blocage.

  • moderatus 17 juillet 09:18
    @Le Panda
    Gouvernement : la Santé fragile, le ministère promet des solutions

    =======================================================
    Il n’y a pas que la santé qui soit en danger.

    Où que se tourne mon regard , les feux sont au rouge.
    pouvoir d’achat , école immigration, sécurité justice 
    que fait-on , RIEN 
    ou seulement des promesse de solutions et des études .

    mais qu’a fait ce pouvoir pendant 5 ans 
    cacher son incompétence et son inactivité derrière les gilets jaunes, puis le Covid, puis la guerre en Ukraine 
     et là s’est reparti pour 5 ans 

    on vous parle de l’avortement
    du mariage pour tous
    du climat

    mais pas des problèmes essentiels 

  • moderatus 17 juillet 09:25
    @Le Panda
    D’autres mesures seront préconisées par la « mission flash » à la fin du mois, Faux

    =======================================================
    mission Flasch comme les dessins animés.

    quand ils auront finis de nous prendre pour des attardés mentaux. ?

  • moderatus 17 juillet 09:38
    @Le Panda
    Le compromis, est-ce du courage ou de la lâcheté ?

    =====================================================
    les deux mon capitaine, cela dépend du compromis et de la personne avec qui vous le faites et dans quel but.
    quand on fait des compromis avec les islamistes ce n’est pas du courage , je te laisse qualifier cette attitude.

  • moderatus 17 juillet 09:42
    @Le Panda

    L’idée de faire des concessions sur la réforme des retraites, en revanche, est devenu un point de rupture, une impasse, un blocage.

    =========================================================
    Il y a une solution simple 

    un référendum après un mois de débats contradictoires télévisés.

    mais les pouvoirs n’aiment pas le peuple et ne veulent pas lui donner la parole 

  • Commémoration
    Laurent Joly: «Il y a une sous-représentation mémorielle du drame du Vél d’Hiv»

    Quatre-vingts ans après la rafle, Emmanuel Macron inaugure ce dimanche un mémorial à Pithiviers.

    Cette démarche met en lumière un épisode de la Shoah longtemps occulté dans la mémoire française, explique l’historien spécialiste de la Seconde Guerre mondiale qui a récemment retrouvé des dessins bouleversants de Cabu à ce sujet.

  • «C’est une tragédie dans la tragédie», déclare Laurent Joly au sujet de la rafle du Vél d’Hiv.

    Durant ce terrible épisode de la Seconde Guerre mondiale, les 16 et 17 juillet 1942, la police française arrête 12 884 Juifs dans Paris et sa banlieue, selon les nouveaux chiffres révélés par l’historien dans son récent livre la Rafle du Vél d’Hiv. Paris, juillet 1942 (éditions Grasset, mai 2022).

    A l’issue de ces arrestations, les célibataires et les couples sans enfant sont envoyés au camp de Drancy.

    Les familles, 8 000 personnes, sont parquées au Vélodrome d’hiver. Après cinq jours et six nuits d’enfermement dans d’atroces conditions, elles seront conduites dans le Loiret et internées dans les camps de Beaune-la-Rolande et de Pithiviers avant d’être menés dans des camps d’extermination.

    Fait inédit, 3 000 enfants en bas âge sont séparés de leurs parents.

  • Intégralement commanditée et menée par la préfecture de police française, la rafle du Vél d’Hiv constitue un événement inédit dans l’histoire de la Shoah.

    Pourtant, peu de traces restent pour témoigner de l’événement : la destruction du Vélodrome d’hiver en 1959 symbolise son occultation dans notre mémoire collective.

    Spécialiste de l’histoire de l’extrême droite et du régime de Vichy, Laurent Joly analyse la difficile et lente reconstruction de la mémoire du Vél d’Hiv dans l’histoire française, qui connaîtra une nouvelle étape ce dimanche, 80 ans après les événements, avec l’inauguration d’un mémorial à Pithiviers.

  • Pendant très longtemps, l’histoire de la rafle du Vél d’Hiv s’est révélée parcellaire, si bien que l’on connaît parfois encore mal cet événement. En quoi revêt-il une valeur symbolique et historique primordiale ?

    La grande rafle de juillet 1942 est un drame unique car elle est liée à la séparation des enfants avec leurs parents.

    Ceux qui étaient enfants en 1942 et qui ont échappé à la tragédie ont commencé à témoigner au tournant des années 90 : on compte aujourd’hui plusieurs centaines de témoignages.

    Par ailleurs, on connaît depuis longtemps, et plus particulièrement depuis les travaux menés dans les années 80 par Serge Klarsfeld, Michael Marrus ou Robert Paxton, les mécanismes de la collaboration du gouvernement de Vichy avec l’occupant nazi qui ont amené à l’arrestation de dizaines de milliers de Juifs par la police française.

    Mais le rôle concret des policiers, leur mentalité, leurs marges de manœuvre pendant la rafle du Vél d’Hiv, etc. tout cela avait été peu étudié.

  • Le fait que la police française ait organisé la rafle a-t-il joué un rôle dans la méconnaissance de cet événement ?

    Evidemment.

    Pendant longtemps, il a existé une impossibilité à nommer un acteur central de cette opération : la préfecture de police de Paris.

    La rafle du Vél d’Hiv est une opération menée intégralement par la police parisienne et ses agents, gardiens de la paix, inspecteurs, etc.

    Après la guerre, il semblait impossible d’en parler pour des raisons, pourrait-on dire, de décence patriotique : il aurait été malséant d’accuser publiquement les héros de la Libération de Paris en août 1944 de s’être déshonorés deux ans avant en raflant des Juifs.

    Cette gêne se perpétue jusque dans les années 60. Des revues grand public, comme Historia, occultent alors la responsabilité de la police française.

    Les manuels scolaires parlent de la rafle comme d’une opération commanditée par les Allemands, et il faudra attendre les années 80 pour que les manuels scolaires rétablissent la vérité des faits, sous l’impulsion de Serge Klarsfeld et d’associations juives.

  • Il existe peu de traces matérielles de la rafle du Vél d’Hiv, à part une seule photographie. Comment l’expliquez-vous ?

    La raison essentielle est que les Allemands ont renoncé à faire une propagande autour de cette opération, contrairement à ce qui avait été fait pour les rafles de mai et août 1941.

    Les Allemands avaient alors mené une opération de propagande dans l’espoir d’acclimater le public français à l’antisémitisme.

    Sauf que ces deux rafles sont différentes. En 1941, ce sont uniquement les hommes qui sont arrêtés pour être internés sur place tandis qu’en 1942 on arrête des femmes et des enfants pour les déporter à l’Est.

    Les Allemands reçoivent des informations sur la non-adhésion de la population à ces pratiques, si bien que la presse collaborationniste reçoit pour consigne de ne pas dire un mot de la rafle. En 1990, Serge Klarsfeld retrouve une photo dans un fond d’archive du journal collaborationniste Paris soir-Paris midi. 

    C’est jusqu’à nos jours le seul cliché authentique de la rafle des 16 et 17 juillet 1942.

    D’autres ont forcément été prises.

    On les retrouvera sans doute un jour.

  • moderatus 17 juillet 10:39
    @Le Panda

    Macron et son gouvernement sont surtout tenus d’assurer la sécurité des Français , c’est le premier de leur devoir ?

    Alors les commémorations on les fait si on a fait l’essentiel pour le présent et l’avenir.

  • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot 17 juillet 10:35
    @moderatus

    Monsieur Modératus depuis 2017 la commémoration de la date du 8 juillet a été effacée du calendrier …

    Qui a pu être à l’initiative de cette infamie , cette odieuse provocation anti-française ?

  • moderatus 17 juillet 10:45
    @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

    Monsieur Modératus depuis 2017 la commémoration de la date du 8 juillet a été effacée du calendrier …

    Qui a pu être à l’initiative de cette infamie , cette odieuse provocation anti-française ?

    =========================================================
    Monsieur SPQR

    J’ai lu que cela a à voir avec un maquis de la seconde guerre mondiale, 
    mais je ne sais pas qui a supprimé sa commémoration qui doit se faire dans certaines villes.
    vous allez avoir la gentillesse de me renseigner.

  • Le Panda 17 juillet 12:05
    @moderatus
    Voilà la réponse à ta question que tu aurais pu trouver tout comme moi et SPQR Youpiiii.

    En 1975, la commémoration de la victoire sur l’Allemagne nazie est supprimée par le président Valéry Giscard d’Estaing, qui la remplace par une Journée de l’Europe, « afin de marquer la réconciliation franco-allemande »

  • « La motion de censure ne servait à rien, mais depuis quand la politique de l’extrême gauche doit « servir » à quelque chose ? Elle est une force d’empêchement.

    Trotskyste un jour, trotskyste toujours. »

  • Autre exemple, l’égalité : son principe est inscrit au fronton de toutes nos écoles.

    Donner ses chances à chacun est l’essence même du programme républicain.

    Mais le refus idéologique de l’excellence au nom d’un égalitarisme intransigeant a conduit à creuser le fossé entre les plus privilégiés et les plus démunis.

    L’enseignement public s’effondre, les plus riches envoient leurs enfants dans le privé, en commençant par le ministre de l’Éducation nationale. La méritocratie offrait plus de chances aux plus pauvres. Mais c’est devenu un gros mot.

    L’obsession de la défense de nos valeurs est un paradoxe : on n’en a jamais autant parlé et on ne s’est jamais aussi peu accordé sur le sens à leur donner.

  • Elisabeth Borne affrontait cet après-midi la motion de censure de la Nupes, rebaptisée motion de défiance. La défiance est un principe.

    L’obstruction, une vertu.

    Plus une posture est inutile, plus elle est noble. La motion de censure ne servait à rien, mais depuis quand la politique de l’extrême gauche doit « servir » à quelque chose ?

    Elle est une force d’empêchement. Trotskyste un jour, trotskyste toujours.

  • La France insoumise se moque d’être « débraillée ».

    Elle est « venez comme vous êtes », le slogan de McDonald’s. Alexis Corbière devrait se souvenir que son maître politique, 

    Maximilien de Robespierre, montait à la tribune de la Convention avec sa perruque poudrée, vestige aristocratique de l’Ancien Régime. 

    La Nupes est tonitruante, elle assume de se donner en spectacle, de bloquer les débats, de faire le show. Les « ennemis » du peuple se nomment Macron et Borne et on ne va rien faire pour les aider.

    En politique, le « toujours plus » est l’ennemi du « c’est déjà bien ».

    Mais comment oser faire des compromis alors qu’on s’érige en voix du peuple ? Le peuple est sublime, le peuple est tout, le peuple ne fait pas de marchandage.

    Bref, le parti de Mélenchon aurait tendance à privilégier le niveau sonore de ses interventions plutôt que le niveau de vie de ses électeurs.

  • « Emmanuel Macron a fait un contresens.

    Il a cru qu’il rassemblerait une majorité autour de sa personne (péché d’arrogance) plutôt qu’autour de son programme.

    D’ailleurs, quel programme ?

    Il s’est trompé.

    Sa personnalité ne fait plus consensus et les deux tiers du pays, soit ne vote pas, soit vote contre lui. »

  • La voix, voilà ce qui compte.

    On aime l’éloquence, les tribuns (Ah… Mélenchon). Comme si on confondait avoir du coffre et avoir des idées. Elisabeth Borne, se lamente-t-on, est sans charisme, inodore, insipide, sans saveur, elle parle comme un robot.

    Elle n’a sûrement pas gagné le prix de charisme, mais elle n’a pas failli lors de son discours de politique générale, le 6 juillet.

    Elle avance sur sa ligne tout en promettant de faire des compromis, sauf avec l’extrême gauche et l’extrême droite.

    Elle a des sourires en coin. Elle ironise, à juste titre, sur « les questions cons » des journalistes.

    Macron devrait se méfier. Les bonnes élèves ne sont pas des boute-en-train, mais elles détestent perdre.

    Elles s’obstinent et progressent. Pas avec la flamboyance du lièvre mais avec l’obstination de la tortue.

  • Emmanuel Macron a fait un contresens.

    Il a cru qu’il rassemblerait une majorité autour de sa personne (péché d’arrogance) plutôt qu’autour de son programme.

    D’ailleurs, quel programme ?

    Il s’est trompé. Sa personnalité ne fait plus consensus et les deux tiers du pays, soit ne vote pas, soit vote contre lui.

    Avec Elisabeth Borne, le président s’est peut-être imaginé qu’il déléguerait les tâches ingrates à une « techno » et continuerait à macroner avec Alexis Kohler, les yeux dans les yeux, dans leur tour jupitérienne.

    Mais Elisabeth Borne pourrait être une pierre dans son olympe.

    Elle ne serait pas la première des chefs de gouvernement maltraités. Rocard, Fillon, Chirac : tant d’autres ont subi le même sort.

    Mais le mépris dont elle est l’objet pourrait la stimuler.

  • « Pendant que l’extrême gauche espère rallier la France à son intransigeance, les députés du RN, cravatés et silencieux, attendent leur heure.

    Ils sont ceux qui pourraient tirer le plus de profit du chaos qui règnera à l’Assemblée. »

  • L’objectif de la France Insoumise est de la dégager. Par son obstruction systématique, l’extrême gauche peut bloquer le travail de l’Assemblée.

    Mélenchon et ses clones rêvent d’une dissolution et de nouvelles élections législatives qui, enfin, leur donnerait une majorité à l’Assemblée.

    Ils rêvent debout.

    Les dernières élections ont prouvé que les Français avaient préféré faire sauter le barrage républicain contre le Rassemblement national, dans de multiples circonscriptions, plutôt que de se soumettre aux Insoumis.

    C’est Mélenchon qui a fait sauter le barrage républicain, souligne Marcel Gauchet dans Le Figaro.

    Pendant que l’extrême gauche espère rallier la France à son intransigeance, les députés du RN, cravatés et silencieux, attendent leur heure.

    Ils sont ceux qui pourraient tirer le plus de profit du chaos qui règnera à l’Assemblée.

  • Car contrairement à ce qu’écrit Le Monde, ce n’est pas parce que certains médias ont ouvert leur porte à l’extrême droite, qu’ils l’ont fait progresser.

    La droite populiste progresse en France depuis 40 ans, indépendamment du traitement médiatique.

    En revanche, les médias du camp du bien ont indéniablement contribué à la dédiabolisation de l’extrême gauche depuis des années.

    Jusqu’à faire passer l’extrême gauche pour la gauche.

    Mais les Français ne sont pas dupes de la Nupes.

    Entre le rejet de « l’arrogance » macronienne et la méfiance envers le programme foutraque de la France insoumise, le Rassemblement national, normalisé, respectabilisé, cravaté, apparaîtra de moins en moins comme une option impossible.

    La bascule aura-t-elle lieu en 2027 ? Et le RN pourra dire merci à la Nupes. Ce sont tous ces enjeux qu’Elisabeth Borne aura en tête et devra affronter. Un poids bien lourd pour une « techno sans charisme ».

    À bord d’un radeau de la macronie en perdition. À moins que…

  • moderatus 17 juillet 10:36
    @Le Panda
    En ce qui me cornerne c’est une trahison pure et simple, le reste sont des mots inutiles, tu ne m’as toujours indiqué si tu avais lu ou pas le lien, cela m’amuse car de mnière différente nous disons presque la même chose avec des mots différents mais disent bien ce qu’ils veulent dire.

    ==================================================
    Je suis allé le voir, mais comme ti u me l’as envoyé en petits extraits , je l’ai lu deux fois.
    Joséphine me parlait de compromis et compromissions.

    France orange mécanique.

    Un Grenoblois sur deux victime de violences.

    Le maire de Grenoble lui est satisfait et plante des poteaux « Grenoble ville apaisée. »

    D’après un sondage Via voice réalisé auprès des habitants en septembre 2020, 79% pensent que la sécurité est un enjeu prioritaire pour la ville et un Grenoblois sur deux dit avoir été victime d’actes de violence. Ce sondage a été réalisé juste après un fait-divers qui avait défrayé la chronique. Une vidéo avait fait le buzz sur les réseaux, montrant à quel point le « business » de la drogue se déroulait à ciel ouvert dans le quartier Mistral. On pouvait voir dans ce quasi clip, des hommes lourdement armés vendant de la drogue dans un parc pour enfants.

  • Le Panda 17 juillet 12:01
    @moderatus

    Macron et son gouvernement sont surtout tenus d’assurer la sécurité des Français , c’est le premier de leur devoir ?

    Alors les commémorations on les fait si on a fait l’essentiel pour le présent et l’avenir

    Je ne pense pas une seconde avoir écrit le contraire, sinon que t’avoir emandé si tu avais eu le temps de lire mon article.

    Je passerai plus tard afin de savoir : bon appétit 

  • moderatus 17 juillet 13:07
    @Le Panda

    Macron et son gouvernement sont surtout tenus d’assurer la sécurité des Français , c’est le premier de leur devoir ?

    Alors les commémorations on les fait si on a fait l’essentiel pour le présent et l’avenir

    Je ne pense pas une seconde avoir écrit le contraire, sinon que t’avoir emandé si tu avais eu le temps de lire mon article.
    Je passerai plus tard afin de savoir : bon appéti

    =============================================

    je n’ai jamais dit que tu avais dit le contraire, nous avons des conceptions similaires sur nombre de problèmes.

    Quand à ton article je t’ai écrit que je l’avais lu deux fois.

    je n’ai que du positif à te dire.

    Bon appétit Le Panda

    Hasta luego.

  • zygzornifle 17 juillet 14:02
    On ne trouve plus de moutarde mais Macron ne manque pas de vaseline …..

  • moderatus 17 juillet 15:45
    @Le Panda

    je ne suis en colère que contre les incohérence gouvernementale et leur incapacité à parler des vrais sujets qui vont décider de notre avenir.

  • 6russe2sioux 17 juillet 18:00
    @armand

    Encore un fanatique de la macronie fufu-rieuse ?

  • armand 17 juillet 17:49
    @moderatus
    C’était juste pour souligner votre double jugement
    Je n’ai rien à dire sur un article qui répète sans cesse « la fin du monde », « la guerre civile » ( de philipulus)

  • moderatus 17 juillet 17:58
    @armand

    Je n’ai rien à dire sur un article qui répète sans cesse « la fin du monde », « la guerre civile » ( de philipulus

    ============================================

    vous n’avez rien à dire alors pourquoi écrivez vous ?

    Je n’ai jamais parlé de fin du monde , mais c’est pas grave vous entendez des voix 

    une info pour dire que tout ne va pas bien comme les macronistes le disent.

    Nous sommes en guerre ?

    Arles : construction d’un mur devant une école pour protéger les élèves des fusillades.

    Un rempart comme un bouclier. Au coeur du quartier sensible de Griffeuille à Arles (Bouches-du-Rhône), une école a décidé de se barricader. Les grilles de fer sont en train d’être remplacées par un mur en béton de plus de 2 mètres de haut.

    cela ne vous interpelle pas ?

    Méfiez vous armand 

    évitez que l’idéologie devienne un prison mentale.

    Il faut s’efforcer de voir ce que l’on voit.

  • Le Panda 17 juillet 19:28
    @armand
    lorsque l’on un cheveu sur la langue et que l’on est HS COMME VOUS ON L’A FERME….

    facon d’aller acheter des bois.

    Cela évite de porter d’autres bois…

  • TTORE 17 juillet 14:13
     

    moderatus 17 juillet 10:11
    @Joséphine
    C’est bien plus que ce que je pensais, la France est un coupe-gorge ! Perso quand j’irai en France je prendrai mon parapluie de self-defense, on est jamais trop prudent. Je m’entraine tous les jours , c’est le même principe qu’une canne de combat. 

    ====================================================
    moi j’au i un nerf de bœuf cadeau d’un charcutier

    Pour en revenir aux meurtres d’Angers dont vous me parliez, j’ai son nom caché bien sur par les médias , pas d’amalgame.

    Je vous donne l’identité du criminel car les médias la cachent comme d’habitude, pas de lien immigration délinquance.

    Il s’agit de Khawad, un

    ….

    Ce n’est pas compliqué de savoir comment tout cela vas se terminer…

    Devant l’ignominie aveugle de cet l’état, qui par son silence assourdissant, excuse tout, en nous faisant croire que nous sommes en guerre contre la Russie….Et que c’est NOTRE SEUL pays agresseur !.

    Devant la démission des organismes chargés de défendre le peuple français, mais qui se contente de poser une pierre tombale, sur chaque MEURTRE perpétré :

    « Ci git….tué au couteau, par un individu défavorablement connu des services, mais ayant présenté ses papiers en règle, ….Vous salue, La Nation Poubelle Reconnaissante. »

    La machinerie à saloperies sur pied, de ces « civilisés » qui ont fuit le merdier de leur pays, pour la reconstruire, ICI, en notre pays,

    ICI, où il ne se prennent pas une matraque dans les dents, pour un oui, pour un non,

    ICI, il sont devenus légal des « puissants », qui les torturaient chez eux !

    ICI, ils décident, de qui doit vivre ou mourir,

    Chez eux, ils étaient vendus en pièces détachées, au marché noir.

    ICI, ils auront des tribunaux et des avocats.

    Alors qu’ils n’étaient, ni écoutés, ni jugés, ni coupables, ni innocents, soumis à la seule égalité des barreaux, et des coups de bâton dans les reins,

    ICI, ils auront les soins nécessaires, attribués à leur « démence migratoire. »

    ICI, ils auront, les clubs de neuneus bobos, des Uni TEDYS Colors from Ben et ali, qui leur fourniront tout le soutient nécessaire, pour faire effacer leur nom, trop gênant….Pour la coalition des «  very chances pour la France ».

    La machine à tuer vas s’inverser .

    On retourneras dans les temps sombres des ratonnades,

    Et cela vas être violent.

    Et c’est seulement à ce moment là, à ce moment là, seulement, que cet état prévaricateur, vas intervenir, pour mettre un nom sur ces représailles « RACISME  » ;*

    Se refaisant, sur les mares de sang invariablement rouge, un plumage d’oie blanche, bêlant comme un Ane sans dent, et caquetant, comme un gallinacé laineux, tondu des principes comme un mouton gras, sacrifié sur la rôtissoire de la fête de la finances.

    A QUI EST CE LA FAUTE, SI LA LUMIERE, du VIVRE ENSEMBLE,

    semble passer, exclusivement, par l’obligation d’extinction, de celui qui a crée l’interrupteur ?

  • moderatus 17 juillet 15:38
    @ETTORE

    A QUI EST CE LA FAUTE, SI LA LUMIERE, du VIVRE ENSEMBLE,

    semble passer, exclusivement, par l’obligation d’extinction, de celui qui a crée l’interrupteur ?

    =======================================================
    La lumière du vivre ensemble ; cela fait des années qu’elle est éteinte alors qu’elle a brillé très fort pendant des décennies ;

    Mais depuis 4 ans on a tout fait de travers et ceux qui nous ont gouverné en portent la seule responsabilité .
    On a oublié, une règle sans laquelle rien n’est possible 

    On ne peut faire venir plus plus d’immigrés qu’on ne peut assimiler

    Mais on est devenu nuls en mathématiques 

    On a fait le contraire de ce que l’on devait faire, et on continue

    On a ouvert nos frontières comme si on pouvait habiter une maison sans portes.

    On a fait le regroupement familial sans aucun contrôle

    on a fait le droit du sol obligeant à être français ceux qui ne le voulaient pas et n’aimaient pas la France.

    On s’est interdit de renvoyer qui que ce soit, clandestins, délinquants , étrangers criminel, 20 % de la population carcérale est étrangère

    on a laissé se créer des quartiers de non droit

    on a laisser l’islam radical envahir ces quartiers et les esprits.

    Résultat

    Une France Orange mécanique en ébullition et où nombre de français ne se sentent plus chez eux.

    Mais on nous dit, l’important n’est plus la France, son identité, son histoire, ses mœurs , ses coutumes , son patrimoine

    L’important est l’arrivée de l’Europe fédérale et du mondialisme et la création de l’homme universel sans patrie, sans identité et surtout taillable et corvéable à merci.

    C’est ce qu’on veut imposer aux Français, mais est-ce cela qu’ils veulent ?

  • Témoignages
    Les proches de complotistes racontent: «C’était forcément moi qui étais manipulée»

    La pandémie de Covid-19 en Francedossier
     
     
    Amis de partisans de théories du complot et anciens adeptes témoignent des tristes conséquences du conspirationnisme sur leurs liens familiaux et amicaux. Et des violences reçues lorsqu’ils mettent la mouvance en doute.

  • «J’aurais pu être défiguré ou même pire.»

     Thomas Huchon, journaliste spécialisé dans le débunkage des théories complotistes, a eu de la chance selon les médecins qui se sont occupés de lui.

    En novembre 2021, alors qu’il fête les 40 ans d’un ami au restaurant en compagnie d’une vingtaine de personnes, il est violemment agressé par l’un des convives qui le frappe avec une carafe en verre.

    Un homme que le journaliste et auteur de documentaires connaît pourtant depuis plus de vingt-cinq ans.

    Un ami d’enfance devenu complotiste.

    «Cela fait plusieurs années que je n’ai plus de relations avec ce monsieur, depuis qu’il a basculé dans une forme de croyance complotiste à travers les discours d’Alain Soral et de Dieudonné notamment», explique Huchon à Libération.

    Au cours du dîner, la discussion dévie sur des sujets sur lesquels il travaille : «Je lui rétorque peut-être de façon véhémente que ce qu’il dit n’a pas de sens et j’essaye de couper court à la conversation.

    Il m’accuse d’être complice de la soi-disant pédocriminalité organisée par les élites, je m’emporte et je lui demande de cesser de me parler.»

    L’agresseur de Thomas Huchon bondit alors sur la table, s’empare d’une carafe en verre et le frappe. «Ma main est brisée et les morceaux de verre m’entaillent le crâne», témoigne Huchon. Bilan : dix jours d’ITT délivrés par un médecin de la Pitié Salpêtrière, selon la plainte que Libération a pu consulter.

  • «Même si c’était dans un cadre privé, j’estime avoir été victime de violence politique, dit-il. Dans notre métier, on est préparé à être pris à partie en manifestation ou à être interpellé sur nos lieux de travail mais pas dans cette situation, surtout de la part de quelqu’un que je connais depuis longtemps.» 

    La justice a condamné son agresseur à 1 500 euros d’amende avec sursis. «Au-delà du traumatisme,

    j’ai aussi eu une perte de revenus. A ce moment-là j’étais pigiste pour LCI et je n’ai pas pu reprendre le travail tout de suite. Un pigiste qui ne travaille pas ne gagne pas sa vie.

    La chaîne ne m’a pas soutenu sur cet aspect.»

    «Des discours qui dérivent vers l’extrême droite»

    Vivre l’expérience d’une connaissance ou d’un proche qui sombre dans la spirale complotiste est bien souvent un traumatisme.

    C’est ce jeune homme qui a perdu tout contact avec sa mère car elle lui reproche de s’être fait vacciner.

    Ce père qui ne comprend plus son fils qui est persuadé que les traînées de réacteurs d’avion sont chargées de produits chimiques.

    Ce septuagénaire dont le meilleur ami commence à douter que l’homme soit allé sur la Lune.

    Cette cousine persuadée que le Covid est un complot des «élites», que les influenceurs de la mouvance représentent bien souvent par des juifs, qui voudraient organiser un génocide. Ces hommes et ces femmes racontent tous leur souffrance de voir un proche «se perdre», l’incompréhension qui s’installe, les liens qui se distendent, s’abîment.

  • 6russe2sioux 17 juillet 19:37
    @Le Panda

    Ha bon … donachien a une perruque …. voila ce qui arrive quand on allume un cigarillo sous une tente a O2 

  • 6russe2sioux 17 juillet 19:57
    @Le Panda

    oui ca arrive , mais ce ne sont pas des complotiste , ce sont des hooligan …

    Un vrais complotiste , est un lanceur d’ alerte dont le role s’ arrete a te metre sous le nez des preuve etayer et te laisser « murir le sujet » …

    les complot sont reel , si le journaliste et les lanceur d’ alerte avais exister a l’ epoque , la saint barthelemie ou la nuit de cristal n’ aurais peut etre pas eu lieux 

    et la on as une certitude que des complot peuvent exister …

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