Poutine, ses Voleurs de Vie et Cie
Poutine, ses Voleurs de Vie et Cie
À comparaisons de libertés, au droit de vivre même dans l’adversité les deux situations qui frappent le plus le monde étalé là au grand jour. Voies de conséquences : Russie, Israël, l’Ukraine, les crises agricoles ignorance de l’Europe. Pas une information directement ou pas ne peut faire abstraction de ces folies. Cela démontre à l’évidence, le peu de valeur de la vie, de la liberté d’expression, exprimer le besoin de vivre de son travail, les affres des conflits armés. Par les actes de Poutine et de ses directives via d’autres organismes, des millions de gens sont réduits au silence à jamais ou crever par « Tortures à divers stades »
Les autorités russes ont annoncé la mort de l’opposant numéro 1 du Kremlin, Alexeï Navalny, en prison. Le militant âgé de 47 ans purgeait sa peine pour « extrémisme » dans une colonie pénitentiaire reculée de l’Arctique, dans des conditions inhumaines. Après la mort d’Alexeï Navalny en Russie, Vladimir Poutine pointé du doigt. Ses multiples procès avaient été largement dénoncés comme une manière de le punir pour son opposition à Vladimir Poutine. Son décès survient quelques semaines avant la présidentielle russe. Puis mystère impossible de remettre la dépouille à sa famille, il ne se trouve pas à la morgue indiquée….
Cela démontre une fois de plus que la puissance des armes est plus grande, que la filiation humaine. Cela démontre à l’évidence les ulcères qui surgissent à la « Mort en Russie de ce grand Monsieur Nalvany » à qui la « mafia russe » à usurper « La vie » pour taire « La Liberté » afin de ne pas vivre dans une nation reconnue démocratiquement les usurpations sont légions.
Il laisse derrière lui une opposition russe affaiblie, alors que la répression des voix dissonantes s’est durcie depuis l’invasion de l’Ukraine. La Russie chamboule l’économie mondiale pour une poignée d’arrivistes.
Que symbolise la mort d’Alexeï Navalny pour la Russie ?
La fin d’un chapitre de l’opposition qui avait pu se former dans les années 2010, Alexeï Navalny, qui dénonçait la corruption des élites. Dénonciation de la corruption, son opposition à Poutine, a trouvé un écho dans la population russe, qui partage sa quête de justice.
Navalny a pu remettre en question les élites au pouvoir. Il a reçu le soutien d’une partie de la population, en particulier de la jeune génération, par les réseaux sociaux. C’est ce qui avait fait très peur au pouvoir. On se souvient des manifestations en 2011 à Moscou, place Bolotnaïa, lorsque la jeunesse s’était soulevée avec Navalny, à l’annonce du nouveau mandat de Vladimir Poutine.
La principale opposition à Poutine ?
Il n’y a plus d’opposant au sens où on l’entend pour Navalny. En revanche, avec la guerre en Ukraine, une nouvelle forme d’opposition a vu le jour. Ce n’est pas une opposition qui est anti-régime, mais une critique de cette guerre à laquelle elle veut mettre fin rapidement. L’ex-candidat à la présidentielle Boris Nadejdine a porté cette voix, il avait jusqu’à 10 % des intentions de vote avant d’être écarté de l’élection.
Autres formes d’opposition autre terre scandales universels, les situations sont comparables ? Benjamin Netanyahu est prisonnier ?
Guerre Israël-Hamas : le plan américain reconnaissant l’État palestinien fait enrager Benjamin Netanyahu. Pour Tel Aviv, accorder la reconnaissance de l’État palestinien reviendrait à « offrir une énorme récompense au terrorisme » après les attaques du 7 octobre en Israël.
Israël-Hamas : Macron a exhorté Netanyahu de « cesser » les opérations israéliennes à Gaza. Deux influents ministres israéliens d’extrême droite, Itamar Ben Gvir et Bezalel Smotrich, chargés
de la Sécurité nationale et des Finances, avaient déjà rejeté en termes similaires un plan évoqué.
Ne pas « récompenser » le terrorisme
Les États-Unis, principal allié d’Israël, et plusieurs pays arabes proches de Washington travaillent à un plan complet destiné à établir une paix israélo-palestinienne durable après la fin de la guerre entre Israël et le Hamas.
« Israël continuera de s’opposer à la reconnaissance unilatérale d’un État palestinien. Une telle reconnaissance, à la suite du massacre du 7 octobre, offrirait une énorme récompense à un terrorisme sans précédent et empêcherait tout futur accord de paix », a écrit en hébreu Benjamin Netanyahu sur son compte X. « Israël rejette catégoriquement les diktats internationaux concernant un règlement permanent avec les Palestiniens ».
« Menace existentielle »
La mise en œuvre du plan évoqué commencerait par un cessez-le-feu « d’une durée prévue d’au moins six semaines », citant des responsables américains et arabes qui espèrent un accord avant le 10 mars, date de début du ramadan. Il inclurait notamment une pause dans les combats, la libération des otages enlevés par le Hamas lors des attaques du 7 octobre en Israël et détenus depuis à Gaza, et un calendrier pour l’établissement à terme d’un État palestinien.
« Nous ne donnerons jamais notre accord à un tel plan, qui dit en réalité que les Palestiniens méritent une récompense pour le terrible massacre qu’ils ont commis », a écrit Bezalel Smotrich sur le réseau social X, qualifiant un État palestinien de « menace existentielle pour l’État d’Israël ».
Le sud du Liban a connu un mercredi noir avec le plus lourd bilan civil enregistré depuis le 8 octobre 2023. Une situation qui suscite les craintes d’une escalade entre le Hezbollah et Israël.
Liban : les frappes israéliennes dans le sud font craindre un engrenage du conflit
Les décombres d’un immeuble de cinq étages qui a été frappé par un drone, tuant dix civils. « Un massacre. » C’est avec des termes forts que les officiels libanais ont condamnés, les multiples frappes israéliennes qui ont ciblé plusieurs villages de la bande frontalière la veille, puis la ville de Nabatiyeh, à une vingtaine de kilomètres de la frontière libano-israélienne.
Bilan au 132e jour
Il s’agit du bilan civil le plus lourd en quatre mois de violences, dix civils tués et plusieurs blessés, dont sept membres d’une même famille, décimés par une frappe de drone sur leur appartement.
Israël « occupe » également les ressources énergétiques de Gaza
Israël a non seulement occupé 85 % de la Palestine depuis 1947, mais aussi 80 % de la mer. Israël, a tué des dizaines de milliers de civils innocents dans ses attaques et son occupation de Gaza, occupe les ressources de la région avec les licences d’exploration de gaz naturel qu’il a accordées dans les zones situées à l’intérieur des frontières maritimes de la Palestine.
Il est interdit à Israël d’utiliser les ressources non renouvelables limitées des territoires occupés à des fins commerciales et au profit de la puissance occupante, conformément aux règles d’usufruit visées à l’article 55 du règlement de La Haye, et ajoute : « Israël, en tant qu’autorité administrative de facto dans les territoires occupés, ne peut pas consommer les ressources naturelles à des fins commerciales qui ne profitent pas à la population occupée ».
La zone G, le ministère israélien a annoncé les sociétés adjudicataires : Eni -Italie, Dana Petroleum- Royaume-Uni, filiale de la South Korean National Oil Company) et Ratio Petroleum – société israélienne. 62 % de la zone G est située à l’intérieur des frontières maritimes déclarées par la Palestine en 2019, conformément aux dispositions de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer.
Ils agissent ainsi en raison de l’impuissance des Palestiniens
À forcerie : Benjamin Netanyahu est-il prisonnier de son propre gouvernement d’extrême droite ? craint-il que cessant sa guerre vis-à-vis du Hamas, ne le fasse condamner par son propre peuple ?
À l’orée des élections européennes en France nous pouvons poser la question de savoir si les partis d’extrême-droite ont droit de vie ou de mort sur leurs voisins ? Peu sont ceux qui mettent en cause que les bandes armées du « Hamas » soient des terroristes. Toutes ces tueries de femmes, d’enfants, d’hommes, démontrent et de quel droit « Que La Palestine doit disparaitre » Benjamin Netanyahu, tient avec son gouvernement de fantoches exactement le même langage. Le 1er ministre israélien se rend-il compte qu’en procédant de la sorte, il ignore s’il reste à Gaza des « Otages vivants ou s’ils ne sont pas tous déjà morts ». La nation Israélienne se trouve étant donné ces faits en train de faire grandir « L’antisémitisme » à vitesse grand « V ». Non seulement sur ses terres, mais y compris chez des ennemis avérés mais le plus grave risque d’être la contagion à des nations amies. Les preuves démontrent au quotidien la quasi-totalité ou presque « Des hémicycles » ont vibrés de rhétoriques n’ayant place en ces lieux. Puis semez des entraves irrémédiables dans des pays, qui paient par des crimes de sang, le manque du bon sens de certains. Une autre civilisation se devra de prendre les relais dans le contraire le tocsin sonnera au quotidien par un manque de reconnaissance du savoir faire des autres et les hurlements de diverses révoltes feront sonner « Le glas »
Le Panda
Patrick Juan
Les crétins qui envoient sans cesse des chevaux de Troie sur Les Voix du Panda sont nuls et ne connaissent rien à la Liberté d’expression, alors vous perdez votre temps. Inutile d’insister vous perdez votre temps vous, vous fatiguez pour rien. Même les morts laissent passer les idéologies qui combattent les despotes et les tyrans des cinq continents. Nous, nous poursuivons notre « Liberté d’expression » Alors ménagez vos capacités aux bons sens si vous en êtes capables.
Le Panda
Patrick Juan
Russie : la famille d’Alexeï Navalny réclame la remise du corps emporté par des « enquêteurs »
Elle souhaite que la dépouille de l’opposant russe, mort vendredi dans sa prison en Sibérie, leur soit remise « immédiatement ».
Au lendemain du décès de l’opposant russe Alexeï Navalny en prison, son corps fait l’objet de toutes les attentions. Sa famille a ainsi demandé que sa dépouille leur soit remise « immédiatement ».
Mort de Navalny : Entre Poutine et son premier opposant, plus de dix ans de procès et de batailles
« Un employé de la colonie (pénitentiaire) a déclaré que le corps d’Alexeï Navalny se trouvait à Salekhard », une ville de la région de l’Arctique russe où se situait sa prison, et avait été emporté par des « enquêteurs » pour « effectuer des “recherches” », a indiqué la porte-parole de l’opposant, Kira Iarmich dans un message sur X. « Nous demandons que le corps d’Alexeï Navalny soit immédiatement remis à sa famille », a-t-elle ajouté.
Peu après, dans une vidéo, la porte-parole a indiqué que la mère de l’opposant, Lioudmila Navalnaïa, s’était rendue samedi dans la colonie pénitentiaire IK-3 dans la région arctique de Iamal et qu’un « document officiel » lui avait été remis confirmant le décès.
L’équipe de Navalny accuse les enquêteurs russes de « mentir » pour garder le corps
« Alexeï Navalny a été tué », a indiqué Kira Iarmich qui s’est exilée, comme foule d’opposants, pour échapper à la prison. « Sa mort est intervenue le 16 février à 14h17 locales, selon le document officiel remis à la mère d’Alexeï », a-t-elle ajouté. Selon elle, la mère du défunt et un avocat sont arrivés dans la prison à 11h ce samedi, et ont dû y attendre deux heures avant d’être reçus. « Nous attendons toujours le certificat de décès officiel », a souligné Kira Iarmich. Toujours selon l’avocate, le corps de Navalny « n’est pas à la morgue » indiquée par les autorités russes.
Il n’est pas possible de savoir quand sa dépouille sera remise à ses proches, ni quand et où pourrait avoir lieu son enterrement, alors que les autorités sont sur le qui-vive et ont mis en garde contre tout rassemblement.
L’équipe de l’opposant historique de Poutine accuse les enquêteurs de mentir « pour garder le corps ». Un avocat de l’opposant, qui est allé voir les enquêteurs, « a été informé que “la cause du décès d’Alexeï n’a pas été déterminée, qu’un nouvel examen histologique a été effectué” », a écrit également Kira Iarmich, sur X. « Les résultats devraient être connus la semaine prochaine. Il est évident qu’ils mentent et font tout leur possible pour ne pas avoir à remettre le corps », a-t-elle ajouté.
« Il est évident que les tueurs veulent couvrir leurs traces. C’est pourquoi ils ne remettent pas le corps d’Alexeï et le cachent même à sa mère », a encore indiqué dans la journée l’équipe de Navalny sur Telegram.
Les autorités carcérales se sont bornées jusqu’ici à dire que l’opposant numéro un à Vladimir Poutine était mort après un malaise, assurant que tout avait été fait pour tenter de le réanimer.
Après la mort d’Alexeï Navalny, la Russie condamne plus de 150 personnes à de la prison
Des centaines de manifestants ont été arrêtés pour avoir rendu hommage à l’opposant du Kremlin.
La répression n’a pas tardé. La justice russe a condamné ce week-end à des peines de prison au moins 150 personnes arrêtées au cours d’hommages à l’opposant Alexeï Navalny, pour avoir violé la stricte législation encadrant les manifestations, selon des données des tribunaux ce dimanche 18 février.
Hommages à Alexeï Navalny en Russie : une centaine de personnes arrêtées lors de rassemblements
Rien qu’à Saint-Pétersbourg, dans le nord-ouest, les juges ont condamné samedi et dimanche 154 d’entre elles à des peines allant jusqu’à 14 jours de prison, selon les décisions rendues publiques par le service de presse des tribunaux de cette ville, la deuxième de Russie.
Des centaines d’arrestations
Ce week-end, la police a arrêté dans des dizaines de villes des centaines de Russes qui étaient allés déposer des fleurs et allumer des bougies en son honneur aux mémoriaux des victimes des répressions de l’ère stalinienne.
Les manifestations contre le Kremlin et les autres actions publiques d’opposition au régime sont illégales en Russie en vertu notamment d’une législation interdisant les rassemblements non autorisés.
Des policiers et des hommes en civil ont patrouillé sur des sites dans des dizaines de villes russes où des gens s’étaient retrouvés pour rendre hommage à Alexeï Navalny ce week-end.
Ils ont notamment été vus pendant la nuit enlever des mémoriaux éphémères et des images montraient des hommes encagoulés mettant des fleurs dans des sacs poubelles sur un pont à proximité du Kremlin où un autre opposant de premier plan à Vladimir Poutine, Boris Nemtsov, a été tué en 2015.
La femme d’Alexeï Navalny, Ioulia Navalnaïa, s’engage à prendre la relève de son mari face à Vladimir Poutine
Déterminée à venger la mort de son mari, la femme d’Alexeï Navalny appelle ses partisans à s’« unir pour frapper d’un seul coup Poutine, ses amis ».
Après la tristesse, la colère, elle affiche sa détermination. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux ce lundi 19 février, la veuve de l’opposant Alexeï Navalny, Ioulia Navalnaïa, a de nouveau accusé le président russe Vladimir Poutine de l’avoir « tué » et s’est engagée à poursuivre le travail de son mari, mort en prison vendredi.
Mort d’Alexeï Navalny : l’accès à son corps encore refusé à ses proches par les enquêteurs, ce que l’on sait. « Il y a trois jours, Vladimir Poutine a tué mon mari, Alexeï Navalny. Poutine a tué le père de mes enfants », a commencé Ioulia Navalnaïa. « Avec lui, (Poutine) a voulu tuer notre espoir, notre liberté, notre futur », a-t-elle ensuite asséné.
Pendant son emprisonnement, Alexeï Navalny a été « malmené, coupé du monde » et « pourtant, il n’a pas abandonné ». « Mon mari ne pouvait pas être brisé, et c’est pour cela que Poutine l’a tué », a affirmé Ioulia Navalnaïa. Elle a aussi promis de découvrir « qui avait exécuté ce crime » et dans quelles circonstances.
Appel à ses partisans
Puis, déterminée, elle a appelé ses partisans à la rejoindre pour lutter contre la répression du Kremlin envers les opposants politiques. « Je poursuivrai l’œuvre d’Alexeï Navalny. Je continuerai pour notre pays, avec vous. Et je vous appelle tous à vous tenir près de moi (…) Ce n’est pas une honte de faire peu, c’est une honte de ne rien faire, c’est une honte de se laisser effrayer », a-t-elle déclaré.
Sa notoriété avait poussé certains des partisans d’Alexeï Navalny à lui rêver un avenir politique, même avant que l’opposant et militant anticorruption ne soit derrière les barreaux. « Nous devons nous unir pour frapper d’un seul coup Poutine, ses amis, les voyous en épaulettes, les courtisans et les tueurs qui veulent paralyser notre pays », a-t-elle dit.
Le jour de l’annonce de la mort d’Alexeï Navalny, elle avait déjà pris la parole, les larmes aux yeux, demandant déjà à ce que Vladimir Poutine soit « puni ».
Après les propos de Lula sur Gaza, la crise entre le Brésil et Israël s’aggrave
Le président brésilien a provoqué l’ire du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, après qu’il a comparé la guerre à Gaza à la Shoah.
La crise diplomatique entre le Brésil et Israël prend de l’ampleur. Le ministre brésilien des Affaires étrangères, Mauro Vieira, a convoqué ce lundi 19 février l’ambassadeur israélien au Brésil, Daniel Zonshine, après que le président Lula a été déclaré « persona non grata » en Israël pour ses propos comparant la guerre à Gaza à la Shoah. Israël avait convoqué plus tôt l’ambassadeur brésilien pour lui adresser une protestation.
La brouille diplomatique a commencé dimanche, quand Lula a tenu des propos extrêmement virulents sur le conflit en cours entre Israël et le Hamas, qualifiant cette guerre de « génocide ».
Des propos « honteux et graves »
« Ce qui se passe dans la bande de Gaza avec le peuple palestinien ne s’est produit à aucun autre moment de l’histoire. En fait, cela s’est déjà produit : lorsque Hitler a décidé de tuer les juifs », avait-il martelé à la presse depuis Addis Abeba, en Ethiopie, où il assistait à un sommet de l’Union africaine.
Quelques heures après cette déclaration, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait vivement réagi en dénonçant des propos « honteux et graves ». Il avait même été jusqu’à dire que Lula avait « déshonoré la mémoire de 6 millions de juifs tués par les nazis »
Et les tensions ne se sont pas calmées lundi. Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a déclaré que Lula était désormais « persona non grata » dans l’État hébreu, « jusqu’à ce qu’il s’excuse et retire ses propos ».
« Une attaque antisémite grave »
« Les propos tenus par le président brésilien Lula lorsqu’il a comparé la juste guerre de l’État d’Israël contre le Hamas, qui a assassiné et massacré des Juifs, à Hitler et aux nazis sont une honte et une attaque antisémite grave contre le peuple juif et l’État d’Israël », a déclaré Israël Katz lors d’une visite au mémorial de la Shoah Yad Vashem à Jérusalem, où il avait lui-même convoqué l’ambassadeur brésilien en Israël.
Le porte-parole du gouvernement Eylon Levy a abondé en ce sens lundi, lorsqu’il a dénoncé, lors d’un point de presse, « les auteurs d’un vrai génocide, les escadrons de la mort du Hamas qui ont brûlé vives des familles entières, les ont incinérées et les ont réduites en cendres humaines le 7 octobre ». « Nous ne tolérerons pas que des dirigeants du monde entier tentent de donner au Hamas une couverture politique ou juridique », a-t-il ajouté.
Le Hamas a de son côté salué dans ces propos « une description exacte de ce que (son) peuple subit » à Gaza et révèlent « l’énormité du crime » commis par Israël.
Alexeï Navalny : Paris convoque l'ambassadeur russe après la mort de l'opposant
Stéphane Séjourné, a indiqué lundi avoir convoqué l'ambassadeur de Russie en France après la mort en prison de l'opposant Alexeï Navalny. "J'ai demandé la convocation de l'ambassadeur russe aujourd'hui (lundi, NDLR) à 18 h 30", a révélé le ministre français des Affaires étrangères, lors d'un déplacement en Argentine.
Drapeau français "satanique", trois signalements : un imam visé par une enquête pour apologie du terrorisme
Gérarld Darmanin a demandé le retrait du titre de séjour de l'imam de Bagnols-sur-Cèze Mahjoub Mahjoubi, dimanche 18 février. Ses propos ont fait l'objet de signalements par le préfet du Gard au procureur de la République, selon les informations de BFMTV.
Mort de Navalny : la France demande une enquête, le compte X de Ioulia Navalnaïa rétabli
La France a demandé mardi 20 février une « enquête indépendante et approfondie » sur la mort d’Alexeï Navalny, estimant que les autorités russes en sont « pleinement responsables ». La plateforme X a rétabli le compte de Ioulia Navalnaïa, la veuve de l’opposant russe décédé, après l’avoir suspendu.
X rétablit le compte de la veuve de Navalny après l’avoir suspendu
Le compte de Ioulia Navalnaïa, la veuve de l’opposant Alexeï Navalny, a été rétabli mardi 20 février par la plateforme X après moins d’une heure de suspension, pour violations des règles d’utilisation. Aucune précision n’a été donnée sur le motif de la brève suspension.
Ioulia Navalnaïa l’avait créé lundi après avoir annoncé qu’elle prenait la succession de son mari dans son combat politique. Elle y avait publié une vidéo où elle accusait le président russe Vladimir Poutine d’avoir tué Alexeï Navalny et y a écrit mardi qu’elle « se foutait » des commentaires du Kremlin.
Le Kremlin avait rejeté plus tôt dans la journée des accusations « grossières et infondées ». « Bien évidemment, il s’agit d’accusations grossières et totalement infondées contre le chef de l’État russe, mais étant donné que Ioulia Navalnaïa est devenue veuve il y a quelques jours, je ne ferai pas de commentaire », a dit le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
La France demande une « enquête indépendante » sur la mort de Navalny
La France demande « une enquête indépendante et approfondie » sur la mort en détention de l’opposant russe Alexeï Navalny, dont elle tient les autorités russes pour « pleinement responsables », selon un communiqué de son ministère des affaires étrangères publié mardi.
« Alexeï Navalny apparaît pour le moment irremplaçable »
« La France tient les autorités russes pour pleinement responsables de la mort d’Alexeï Navalny, dont les conditions de détention s’étaient fortement dégradées depuis son transfert en colonie pénitentiaire », et « demande à ce qu’une enquête indépendante et approfondie soit conduite » sur son décès, écrit le porte-parole adjoint du ministère.
► Plusieurs pays européens convoquent leur ambassadeur de Russie
Plusieurs pays européens, dont la France, ont annoncé la convocation de l’ambassadeur de Russie, après la mort en prison de l’opposant Alexeï Navalny la semaine dernière. « J’ai demandé la convocation de l’ambassadeur russe aujourd’hui à 18 h 30 », a annoncé le ministre des affaires étrangères Stéphane Séjourné lors d’un déplacement en Argentine, estimant que « le régime de Vladimir Poutine a une fois de plus montré sa vraie nature ». Une source diplomatique a indiqué que l’ambassadeur russe avait bien été reçu à l’heure indiquée.
Madrid, Stockholm, Berlin, La Haye et Oslo ont également annoncé avoir convoqué l’ambassadeur russe en poste dans leur pays. « L’Union européenne doit agir contre l’oppression politique en Russie », a affirmé Stockholm, qui a convoqué l’ambassadeur russe en Suède.