La Vie, la Mort : Rapportent
La Vie, la Mort : Rapportent
Un remaniement ministériel né, selon des sources diverses, la mort de Nahel, chute la confiance auprès des forces publiques, tous corps d’état confondues se perdent dans un tonneau plus grand et plus percé que celui des Danaïdes. Une telle mesure en pleine période de congés des français agrandit « Le gouffre » l’on constate que des policiers de la BAC sont en garde à vue à Marseille. M. Attal remplace le Ministre actuel de « L’éducation National » La Justice bat de l’aile le voile bande « Marianne ». Successeur de Braun, Rousseau est l’ancien directeur de cabinet de Borne.
Le début des révoltes qui ont suivi la mort de Nahel, abattu à bout portant par un policier à Nanterre, les procédures judiciaires dirigées contre des personnes soupçonnées d’avoir participé aux violences, en grande majorité des jeunes, s’enchaînent. Beaucoup d’entre eux sont jugés en comparution immédiate, un grand nombre de prévenus avait un casier judiciaire vierge.
La justice connue pour son extrême lenteur, retrouve les moyens de jeter en prison des jeunes condamnés au motif de la crise que traverse la France et non plus au regard de leur dossier. Leur situation n’est pas examinée individuellement ce qui fait dire à leurs avocats qu’ils sont victimes d’une justice expéditive, collective et partiale : les magistrats du siège, pourtant indépendants, semblent céder aux pressions des politiques.
Un budget annuel de 11 milliards d’euros atteint en 2027. Transformation numérique aboutissant à une justice « zéro parier ». La réécriture du Code de procédure pénale pour le simplifier et le rendre plus lisible. Le développement d’une politique de l’amiable pour une justice plus rapide et plus proche du justiciable. La familiarisation des citoyens au droit et de la justice dès le collège.
Ministre de l’Éducation nationale française
L’éducation à la sexualité est une obligation légale, inscrite au sein du Code de l’éducation. L’Élysée organisait une garden-party où un seul sujet était sur toutes les lèvres : le remaniement. Mais ce qui est sûr, c’est que Gabriel Attal ne fait pas partie des menacés. Ministre délégué chargé des Comptes publics. Élisabeth Borne aurait proposé le portefeuille à Gabriel Attal, écrit Le Parisien. Acceptera-t-il ? Pour le moment, l’ancien porte-parole du gouvernement réserve sa réponse. En apparence. D’après Politico, plusieurs participants à la garden-party de l’Élysée sont convaincus qu’Attal bluffe et a accepté la proposition. Pire ou idem que copier sur le cahier de son voisin ou de lui voler son gouter à la récréation ? Où est donc l’école de « Jules Ferry » ?
La Première ministre est en poste avec 58% de la nation qui la trouve obéissant aux injonctions du Président de la République, tous ces représentants qui sont loin d’être des élus sont hyper protégés. Les écoles, les hôpitaux et consorts sont devenu les parents pauvres, ruinés du second quinquennat de Monsieur Macron, « Il explique les urgences »
semblants de promesses n’engageant que ceux qui les font et les démunis qui n’ont d’autres choix que de les accepter de gré et à défaut par la force. Au plein service déguisé de L’Europe, sommes-nous tous « Des cyclopes ?» Jamais depuis 1968, nous n’avons assisté à de telles violences, autant que la Justice ne sera pas rendue par un organisme neutre, en dehors de « l’I G P N » cela ne rendra point une justice équitable à tous les niveaux.
L’image que chacun peut comprendre, ressemble au fait de former une association de paysans, d’éboueurs et consorts pour apprendre à lire et connaitre les lois de la République et là aussi surgit l’antre du droit au savoir. Car ces personnes sans avoir l’élégance des Ministères actuels ont le sens du devoir bien accompli, à méditer. Les principaux acteurs « Maitres » de certains quartiers et régions sont nés de la libre circulation des diverses drogues de tous ordres. La seule fausse parade trouvée à ces meurtres gratuits mette plus qu’en périls les structures des nouvelles générations.
Ces faits et constats accumulés possèdent comme sources une « Libre circulation » que les institutions laissent gangréner, un constat irréfutable s’impose pour les dirigeants de ces cohortes comme le dicton d’Attila « Là, où je passe l’herbe ne repoussera plus jamais » qui retrouve effectivement qu’à partir de ces moments précis « La Vie, la Mort Rapportent ».
La Colline sort de ses murs et vous convie à un événement doux et joyeux, en plein air, aux portes du Père-Lachaise. À l’invitation de Wajdi Mouawad, acteurs, musiciens, chanteurs, danseurs et amateurs rendent hommage aux talents illustres et anonymes qui reposent au cimetière voisin ou ailleurs. Des policiers en garde à vue, pour des faits de violences en réunion à Marseille, en marge des émeutes, survenues après la mort de Nahel. 3 en examen, 1 en détention provisoire.
Placés en garde à vue, ils sont soupçonnés d’avoir tiré avec un flash-ball sur un jeune homme de 21 ans, de l’avoir roué de coups et de l’avoir laissé pour mort sur un trottoir. Ces gardes à vue interviennent dans le cadre de l’information judiciaire ouverte le 5 juillet pour violences en réunion par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné une ITT supérieure à huit jours.
L’IGPN saisie
« Les faits se seraient déroulés dans le centre-ville de Marseille », avait spécifié le parquet de Marseille, sans autre précision, dans son communiqué annonçant l’ouverture de cette enquête, dont la police judiciaire et l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). Ces faits rappellent un autre événement survenu à Marseille au cours de la même nuit. Un homme de 27 ans, marié, père d’un enfant, est décédé, probablement après un « choc violent au niveau du thorax » causé par un projectile de « type flash-ball » la cité phocéenne. Une enquête a également été ouverte.
L’IGPN est chargée de veiller au respect, par les fonctionnaires de police, des lois et des règlements et du code de déontologie de la police nationale. Les gendarmes enquêteurs réalisent des investigations en tout genre dans le domaine judiciaire sous l’autorité des magistrats du Parquet et de l’instruction, dans le but de solutionner des enquêtes de tous types. A partir de ces moments où se trouvent donc l’équilibre du « Justiciable » de base en terme plus clair le quidam de base ?
Hubert Wulfranc attire l’attention de M. le ministre de l’Intérieur sur la nécessité de réformer l’inspection générale de la police nationale (IGPN), par suite des critiques incessantes dont fait l’objet cette institution accusée, de faire preuve d’indulgence à l’égard des policiers mis en cause dans le cadre de signalements de violences policières ou, plus généralement, d’entorse à la loi.
Une réforme nécessaire pour rétablir le lien de confiance permanent qui doit exister entre les forces de l’ordre et la population. La critique de l’IGPN est déjà ancienne, celle-ci se fait de plus en plus prégnante depuis la démocratisation des smartphones et autres caméras compactes qui permettent de filmer les interventions des forces de police. Dépendante du ministère de l’intérieur, l’IGPN est chargée de contrôler les services de police en menant des audits et des visites inopinées, d’améliorer leur fonctionnement par la rédaction d’études et de recommandations et, enfin, de s’assurer que les agents respectent la loi et le code de déontologie de la police nationale.
L’esprit de corps important incite les agents de l’IGPN à accorder un poids supplémentaire à la version des agents plutôt qu’à celle des victimes, sur lesquelles reposent la charge de la preuve des faits reprochés. Sébastian Roché, directeur au CNRS, le fait d’être un policier modifie la façon dont l’enquêteur regarde une vidéo ou lit un témoignage. Cette difficulté peut aussi toucher les magistrats qui travaillent avec les policiers, en particulier dans les tribunaux de petites tailles où un malaise peut affecter les magistrats susceptibles de condamner des agents qu’ils côtoient. Étant donné les conditions de production des rapports de l’IGPN, une partie substantielle de la population pense, non sans raison, que l’IGPN est juge et partie, ce qui est, dans les faits, une réalité.
Nombreux chercheurs et juristes, des responsables politiques ou syndicaux proposent de placer l’IGPN sous l’autorité du ministère de la justice. Plusieurs pays européens procèdent déjà de cette façon. La Belgique et le Danemark ont une police des polices indépendante ou placée sous la direction du ministère de la justice. La Belgique dispose d’un organisme de contrôle indépendant, le Comité P, conduit par un magistrat, composé de membres nommés par la Chambre des représentants placé sous la responsabilité du ministère de la justice. Au Danemark, une entité rattachée au ministère de la justice, qui associe des enquêteurs, des magistrats, des profils issus de la société civile, qui mène les investigations sur les manquements imputés aux forces de l’ordre par les requérants.
Au Royaume-Uni, la police des polices (l’IOPC) dépend du ministère de l’intérieur, c’est au prix d’une séparation stricte avec la police, les responsables de ce service ayant l’interdiction absolue d’avoir été policier. À l’aune de ces différents exemples européens, il lui demande de préciser quelles évolutions structurelles le Gouvernement envisage pour l’IGPN afin de redonner du crédit à cette institution sévèrement décriée par l’opinion publique.
Les sujets sur les responsabilités de « La Libre Circulation des Drogues » nous l’avons traité il y a peu conséquences aucune suite. Le temps dans ce type de dilemme n’a pas changé grand-chose. Nous constatons qu’en France de pire en pire, pour ne pas dire que l’ensemble de l’Europe comme le restant du monde est complètement pourri, anéantie de tous de tous les fournisseurs qui engendrent des dealers. Cela crée des richesses phénoménalement astronomiques. Il faut se rendre compte que certaines villes sont pratiquement devenues littéralement invivables. Surtout dans les villes et quelle que soit la région ou la drogue a pris le pas.
Afin d’y voir un peu plus clair, essayons de déterminer avec plus de précisions les responsabilités qui incombent à tout un chacun. La drogue ne touche pas un milieu bien déterminé, elle a des tentacules qui sont aussi grandes et aussi larges que peut l’être les pieuvres ou les cancers qui minent un organisme cela, de toute façon, finit par prendre le cerveau. Une journée de divertissement organisé dans la cité du Docteur-Ayme à Cavaillon a été accusée de servir de vitrine pour le trafic de drogue local. Un collectif d’habitants a dénoncé cette initiative, affirmant que les trafiquants de drogue ont profité de l’événement pour promouvoir leur activité illicite.
Le Panda
Patrick Juan
Des nouveaux ministres (Aurélien Rousseau et Fadila Khattabi), qui confirment à la presse leurs nominations avant le communiqué officiel de l’Élysée qu’on a bien cru ne jamais avoir, une future-ex (Marlène Schiappa), qui ne l’attend pas davantage pour faire ses adieux et louer son bilan… ce remaniement est, de mémoire de journaliste politique, le plus foutraque de l’histoire.
Exemple avec Prisca Thévenot, la très brève «incarnation forte» de l’Égalité femmes-hommes.
Certes, Isabelle Rome était appréciée des associations féministes, mais elle faisait partie de ces ministres qui «ont une difficulté d’incarnation», la condamnait-on à l’Élysée.
Sur les coups de 17h hier, un conseiller nous chante donc les louanges de celle qu’il nous présente «sous embargo» comme sa successeure, la députée Renaissance Prisca Thévenot, connue pour écumer les plateaux des chaînes d’info : «On a besoin d’une incarnation forte pour cette grande cause du quinquennat.» Oups.
Au même moment, l’élue des Hauts-de-Seine est convaincue de louper la marche et de n’avoir rien obtenu.
On apprend un quart d’heure plus tard que le poste de l’Égalité femmes-hommes reviendra finalement à l’ex-secrétaire d’État à la Biodiversité, Bérangère Couillard, pas franchement connue pour sa force de frappe médiatique.
Quant à Thévenot, un temps sur les rangs pour le porte-parolat, elle est passée par toutes les couleurs ce jeudi : tour à tour pressentie pour succéder à Rome, puis bredouille, puis en charge de la Vie associative et enfin à la Jeunesse et au Service national universel.
Une confirmation qu’elle a reçue en toute fin d’après-midi.
JAMAIS MIEUX SERVIE… •
Petit moment feel good concocté avec amour par le cabinet de Schiappa qui, remerciée par Macron, a été félicitée par elle-même.
Des fois que l’on garderait un souvenir mitigé de ses six années au gouvernement, son équipe a rapidement diffusé un message récapitulant les mérites de l’ex-secrétaire d’État à l’économie sociale et solidaire : «C’est une réussite de la société civile, elle fait les choses différemment, elle a apporté un souffle nouveau.
C’est une ministre qui avait sa propre ligne, qui ne laisse pas indifférent.»
Le ton, en creux, est moins sympa pour ses petits camarades maintenus au gouvernement.
Schiappa, elle, était «parfaitement identifiée dans un collectif en manque d’incarnation».
Allez, ciao les nobods !
Et que l’on n’aille pas comparer Schiappa, au gouvernement depuis 2017, avec n’importe qui.
«Les trois ministres qui ont duré plus de six ans sont soit Première ministre [Élisabeth Borne], soit premier ministrables [Gérald Darmanin et Bruno Le Maire]», observe-t-on dans son cabinet, avant de prendre date : «Quand on fera le bilan des années Macron, c’est clairement celle qui sortira du lot, c’est une macroniste originelle.»
Et dire que le Président prend le risque de se passer de ses services !
SO-LI-DA-RI-TÉ •
Tel Basile Boli sur le terrain de Munich en 1993, faisant signe que, contrairement à la dernière fois, il ne pleure pas, Aurore Bergé peut savourer.
La voici ministre des Solidarités et des Familles.
De quoi en étonner plus d’un dans sa famille politique, où la désormais ex-patronne des députés Renaissance ne fait pas l’unanimité.
«Elle est à peu près capable d’être solidaire avec elle-même», cartonnait, avant même l’annonce de sa nomination, un député de la majorité.
Bergé a donc déjoué les pronos.
Il y a à peine un mois, le même ne croyait absolument pas à une entrée au gouvernement de l’ancienne soutien de Nicolas Sarkozy puis de François Fillon, puis d’Alain Juppé et enfin d’Emmanuel Macron.
«Trop de gaffes, trop de prétention.
Total ouin ouin», soufflait ce cadre de Renaissance.
Il s’est trompé.
ON SAIT QUI VEUT PRENDRE SA PLACE •
Bergé partie, son bras droit Sylvain Maillard s’est aussitôt porté candidat à sa succession à la tête du groupe dont il est déjà vice-président (avant même l’officialisation du remaniement par l’Élysée, vu que c’était open bar).
Le député de Paris a déjà assuré l’intérim de Bergé, lors de son congé maternité en fin d’année dernière, et il avait alors été massivement adoubé par les députés.
«On ne fait jamais l’unanimité mais disons qu’il est très largement apprécié, commente aujourd’hui un cadre du groupe.
C’est quelqu’un de sympa et assez facile d’accès.»
Ce même haut gradé juge que «Maillard est très bien placé» pour être élu, étant «à ce stade la seule candidature sérieuse et même la seule candidature tout court».
Un autre député, favorable au favori des bookmakers, indique toutefois qu’il y aura sans doute «d’autres candidatures, pour marquer les choses, un positionnement» et prendre du poids dans la nouvelle hiérarchie.
Reste à savoir qui ira jouer les challengers.
Mais «de toute manière, Maillard a trop d’avance», assure notre ténor.
En réunion de groupe ce matin, la date de l’élection a selon nos infos été fixée à mercredi prochain, par vote électronique.
RECALÉ •
Mais il n’y a pas que le remaniement et ses conséquences dans la vie (politique).
Un autre recrutement qui traînait depuis un moment vient de se conclure : celui – on vous concède qu’il n’est pas d’une importance capitale pour le commun des mortels – de chargé de mission à la commission des lois pour le groupe LR à l’Assemblée.
On vous avait raconté fin juin qu’Aurane Reihanian, fils spirituel de Laurent Wauquiez aux multiples casseroles et polémiques à son palmarès, s’était porté candidat.
Malheureusement pour l’ex-président des jeunes LR devenu avocat, cela ne se fera pas.
«On ne le prend pas», nous confirmait-t-on hier au groupe.
C’est un autre candidat, consultant juridique dans le privé, qui a été retenu.
Un choix purement professionnel, nous assure-t-on : «Le recrutement s’est fait sur examen du CV et d’une note sur un texte sur la justice pour évaluer leur professionnalisme et leur adéquation au poste.»
Et notre source de démentir tout souci d’ordre politique, alors que l’éventualité de l’embauche de Reihanian provoquait l’opposition de certains députés LR, ce qui semblait bloquer le processus depuis un mois : «Ça n’a jamais été l’idée, très franchement, mais le recrutement a pris du temps [du côté de l’heureux élu qui doit quitter son job actuel.