La France gouvernée par les finances de L’Union Européenne
La France gouvernée par les finances de L’Union Européenne
Monsieur Emmanuel Macron, pensez-vous que la baisse de carburant à la pompe s’imposait, dans une période où vous ignorez complétement ce que sera demain ?
Autorisez à nouveau les 90 k/h sur les routes en ne restreignant pas la vitesse sur autoroutes à 110. À l’évidence un privilège aux mieux nantis. Dans deux mois personne ne peut connaitre le prix du baril. Il y a peut-être dans les tiroirs secrets de L’Elysée un « Marabout » qui vous conseille. Bien plus judicieux de ne pas laisser la France à l’abandon, veillez au pouvoir d’achat de ceux dont la fin du mois débute avant qu’elle ne commence.
Aux hôpitaux qui se délabrent, aux écoles dont les couleurs sont tels les cahiers de classe, les retraités ne voient nullement une empathie à leur égard. La France la façon dont vous lui tournez le dos en de multiples domaines n’accorde plus de crédit. La dette de la France grandit, votre ombre s’amenuise aux pieds de la tour Eiffel à son zénith. Les centrales nucléaires vous les avez fermées à présent il faudrait un « Génie » pour relancer l’électricité et le gaz à son prix avant votre arrivée. Les voitures électriques en avant alors que nous ignorons si nous n’aurons pas des coupures à domicile.
Ne perdons pas le peu de lucidités qu’il nous reste. Un constat s’impose tel un réel miroir nos gouvernants, font des personnes au travail qui tout en étant grugées sont les pions que « Le droit de l’Union européenne « né du Conseil de l’Europe manipule à sa guise ». Nous ne sommes pas les seuls par une obédience incontournable d’un dicton qui date et perdure : Dis-moi qui tu fréquentes et je saurais d’où tu viens » Le chapeau se porte bien, M. Emmanuel Macron sort d’une « Banque » par ce concept nous avons le reflet du sens de la France. Personne ne peut gagner 1000 euros et payer 2000 euros par mois.
Le droit de l’Union européenne prime sur le droit national, y compris les dispositions constitutionnelles ; tous les arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne sont contraignants pour toutes les autorités des États membres, y compris pour les juridictions nationales. Ceux qui croient avoir la sensation que « Les remises actuelles » ne seront pas remboursées avec intérêts sont tombés dans « La bonne duperie » du kaléidoscope qui miroite à la sortie de tous les robinets et il ne s’agit pas uniquement que du « Carburant ». Il faut savoir, d’où viennent les Présidents tournants dans le cadre de la Constitution européenne, et surement qu’à partir de ce moment nous comprendrons les motifs réels pour lesquels et comment ils s’y prennent pour en réalité rester « Les Maitres à bords contre vents et marées »
Nous sommes tellement harcelés de toutes parts que nous perdons presque le sens de la raison. Nous sommes confrontés à presque des centaines de situations inextricables. Nous nous devons de cesser de faire des constats qui créaient des débats stériles pour entrer dans le cadre hyper impératif de nos droits.
Nous pouvons commencer par la première raison qui est celle d’exister. Donc du droit à la vie, de ce fait tout être humain doit goutter les prémices de son existence alors qu’il n’a pas demandé à venir dans ce monde. Une réalité que chacun constate et quasiment tous prétendent qu’ils ne savaient pas ou si peu, le monde brule, le feu crépite sur tout le globe, la cime des glaciers fond, en dehors de quelques pyromanes, le solde de comptes appartient à l’ensemble de la responsabilité des dirigeants.
Ils font plus facilement fonctionner les planches à billets, les emprunts intergénérations qui ruinent ceux qui tentent simplement de tenter de sortir la tête de l’eau. Lorsque l’on regarde simplement les chiffres de « Forbes » cela nous rend coupables. Les raisons sont simples et compliquées, nous sommes clients de ces « Avides » qui auraient tort d’obtempérer en faisant juste un peu marche à l’écrevisse, signifiant avancer à reculons. Selon les données publiées vendredi 24 juin par l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), la dette publique a atteint, fin mars 2022, 2 901,8 milliards d’euros, soit 114,5 % du PIB.
Quelle est la dette française par habitant ?
Aujourd’hui à plus de 43 mille euros par habitant, contre 1 710 euros en 1980.
Selon les données de l’Insee, la dette publique de la France s’élevait à la fin du mois de mars 2022 à 2 901,8 milliards d’euros, soit une progression de 88,8 milliards d’euros en un trimestre et de 164,7 milliards d’euros en un an. L’augmentation est de 649,5 milliards d’euros en cinq ans, ce qui représente un rythme moyen de hausse de 2,5 milliards d’euros par semaine, 356 millions d’euros par jour, 15 millions d’euros par heure, 250 mille euros par minute ou encore 4 200 euros par seconde. Depuis la fin de l’année 1980, où il s’établissait à 94,1 milliards d’euros, le montant total de la dette publique française s’est envolé de 2 984 %. Il avait franchi la barre des 500 milliards d’euros en 1993, des 1 000 milliards en 2003 et des 2 000 milliards en 2014. Il équivaut aujourd’hui à 43 mille 310 euros par habitant, contre 1 710 euros en 1980.
En retenant le critère du ratio dette publique/PIB qui atteignait 114,5 % à la fin du mois de mars en France, celle-ci présente le cinquième niveau d’endettement le plus élevé parmi les vingt-sept pays de l’Union européenne, derrière la Grèce (193,3 %), l’Italie (150,8 %), le Portugal (127,4 %) et l’Espagne (118,4 %). À l’inverse, l’Estonie (18,1 %), la Bulgarie (25,1 %), le Danemark et la Suède (36,7 %), la Lituanie (44,3 %), la Lettonie (44,8 %) et les Pays-Bas (52,1 %) figurent parmi les pays les moins endettés de l’UE.
Les Français face à leur santé
L’étude de l’IFOP, menée les 17 et 18 août 2022, l’ensemble des Français a toujours placé son souci pour la santé très haut : 60 % en 2017, 58 % en 2018, 65 % en 2019, 82 % en 2020, 83 % en 2021 et donc 81 % en 2022. La santé, première préoccupation des Français de plus de 14 ans en 2021. Le constat, dressé en pleine crise sanitaire par le service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) dans le cadre de son enquête « Cadre de vie et sécurité » (CVS) 2021, ne surprendra guère. Citée en premier par 22% des enquêtés, elle détrône le terrorisme, en tête du classement depuis 2017. Lui-même avait pris la place du chômage, première préoccupation des enquêtés entre 2007, date de création de ce baromètre, et 2016, et dont la relégation se poursuit.
La délinquance, préoccupation en forte hausse
La santé est toutefois talonnée de près par la délinquance (20%), en forte progression. Entre 2007 et 2016, cette dernière n’arrivait qu’en troisième ou quatrième position de l’enquête, dans des proportions allant de 10 à 16%, relève le SSMSI. Mais après avoir régressé en 2016, elle augmente depuis 2017 (10% en 2019, l’enquête n’ayant pu être réalisée en 2020 compte tenu de la crise sanitaire). Viennent ensuite la pauvreté (14%), le terrorisme (13%), le chômage (12%), l’environnement (9%), le racisme (9%) – deux derniers items davantage cités par les moins de 30 ans, alors que les plus de 60 ans sont davantage préoccupés par la santé. L’insécurité routière n’est considérée comme la préoccupation principale que pour 1% des métropolitains interrogés.
Phénomènes liés au confinement
La crise sanitaire – et notamment les périodes de confinement – n’a pas été sans emporter quelques conséquences particulières. Ainsi, dans plus de la moitié de cambriolages ou tentatives de cambriolages, un membre du ménage était présent au moment des faits. Par ailleurs, le confinement a favorisé la multiplication des escroqueries bancaires. 1,3 million de ménages métropolitains en auraient été victimes en 2020, majoritairement après un achat sur internet. Faut-il taxer les entreprises qui réalisent des superprofits ? Voilà plusieurs semaines que le débat agite la classe politique française. D’un côté, la gauche plaide évidemment pour imposer une taxe sur les profits exceptionnels des différentes sociétés, pétrolières et gazières, de transport maritime ou les concessionnaires d’autoroute quand la majorité et la droite s’y opposent. La Première ministre, Elisabeth Borne, a beau avoir affirmé dans le Parisien «ne pas fermer la porte » à une telle taxation, la philosophie gouvernementale consiste pour le moment à une simple incitation destinée aux entreprises « qui le peuvent » à baisser leurs prix et augmenter les salaires de leurs employés sans aucune contrainte. D’ailleurs, quand, pendant l’examen du projet de loi finances rectificatives à l’Assemblée nationale, l’opposition a déposé des amendements visant à instaurer une taxe de 25% sur les bénéfices exceptionnels, les députés macronistes s’y sont largement opposés.
Alors, pour obtenir gain de cause, il faut « forcer le président de la République » estime le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure. Dans cette optique, le député de Seine-et-Marne a donc annoncé sur RTL son intention «de proposer à la rentrée un référendum d’initiative partagée qui permettra d’aller solliciter les Françaises et les Français pour obliger le gouvernement à avoir un débat sur cette question ».
RIP sans la droite
Créé lors de la réforme constitutionnelle engagée par Nicolas Sarkozy en 2008, le référendum d’initiative partagée, le RIP, vise à associer les citoyens à une proposition de loi émanant de députés et sénateurs pour lui donner un large écho en prenant le peuple à témoin. Le processus reste toutefois un véritable parcours du combattant durant lequel les dépositaires doivent respecter de nombreuses conditions. D’ailleurs, aucune tentative de RIP n’a abouti depuis son instauration.
1ere étape : la rédaction du texte de loi par un cinquième du Parlement. Pour enclencher le processus, les initiateurs du RIP doivent convaincre 185 députés et sénateurs (sur 925) de soutenir la proposition de loi référendaire. Avant de proposer un RIP sur la taxation sur les superprofits, Olivier Faure a évidemment sorti sa calculette. Justement avec la nouvelle Assemblée nationale, la gauche est désormais en mesure de dépasser le seuil minimum ainsi le patron de socialistes a fait cette proposition. Table ronde avec la Nupes lors des universités d’été du PS à Blois, le député de l’Essonne Jérôme Guedj « Maintenant nous pouvons porter nos combats en enclenchant par exemple des RIP seuls sans avoir besoin de la droite ».
Les dernières élections législatives et les 151 députés de la Nupes élus l’Assemblée nationale, la gauche dispose désormais d’un contingent de 242 parlementaires si tous les groupes venaient à soutenir la démarche d’Olivier Faure. D’ailleurs le patron des socialistes a décoché son téléphone mercredi pour échanger avec son homologue de EE-LV, Julien Bayou. A priori, pas d’opposition des écolos. « C’est plutôt une bonne idée et nous sommes prêts à travailler dans ce sens, abonde le député communiste Pierre Darréhville, porte-parole du groupe PCF à l’Assemblée. Le pays a besoin d’en débattre et puisque le gouvernement fuit ce débat imposons-le. »
4,87 millions de Français à rassembler
Une fois déposée, la proposition de loi référendaire doit passer l’étape du Conseil constitutionnel. Les Sages ont un mois pour vérifier deux points importants. Tout d’abord que le texte a bien été signé par un cinquième du Parlement. Mais surtout, le conseil doit s’assurer que le processus respecte bien l’article 11 de la Constitution qui veut qu’un RIP ne puisse concerner que trois domaines : la politique économique, sociale et environnementale, la ratification d’un traité ou l’organisation des services publics. En 2021 les Sages ont rejeté un projet transpartisan de référendum d’initiative partagée sur « l’accès universel à un service public hospitalier de qualité » justifiant que le texte «ne remplit pas les conditions constitutionnelles et organiques d’ouverture de la phase de la procédure ».
Si le projet de RIP porté par Olivier Faure venait à passer le tamis du Conseil constitutionnel, s’engagerait alors une phase de 9 mois destinée à récolter un soutien populaire. Pour aboutir, les initiateurs d’un tel processus doivent effectivement rassembler un dixième du corps électoral, soit 4,87 millions de Français. Les soutiens sont centralisés numériquement sur une plateforme gérée par le ministère de l’Intérieur. « Si le groupe la Nupes accepte une motion référendaire, tous les insoumis se mobiliseront pour rassembler les 4,5 millions de voix. » D’ailleurs, les insoumis ont d’ores et déjà commencé à sensibiliser la population en mettant en ligne une pétition appelant à taxer les superprofits. Une pétition signée par plus de 62 000 personnes en moins d’une semaine. En cas de succès, le Parlement a alors six mois pour examiner le texte et l’adopter. Si tel n’est pas le cas, le texte est finalement soumis par référendum aux électeurs qui deviennent les seuls maîtres. D’après un sondage YouGov pour le Huff Post, 60% des personnes interrogées se disent favorables à la taxation des profits.
Propos du Président du Sénat : »Vouloir réunir dans une même instance des parlementaires, seuls constitutionnellement habilités à voter la loi et contrôler l’exécutif, et des représentants de la société civile, ne peut aboutir qu’à une confusion des rôles ». Et « le risque de confusion que le Conseil national de la refondation recèle et les incertitudes qui demeurent sur son rôle véritable » sont perçus « comme une forme de contournement du Parlement, c’est-à-dire de la représentation nationale », ajoute-t-il. Les Républicains, la France insoumise et le Rassemblement national ont déjà annoncé qu’ils boycotteraient le CNR.
Veuillez prendre connaissance des propos de Jacques Chirac vous n’en avez pas du tout tenu compte « Vidéo »
A l’inverse totale de ce que ses successeurs ou vous en premier n’avait rien fait, cela nous on le constate tous au quotidien.
Sources diverses et réelles – Archives du Journal Le Panda
Le Panda
Patrick Juan
Bonsoir,
Il y a bien du temps que je n’ai pas écris un article de cette teneur, enfin je pense. Merci de tenir compte que à la suite ou devant ou sous les textes en rouge figurent des liens forts instructifs pour ce que cela peut retenir votre attention.
Je reveins plus longuement sur tous les commentaires en réserves, afin que vous ayez divers échos de la France, du monde européen etc.
Je vous dis donc à bientôt et bonne navigation.
Le Panda
Patrick Juan
CRISE ÉNERGÉTIQUE L’exécutif cherche la tension.
Face à une situation inédite conjuguant inflation, risque de coupures
d’électricité et de pénurie de gaz, Emmanuel Macron présidera, ce vendredi, un
Conseil de défense énergétique.
Une situation aggravée par l’arrêt de
nombreux réacteurs nucléaires.
Pourvu qu’il ne fasse pas trop froid cet hiver, pourvu que l’on ne découvre pas de nouveaux pépins sur les centrales nucléaires d’EDF, pourvu qu’il y ait du vent dans les pâles de nos trop rares éoliennes…
En cette rentrée marquée par l’emballement de la crise énergétique
déclenchée par la guerre en Ukraine, gouvernement et fournisseurs de gaz et d’électricité sont unis dans la même prière.
Percutés par l’inflation galopante qui rogne leur pouvoir d’achat, la plupart des Français n’ont pas encore forcément pris la mesure de cette crise inédite qui conjugue envolée des prix et risque de pénurie énergétique.
Les boucliers tarifaires brandis par le gouvernement pour alléger la douloureuse, à la pompe et sur les factures d’éclairage et de chauffage, ont en partie amorti le choc pour les ménages.
Mais le «quoi qu’il en coûte» ne durera pas éternellement.
«Si la crise s’installe dans la durée, financer les boucliers et l’achat de nouveaux stocks de gaz pour compenser l’arrêt des livraisons russes coûtera jusqu’à Evénement
5 points de PIB avec un fort impact sur la croissance, alerte le chef économiste d’une grande institution publique.
C’est insoutenable à plus long terme.»
En convoquant ce vendredi un Conseil de défense énergétique après avoir prédit «la fin de l’abondance» le 24 août, lors du Conseil des ministres de rentrée, Emmanuel Macron veut préparer l’opinion à une chasse au
gaspi inédite depuis le choc pétrolier de 1973.
Branle-bas de combat.
Les prix de l’énergie ont atteint des montants délirants sous l’effet de la peur de la pénurie, mais aussi de la spéculation qui a gagné les marchés : corrélée à la flambée des cours du gaz, le prix du mégawatt/heure d’électricité a dépassé, le 26 août, les 1 000 euros contre 85 euros il y a un an).
Maintenant, c’est la crainte de ruptures d’approvisionnement qui préoccupe les décideurs politiques, les entreprises et les acteurs du système énergétique français.
C’est le branle-bas de combat face au double risque de coupures sur le réseau électrique et de pénurie de gaz.