Un Président aux Danaïdes

La France au fond

La dissolution fut une bonne solution ou la Bérézina d’un gouvernement comme une Assemblée nationale qui se cherchaient sans jamais réussir à se trouver, cela perdure depuis bien des décennies

Le premier couperet vient de donner l’Alaï de sombres pages qui attendent une fin sous forme de sans retour à des lendemains sans jours meilleurs.

Rien n’à été normal ou presque depuis plus de sept années, le prix du pouvoir l’emporte sur le sens de la raison.

Les séquelles à franchir prendront plus de temps qu’un handicap pour s’estomper lorsque tous les autres le constatent, qui ne ressemblent en aucune façon la souffrance de celui qui l’endure.

La France ne va pas tout de même pas changer tous les frontons de ces communes, pourtant le profil est là, tel le fantôme de l’opéra. Comme une pièce qui n’a rien à voir de semblable de Pagnol.

Nous ne sommes jamais montés sur un ring de boxe, et pourtant lors des européennes nous avons reçu un premier uppercut et l’arbitre compta jusqu’à « 8 » faisant le tour de fou pour réussir à refaire surface.

Nous repartions à la suite d’une dissolution presque aberrante des législatives risquaient d’emmener dans les abysses cette nation gauloise et la réalité des bandes de guignols qui se battaient pour emporter les meilleures parts des gâteaux.

Ne parlons donc pas de peuple souverain ou de démocratie voir de république, le réveil arrivera un jour ou l’autre, heureusement que les rêves peuvent devenir réalités.

« Le Petit Prince » a pris son envol et la gourmette retrouvée bien du temps après permet d’espérer que le cauchemar va cesser et que la fameuse « Axa » va revenir pas pour ceux qui sont autour de la tablée, mais ce qui arriveront garnir par des sourires l’espoir d’une vie saine. Comme l’écrit Victor Hugo « Lorsque l’enfant paraît le cercle de famille s’agrandit ».

Il y tant de moteurs à refaire partir juste pour un début de forme d’équilibre ne serait-ce que les moyens normaux qui nous permettront de dire mais « Nous serons encore présents »

Il y a une certitude, jamais un film n’a été si proche des réalités du moment « Le Président le vrai qui n’a jamais confondu la France et les intérêts des tricheries »

Pour mieux le comprendre en 2024, il faut savoir aimer son pays, ce qui pourra en découler ressemble étrangement à ce que l’Assemblée nationale est devenu un marasme qui donne le feu à la patrie des droits de l’homme.

« Le Président d’Henri Verneuil, n’a pas prit une ride, il devrait servir de passage à l’ensemble de tous les députés, tout comme les droits de l’homme »

Les deux mixés donneraient de réels députés, tout comme un Président digne d’une nation qui depuis 1789 a prit naissance et indéniablement, voilà quatre décennies minimum les hommes de pouvoirs entrainent chacun pire que le Titanic dans le « Tonneau des Danaïdes »

Les lueurs d’espoirs sont le devenir des générations naissantes, alors au vu des résultats que chacun assume pleinement ses responsabilités et rendent à la France ses lettres de noblesse et non le principe légendaire « Attila roi des Huns »

Un constat s’impose néanmoins le 30 juin 2024 à 12 heures le taux de participation était de 25, 90% record absolu depuis 2002 à toutes les législatives depuis 2002.

La principale question reste de savoir à qui profitera ce sursaut de civisme alors découvrons les diverses opinions, avant l’entame du second tour.

A suivre

Le Panda

Patrick Juan