Puissances du Hamas
Puissances du Hamas
Elles sont corolaires de la force de communications sur les réseaux internationaux des terroristes du Hamas. Des évidences se dégagent dans tous les continents et pays y compris en France. Seuls ils ne pourraient retourner les populations comme des crêpes, pourtant c’est bien ce qui se passe.
Les responsabilités
En tout premier lieu à l’ensemble de la totalité: des élus, associations, crépuscules autorisés ou pas d’éléments dirigés mais malléables à souhait.
Le Premier ministre Israélien semble jouer à quitte ou double, à notre sens ce n’est pas son rôle, comment les Palestiniens ne peuvent-ils pas obéir aux directives du Hamas ?
La réponse semble évidente.
Vous êtes avec ou contre nous, mais ces personnes ont-elles le choix ? à priori absolument pas ! d’un côté un peu plus de mille quatre cents morts, de l’autre plus de dix mille à délai de 30 jours qui porte le voile des nuages d’une réalité incontournable la disparation par la mort.
Une déduction s’impose naissance avec des yeux clos, des interventions chirurgicales taries à la source par manque non pas de personnes compétentes, mais de matériel et de médicaments indispensables pour sauver des vies.
Puis ceux qui refusent alléchante collaboration même en apparence ? Dans le cas contraire ils sont porteurs d’une parcelle de terre qui les recouvrera sous peu. Les enfants qui naissent l’espace de quelques instants sont voués à une mort écrite avant leur venue sur une terre de désolations.
Ces faits concernent autant l’ensemble des femmes enceintes qui sans planning familial, sans mode de contraception adéquate engendrent des enfants morts et des parents ou proches plongés dans le désarroi des contraintes de la guerre et des enfantements dont elles et chaque partie sont les victimes.
Les responsables sont indéniablement les politiques ou quoi que l’on tente de faire croire 30 jours viennent de s’écouler et la puissance des armes ne trouve pas de silence. Monsieur Benyamin Netanyahou vous êtes en ces moments aussi responsable que votre gouvernement et vos agresseurs d’une méthode qui ne fera pas avancer d’un pouce la solution vers une paix possible.
En procédant de la sorte, vous vous faites « Le 1er vecteur » de ces mêmes terroristes qui embrassent par communications l’ensemble des continents, il ne peut y avoir d’autre analyse en ce qui concerne l’objectivité que la première raison de chacun demeure le respect de la vie.
Quoi que vous fassiez vous ne pourrez jamais complétement à éradiquer le Hamas évidences incontournables, on et vous non plus ne pourrez jamais tuer une idée. Même si les apparences laissent les images de médias à la solde de qui ? Nous l’ignorons véhiculer la différence des forces en place.
Ne vous trompez pas et vous en prenez tout droit le chemin, vous comme les autres politiques avides de pouvoirs ou pour d’autres raisons, une clarté pointe à l’horizon, si la raison donnez un peu plus de pouvoirs, libertés aux femmes, le monde souffrirait beaucoup moins. Mais le machisme politique en décide autrement pour combien de temps ?
Les partis tel que LFI en France sont porteurs de agissements sous des couverts strictement conventionnels de politique interne et non de défense de vos réelles motivations. Ceux qui font semblant d’y croire sont des hypocrites qui cachent les réelles taches de morts sous les tapis de leurs convenances.
Rien ne ressemble plus à une guerre qu’une autre, mais là où les difficultés s’instaurent c’est que les dialogues sont mort-nés par refus caractérisé des responsabilités qui incombe à chacun.
Autant que le refus des trêves des bombardements de l’instauration d’un pays Palestine rien ne paraît possible.
Les tueries que subissent les Palestiniens, semblent plus que similaires aux massacres commis en Israël le 7 octobre 2023, par les assassins du Hamas. Les derniers nommés sont pires que des bêtes inhumaines. Israël ne donnait pas l’image et le reflet au monde que seuls des mercenaires à la solde de la terreur de crimes contre l’humanité.
Essayer de vous souvenir « du chant Exodus » donner ses racines de gloires, merci pour eux.
Le Premier ministre Israélien une légère ébauche
Benyamin Netanyahou, Premier ministre d’Israël, surnommé « Bibi » par ses partisans, né le 21 octobre 1949 à Tel Aviv, est un homme d’État israélien. Président du Likoud, parti national-conservateur, Premier ministre d’Israël de 1996 à 1999, de 2009 à 2021 à nouveau à partir de 2022.
Gaza : une dévastation rappelant un tremblement de terre après des raids israéliens
Parler de « La Shoa »devient pour ceux qui l’osent un visa pour être la future cible de fanatiques que vous nourrissez.
Jamais la France n’a payé une aussi large contribution à un conflit externe, dont elle ne porte aucune entrave sauf celle de s’appeler France. Puis en apparence de rester une terre d’accueil noyée dans les anévrismes d’un pouvoir aux abois.
Les enseignants pratiquement de l’ensemble des continents n’osent plus pour se protéger eux ainsi que leurs proches de parler de proche ou de loin d’Israël de votre« Culture » et celle du monde. Pourtant ce sont les reflets de l’histoire, tenter de modifier les pages de l’histoire ce que tente de faire pas de politiques cela est et demeure un réalisme que l’ensemble des populations vivent au quotidien, le nier serait une « hérésie »
Pour cela et compte-tenu des constats actuels sommes-nous tous appelés à disparaître ou selon le choix devenir des incultes avérés, sans femme, enfant, père, et parents qui n’aient plus un seul élan de culture ou pire de tendresse à pouvoir inoculer en mémoire de nos acquis.
Le Panda
Patrick Juan
Le roi de Jordanie à Bruxelles pour appuyer la mise en place d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza : Israël exige au préalable la libération des otages du Hamas.
Le roi de Jordanie Abdallah II à Bruxelles pour appuyer la mise en œuvre d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
L'Union européenne tient à maintenir des liens diplomatiques étroits avec la Jordanie, mais les 27 ne sont pas unanimes pour rejoindre les appels à un cessez-le-feu.
L'OTAN est elle aussi divisée.
La Turquie s'est rangée du côté des pays arabes, Recep Tayyip Erdogan condamne la riposte israélienne.
Les Etats-Unis de leur côté répètent "le droit et le devoir" d'Israël à se défendre après les massacres des terroristes du Hamas.
Après une tournée diplomatique au Moyen-Orient, Antony Blinken participe à Tokyo à une réunion des ministres des Affaires étrangères des pays du G7.
Le secrétaire d'Etat américain estime qu'un cessez-le-feu serait contre-productif et encouragerait la violence.
Antony Blinken précise néanmoins travailler activement pour renforcer les mesures d'aide aux civils pris au piège dans la bande de Gaza.
À l'ouverture de la réunion de Tokyo, des manifestants se sont rassemblés pour exiger l'arrêt des opérations à Gaza .
Le Premier ministre israélien a rejeté une nouvelle fois la possibilité d'un cessez-le-feu à Gaza, devenu selon l'ONU "un cimetière pour les enfants", et promis d'y prendre la "responsabilité générale de la sécurité" après la guerre qui entre mardi dans son deuxième mois.
"Il n'y aura pas de cessez-le-feu, de cessez-le-feu général, à Gaza, sans la libération de nos otages", a déclaré Benjamin Netanyahu dans un entretien télévisé avec la chaîne américaine ABC News lundi soir, au cours duquel il a aussi affirmé qu'Israël prendra "pour une durée indéterminée, la responsabilité générale de la sécurité" dans le territoire palestinien après la guerre.
Auparavant, Oussama Hamdane, un haut responsable du mouvement islamiste palestinien au Liban, avait affirmé que le Hamas resterait à Gaza et n'accepterait pas "un gouvernement de Vichy" dans ce territoire qu'il contrôle depuis 2007, en référence au régime collaborationniste français sous l'occupation nazie lors de la Seconde Guerre mondiale.
Les propos de M. Netanyahu interviennent après que le patron de l'ONU Antonio Guterres a réclamé un "cessez-le-feu humanitaire", "plus urgent à chaque heure qui passe" dans le petit territoire palestinien, transformé en "cimetière pour les enfants".
"Le cauchemar à Gaza est plus qu'une crise humanitaire, c'est une crise de l'humanité", a-t-il déploré.
Pour le chef du Croissant-Rouge palestinien Younis Al-Khatib, "nous assistons chaque jour à des crimes contre l'humanité.
Des milliers et des milliers de civils sont tués (…) Nos hommes ont été tués.
Nos volontaires ont été tués".
10 022 Palestiniens tués
Les bombardements israéliens contre le territoire palestinien, lancés en représailles de l'attaque menée le 7 octobre sur son sol par le Hamas, ont fait 10.022 morts, en majorité des civils dont plus de 4.000 enfants, selon le bilan du ministère de la Santé du Hamas lundi.
M. Guterres a également réitéré sa condamnation des "actes terroristes odieux" du Hamas le 7 octobre et fustigé le mouvement palestinien qui utilise "les civils comme boucliers humains et continue à tirer des roquettes vers Israël sans distinction".
Plus de 1.400 personnes ont péri en Israël d'après les autorités, majoritairement des civils tués le jour de l'attaque du Hamas, la plus meurtrière de l'histoire du pays. Le mouvement islamiste palestinien a également fait plus de 240 otages, emmenés à Gaza.
La Maison Blanche a annoncé que le président Joe Biden avait évoqué avec M. Netanyahu la "possibilité de pauses tactiques (des combats) pour fournir aux civils des opportunités de quitter en sécurité les zones de combats, s'assurer que l'aide parvient aux civils dans le besoin et permettre la potentielle libération d'otages".
Dimanche soir, l'armée israélienne a annoncé l'intensification de sa campagne de bombardement qui doit durer "plusieurs jours" tandis que ses soldats opèrent parallèlement au sol depuis le 27 octobre.
"C'était comme un million de tremblements de terre combinés (…) Nous n'avons reçu aucun avertissement, rien, et soudain nous avons été surpris par des missiles qui nous tombaient sur la tête, sans arrêt", a raconté Saad Abou Sariya après des frappes sur Rafah (sud).